Découvrez les témoignages de nos membres
Le parcours alimentaire est exigeant. Certains exercices sont déstabilisants, et bousculent nos idées reçues sur l'alimentation. L'exercice de la grande faim m'a été difficile, par exemple. Aujourd'hui, je peux avoir faim, je peux attendre avant de manger. Rapidement, je n'ai plus eu l'impression d'avoir faim tout le temps, j’ai changé ma manière de faire des courses, réintroduit des aliments interdits, privilégié le goût … J'ai très peu utilisé le parcours forme, je n'ai fait que les premiers exercices mais cela m'a aidée à me remettre au jogging. J'ai gardé d'autres habitudes grâce aux défis forme, comme le fait de prendre les escaliers plutôt que les ascenseurs et de les monter en trottinant.
Béatrice, 60 ans, Meudon
Le parcours alimentaire est bien, même si à la longue les carnets sont rébarbatifs. Je prends le temps de bien le faire, quitte à ralentir sur certaines activités. J'apprécie le fait qu'on puisse se programmer des rappels par mail, car on décide vraiment du rythme à adopter. Ça laisse de la souplesse, on se sent autonome. Les comptes-rendus permettent de prendre le recul nécessaire. Les vidéos sont vraiment bien. En revanche, je n'ai pas utilisé le parcours forme.
Shéraz, 38 ans, Champigny Sur Marne
Le parcours alimentaire est très bien, et j'apprécie surtout le fait que l’ordre des étapes change en fonction des comportements de chacun. Ça m’a permis de réapprendre à déguster et à m’arrêter de manger lorsque je n’ai plus faim ou alors de le faire en conscience et de reporter mon repas suivant dès qu'une nouvelle vraie faim se manifeste. Je ne suis pas très sportive, mais le parcours forme m’encourage à parcourir à pied des petites ou moyennes distances et de privilégier les escaliers aux ascenseurs le plus souvent possible.
Marie-Line, 45 ans, Nice
Je dois dire que ce parcours a été pour moi comme une renaissance. Ce qui est le plus flagrant c’est de sortir complètement de la frustration alimentaire et de remettre à sa place l’action de manger. Et cerise sur le gâteau, la perte de poids est là, sans sensation de contrainte ni de contrôle permanent. Enfin l’action de manger n’est plus ni un danger ni un facteur d’exclusion vis-à-vis des gens qui ne sont pas au régime autour de soi.
Je n’ai pas utilisé le parcours forme car je pratique le sport environ 7 heures par semaine de façon assidue et j’y prends un réel plaisir. Pratiquer seule quelques exercices devant mon ordinateur ne m’attirait pas vraiment.
Hélène, 62 ans, Gap
Le parcours alimentaire est très simple à comprendre. On progresse pas à pas, à notre rythme. En revanche, je n ai pas utilisé le parcours forme, car je fais déjà du sport.
Céleste, 47 ans, Pomerol
Le parcours alimentaire est très bien fait, il est facile à suivre. Certaines étapes ont été plus difficiles pour moi, et je me suis rendue compte ainsi quels étaient réellement mes problèmes.
Je n'ai pas suivi le parcours forme, je fais déjà des activités sportives et je n'ai pas ressenti le besoin de suivre ce parcours en plus.
Karine, 34 ans, Tuffé
Le parcours alimentaire m'a d'abord fait prendre conscience que j'avais une peur panique d'avoir faim et que du coup, je n'avais plus jamais faim. En réapprivoisant cette sensation, non seulement je n'en ai plus peur mais je peux même trouver cela agréable. Au cours de ce parcours, on apprend à se connaître, à identifier comment on peut manger autrement, à retrouver parfois des comportements compulsifs mais sans s'en affoler, à se traiter avec bienveillance, et à prendre le temps d'installer les choses.
Je trouve le parcours forme génial. Je n'aurai pas cru que cela me plairait autant. Je fais les exercices du jour presque chaque matin et je me surprends moi-même d'être capable de ça. J'y trouve un grand bien-être et je me sens beaucoup mieux dans mon corps. Le seul problème c'est que je ne fais pas de course à pied, je n'aime pas cela du tout. En revanche, je fais du vélo tous les jours pour aller travailler.
Sophie, 56 ans, Besançon
Grâce au parcours alimentaire, j’ai pu percevoir ma véritable faim et ma satiété. J’ai cessé d’avoir des tabous alimentaires et je ne me force plus à manger au-delà de mon appétit pour faire plaisir aux autres.
