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Plus de 55 ans

Communauté et échange Recherche de binôme pour avancer Ensemble
06 juin 2012 à 08h

Bonjour à toutes,

Voilà je suis nouvelle depuis le 24 mai dernier. Je n'ai pas l'habitude des forum.  Est-ce du à mon âge ? Je n'en sais rien mais je me dis que je dois faire un effort si je veux continuer dans la durée ce programme.

Je pense que se sentir soutenue est très important.

Si j'ai fais ce nouveau post c'est que je me sens un peu perdue au milieu des autres.  Beaucoup de jeunes avec des enfants. Moi, je n'ai plus d'enfants à la maison, ils sont tous mariés et parents également.

Je sais que vu mon âge, j'ai beaucoup plus de mal à perdre du moids .... par contre pour en prendre pas de soucis :-)

J'en suis au carnet EME à remplir.

Y a t'il d'autres personnes qui en sont au même point que moi et qui voudraient m'accompagner sur ce chemin ?

PS : mêlme si vous êtes plus jeunes vous êtes évidemment les bienvenues :-)

A bientôt j'espère

Bisous à toutes et bon courage

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1094 commentaires

Bonjour les "Matinales" de la file!

Un petit mot avant de partir ( à reculons) pour ma séance de gym, vu le temps, envie de cocooner moi...

Viviette, je me souviens effectivement, à mon arrivée ici fin septembre, t'avoir lue à quelques reprises, alorsn bon retour tangible parmi nous!

Chère collègue Elsab, je suis à la retraite depuis deux ans mais "prof un jour, prof toujours"...!)  je crois que parmi la gente enseignante, comme  dans certains autres corps de métier au service des autres ( personnel infirmier par exemple, que j'ai beaucoup rencontré et pour cause, mais avec lequel  aussi beaucoup échangé) on a souvent des éponges empathiques comme nous...Ce n'est pas du tout un innocent hasard...

C'est vrai , Izabelle, que tu es sur beaucoup de fronts, à L.C en ce moment!

Ainsi chacun(e) apporte sa pierre à la prise de conscience et à notre cheminement: de vrais mousqueteraires, en somme: Un pour tous, tous pour un?!

Je crois que c'est toi qui dis"pour moi, c'était la mal aimée, l'exclue"...Bah, pour moi aussi! parce qu'au départ, bien avant mes 13 ans et les épisodes dramatiques que j'évoque, il y a d'abord eu une petite fille partagée entre deux femmes qui se battent ( symboliquement bien sûr) autour d'elle, (ma jeune maman et ma gd-mère paternelle  qui me sert de nounou, qui ne sait pas tenir sa place de "simple" gd-mère...) résultat, "ça" confuse dans mon ceour et ma tête de petite fille,  j'intériorise un "conflit de loyauté envers ces deux femmes, et voilà la naissance de la GROSSE culpabilité installée. Plus 3 ans + tard, ma première soeur qui nait et que cette fois-ci, échaudée, ma mère ne lâche pas. Moi, je reste + ou - confiée à ma gd-mère et là, 2eme étape: je me sens peu à peu laissée pour compte. Surtout que ma soeur aura de graves soucis de santé pendant 2 ou 3 ans  et que que je me fais toute petite et sage  pour "ne pas en rajouter" mais avec le sentiment ( inconscient pas formulé bien sûr, pas l'âge ), que je ne compte pas autant...

Bon, si je raconte ça, c'est que je ne suis pas un cas unique et que, transposée , mon récit peut parler aussi à d'autres et participer à la prise de conscience, ainsi qu'à l'idée (fausse) que l'on est un cas à part.

Bien sûr pour mon cas, en tous cas, que je n'ai pas été abandonnée, que j'ai été aimée...mais sûr aussi que j'avais besoin de plus de reconnaissance et d'attention, et que les adultes de l'époque, autour de moi, n'y ont vu que du feu...Qu'ils n'ont pas été suffisamment attentifs, sécurisants et que j'ai intériorisé ça avec la rivalité malsaine entre deux femmes à mon sujet : tout était là pour faire de moi un être en quête incessante de reconnaissance et donc prête à se saigner aux quatre veines pour autrui, à se jeter sur les causes  désespérées, les hymalayas à conquérir: eh! Faut la mériter, son existence, faut surtout aller chercher des preuves de sa valeur, puisque on ne nous l'a pas assez pas clairement dit et prouvé, dans nos premières années.

Vous savez quoi: j'ai commencé ma vie en étant une chipoteuse en matière de nourriture et ça désespérait ces femmes , mère et gd-mère. rester devant une assiette pendant des éternités et les mettre en colère par mon refus d'aller plus loin: c'était moi! Fillette menue, mais pas maigre...

Et puis , l'explosion, sous le coup du "trop c'est trop" de coups durs, à 13 ans: au fond, chipoter et engloutir, deux versants d'un même (relatif) mal de vivre...

"La faute à pas de chance" comme on dit. La thérapie m'a amenée à me rendre compte que ces adultes n'avaient pas voulu ça, A pacifier tout ça.

Restent les habitudes de penser, d'être, qu'il faut gommer peu à peu. M'arrive encore (trop souvent) de retomber dans mes "mauvais plis", mais, plus rien de comparable. Alors le leimotiv de LC: s'accorder du temps, de l'indulgence, c'est la suite de la psychothérpie, son complément essentiel.

Bonne journée.