Je fais le parcours forme quand j’en ai envie. L’avantage est qu’il ne nous met jamais en échec. Les exercices pour perdre du ventre sont accessibles et je les reproduis facilement quand je le souhaite. Leur rythme est bien adapté. Le fait de pouvoir avoir un rythme différent pour chaque parcours est formidable.
Nathalie, 43 ans, St Didier Sous Riverie
C'est la base de la méthode. Il faut faire confiance aux exercices, à la progression. Au début, je n'ai pas du tout perdu de poids, mais j'ai continué les exercices de pleine conscience, la dégustation, etc. On ne comprend pas forcément tout de suite comment cela va changer notre comportement alimentaire, mais ça marche. Au moment d'aborder les fins de journée et les aliments tabous, j'ai enfin perdu du poids. Tout s'est enchaîné naturellement, avec des découvertes fabuleuses (je peux perdre du poids en mangeant de la charcuterie ou du chocolat, je suis capable d'arrêter de manger un aliment qui me plaît moins pour avoir faim plus tard pour un aliment que je préfère).
J'ai suivi irrégulièrement le parcours forme mais il est extrêmement bien fait, progressif là encore. C'est parfait pour perdre son ventre. L'alternance entre renforcement musculaire, exercices cardio et étirements est bien conçu.
Julie, 28 ans, Cergy
Parcours alimentaire, super pour moi … et je vais essayer d’expliquer pourquoi. Il est très progressif dans la mise en place des exercices, donc l’apprentissage de nouvelles habitudes alimentaires se fait très progressivement. Car il faut arriver à se défaire des mauvaises habitudes pour les remplacer par des nouvelles bien plus saines, c’est une déprogrammation pour une reprogrammation. Chacun peut mettre en place ces exercices à son propre rythme. Pour ma part, je faisais un exercice tel qu’on me le demandait, et j’attendais quelques jours (plus ou moins longtemps, cela dépendait du travail à mettre en place) avant de passer à l’exercice suivant. Cela permet de ‘’digérer’’ à son rythme les découvertes que l’on fait lors du parcours et de mettre en place de nouvelles habitudes alimentaires, et d’y revenir à chaque fois qu’on en a besoin. Il n’y a aucune contrainte, ni sur la quantité d’aliments, ni sur les aliments eux-mêmes. En fait, cela se régularise pratiquement tout seul, à condition d’être attentif à ses propres sensations. Je n’ai pas utilisé le parcours forme car d’abord j’habite un appartement au 4ème étage sans ascenseur, et c’est déjà une mise en forme quotidienne, de plus, j’ai des activités (marche, randonnée, danse, Qi Gong) qui me prennent une grande partie de mon temps libre et je préférais participer à ces activités plutôt que de rester chez moi à faire des exercices de gym.
Danielle, 65 ans, La Seyne sur Mer
Je me suis sentie très bien encadrée par ce parcours alimentaire. Étant naturellement curieuse, j’ai trouvé les exercices très ludiques et ils m’ont vraiment permis de me rendre compte à quel point j’étais en pilotage automatique quant à mon alimentation. Je n’ai pas pratiqué le parcours forme. J’ai repris le sport récemment par un autre biais qui me convenait mieux que derrière l’écran.
Marie-Laure, 39 ans, Bordeaux.
Le parcours alimentaire est très bien conçu. Je suis allée de découverte en découverte, avec un grand enthousiasme. A chaque difficulté, une solution m’a été apportée. D’ailleurs chacune de mes difficultés avait été anticipées par le programme, ce qui me fait penser que ce programme est réellement le fruit d’une longue expérience clinique. C’est rassurant.
Le parcours forme me semble bien pensé, mais, hélas, je n’ai pas eu la persévérance nécessaire pour le suivre plus de 2 mois.
Marie, 39 ans, Clermont-Ferrand.
Le parcours alimentaire est extrêmement bien conçu et explicite, c’est la pierre angulaire de la méthode. En revanche, j’ai moins exploité le parcours forme car je suivais des cours de pilates toutes les semaines. Mais j’ai apprécié la simplicité et l’efficacité des exercices que je fais quand je ne peux pas me rendre aux cours de pilates.
Céline, 40 ans, Neuilly
Le parcours alimentaire m’a aidé à me rendre compte que j’avais peur d’avoir faim et que par conséquent je mangeais trop pour ne pas avoir faim trop tôt. ll m’a aussi été utile pour comprendre que j’avais peur de manquer.
Le parcours forme est bien adapté. Il n’est pas trop difficile et permet de reprendre conscience de son corps sans souffrance.
Frédérique, 40 ans, Sucy en Brie
Je trouve intéressantes les diverses expériences, notamment celles de découverte de la faim et de la satiété qui m’ont aidée à savoir quand manger et quand arrêter. J'ai commencé le parcours forme, puis par manque de temps je l'ai arrêté, mais je fais de la marche.
Sandrine, 38 ans, Pontault-Combault
Le programme alimentaire est bien fait. Il nous fait conscientiser notre fonctionnement, notre comportement alimentaire, notre rapport à l’aliment. Les comptes rendus sont la plupart du temps proches de la réalité, mais ils pourraient être parfois un peu plus nuancés et personnalisés. Cela dit, les coachs sont aussi là pour faire ce travail plus personnalisé.
Comme je fais du sport par moi-même, je n’ai pas utilisé le parcours forme. Mais ce que j’en ai vu m’a semblé être bien fait.
Barbotine, 44 ans, Suisse
Je considère le parcours alimentaire comme mon chemin vers mon mieux-être et ma perte de poids. Je chemine dans les différentes étapes : découverte de la faim, de la satiété, la dégustation, les techniques de respiration, les aliments tabous, les envies de manger émotionnelles... Chaque étape comprend des explications, des vidéos, des exercices à mettre en pratique, des bilans... Je progresse de manière plus ou moins évidente. Mon comportement face à la nourriture évolue doucement mais de manière profonde.
Le parcours forme est facultatif. Il est recommandé d'être actif au quotidien; je ne suis pas très régulière au parcours forme car je suis toujours restée active dans mon quotidien malgré mon problème de poids (aquagym, balade avec mon chien, me déplacer à pied ...). C'est un plaisir qui m'est acquis.
Hélène, 44 ans, Bayonne
Au début, je pensais tout connaître et faire toutes les étapes facilement. Ça n’a pas été le cas. En fait, je dirai qu’à travers des petits exercices tout simples, c’est comme si on s’exerçait à apprivoiser les sensations de faim/de satiété, à quoi elles ressemblent, en fonction de leur intensité, des aliments que l’on consomme, des circonstances dans lesquelles les prises alimentaires se font, de nos pensées, des moments de la journée…. Cela nous permet également de mieux prendre conscience des mécanismes que l’on a mis en place et qui nous conduisaient de manière presque automatique à manger lorsque l’on rencontrait une situation « difficile » à gérer, liée à un ressenti positif comme négatif.
Je n’ai pas utilisé le parcours forme. Je fais déjà du sport toutes les semaines en salle (2 fois par semaine) et je n’aime pas faire du sport toute seule chez moi.
Cécile, 35 ans, Le Haillan
Au départ je n'étais pas très convaincue, j'étais très sceptique car avec toutes mes années de régime, je pensais être une "pro" de la diététique. Quand j'ai commencé le parcours, j'étais totalement perdue. Il a déstabilisé tous mes repères, c'était tellement différent de ce que j'avais connu! Petit à petit, j'ai apprécié d'être questionnée sur autre chose que sur le nombre de calories. J'ai aussi appris la respiration en pleine conscience, avec laquelle j'ai tout de suite accroché. Du coup, j'ai continué. J'ai commencé le parcours forme à mon inscription. Mais je suis très active par ailleurs, je fais du vélo, de la gym, de la marche et le parcours forme est devenu une contrainte. J'ai donc décidé de l'arrêter, même si j'ai trouvé très sympa le fait de pouvoir ajuster le programme à ses capacités.
Corinne, 45 ans, Irais
Tout ce que j'ai appris pendant le parcours alimentaire m'a été utile. Il est très simple et pas contraignant. Il y a une étape en particulier qui a été un véritable déclic: c'est celle où l'on doit sauter le petit déjeuner. Au début, ça m'a paru hyper compliqué, surtout les deux premiers jours où j'avais l'impression d'être en hypoglycémie. Désormais, je peux sauter des repas, ça ne me pose pas de problème. C'est comme pour les buffets, avant je ne savais jamais quoi choisir, donc je prenais de tout, et en grosse quantité. Maintenant j'arrive à sélectionner ce qui me fait vraiment plaisir. Au début, les séances de respiration en pleine conscience ont été difficiles pour moi car je suis hyperactive. Mais je m'en suis servi pour repérer la faim ou une émotion, car c'est très utile pour prendre du recul. J'ai un peu suivi le parcours forme, en utilisant les parcours libres.
Marlène, 40 ans, Les Ageux
Les témoignages présentés sont des expériences individuelles. Comme pour tout programme de perte de poids, les résultats qui peuvent être obtenus varient notamment en fonction des caractéristiques génétiques et constitutionnelles de chacun.
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