L/M

Je suis en décalage par rapport aux derniers posts sur la RPC, pardonnez-moi, j'arrive "comme un cheveu sur la soupe "mais j'avais du mal à me connecter sur cette file depuis hier ( why? mystère..;) et finalement mon message a fini par passer quand même ( mystères de l'informatique...)

Moi, je commence à me mettre plus régulièrement, à la RPC.

Ce sont tous vos messages et explications supplémentaires, qui m'incitent à me glisser plus souvent dans la pratique. Non pour bloquer des EME  mais par exemple, pour facilier l'ndormissement certains jours où la "folle du logis" comme disait Pascal, vous fait tourner en bourrique et enchaine préoccupatiosns et idées diverses à vous en donner le tournis!

Parce que côté EME, bah.. rien; Mais périodes de "faut que je fasse ceci, que je pense à ça, " oui!

Ah chère Léontine, ton long message fait tellement écho en moi que j'aurai presque pu l'écrire. J'ai aussi été la bonne copine, mère, épouse,prof... Une thérapie plus loin, que de ménage j'ai du faire, me rendre compte que beaucoup de mes amis étaient des gens qui reposaient sur moi, qui faisaient appel à mon écoute mais que je n'appelais jamais si moi je n'allais pas car je savais instinctivement que notre relation n'était pas fondée sur ce genre de rapport. Dans mon boulot pareil, je suis une prof toujours à l'écoute de ses élèves, et les RV avec les parents sont souvent le lieu de confessions sur leurs angoisses et inquiétudes. 

De plus en plus j'essaie de prendre de la distance par rapport à celà, je suis persuadée que ma prise de poids régulière était une protection à ça et peut-être à d'autres choses. Les kilos perdus depuis neuf mois...parfois il me semble qu'ils me manquent un peu. Heureusement que la RPC ou plutôt Mindfulness que je fais régulièrement m'aide à ne pas inverser la tendance.

La période est difficile, peut-être l'hiver... je sais que les beaux jours me redonneront surement la formidable pêche que j'avais au début de LC..

Bonjour, à toutes, les amies!

Ah Monielle, la crainte de ne pas être aimée...

- Et qui vous fait une enfant bien (trop) sage, pour être sûre de ne pas décevoir les parents, les maitresses, dans l'enfance, par exemple...

- Et qui vous amène peu à peu, et la plupart du temps en croyant qu'il s'agit là de votre "nature", de votre "tempérament", " caractère", à vous oublier sans cesse, à être  sans cesse dans le sacrificiel:                                                                                           - bonne copine à l'école, pour ne pas dire bonne poire  ;-)) ,                                                                                                       -  bonne collègue plus tard ( pour ne pas dire...etc etc)

            - bonne employée, travailleuse, ( pour ne pas dire ...)

        - bonne épouse encore, ou essayant tellement de l'être, évitant le conflit, donc ravalant ses envies ( pourtant normales) de s'affirmer ou  de dire si ça ne va pas ou pas bien: des fois que'"on" ne nous aimerait plus! Comme si  chercher de justes mises au point, exprimer ses désirs, allait vous rendre moins aimable au sens propre du terme!

        - bonne mère, ensuite, sachant bien que la perfection n'est pas de ce monde en la matière, pas plus que dans une autre sphère de la vie,  mais y aspirant sans cesse, s'y épuisant chaque jour, dans oubli (mortel) de soi...

Et qui fait que de toutes façons, malgré tous ces efforts et notre "tout donner", nous ne sommes jamais sûres d'en avoir fait assez, de mériter un compliment, un hommage: gouffre sans fond! 

A l'adolescence, en parfaite exaltée, j'avais même faite mienne cette devise que j'ai prise au premier degré: " On n'a rien donné quand on n'a pas tout donné" de je ne sais quel écrivain mystique tout aussi exalté que sa jeune lectrice!

C'est épuisant, impossible et, je le sais aujourd'hui de façon limpide grâce à la psychothérapie analytique commencée il y a 11 ans, quand  j'ai été atteinte d'un cancer très grave , c'est malsain. Pour  soi mais aussi pour ceux qui nous entourent, malgré les apparences.

Malsain de ne pouvoir au fond, se donner de raison, de mérite à exister, que dans le regard de l'autre...Bien sûr que nous sommes sincèrement de bonnes et braves filles et qu'il vaut mieux être sans méchanceté envers les autres., désireuses de liens sociaux harmonieux et attentives aux persones que nous aimons et aux enfants que nous vons mis au monde.

Mais  quand c'est au point de pas savoir s'affirmer, et que ça finit par vous rendre malade ( moi) ou si mal épanouie que l'on n'a plus que la solution de se protéger dans la bouée de sauvetage des kgs... C'est ce que, pour ma part, j'avais bien deviné depuis longtemps, mais que la thérapie m'a amenée à mettre vraiment noir sur blanc sur la table, si je puis dire, et ensuite, et  à trouver des façons de faire autrement..

Quant aux kgs pris, si certes les premiers pris à la puberté, l'année de drames familiaux et de santé, ont été des kgs de compensation à la douleur, la solitude, le chagrin et la peur de mourir trop tôt à cause de ce 1er cancer, ( sans avoir au moins une fois embrassé un garçon, eté amoureuse, été aimée, si si, je vous jure, c'était ça ma plus grande crainte, mon plus grand regret, c'est triste et mignon, non?! ), tous les autres, ensuite, n'ont été dus qu'à ces maudits régimes qui m'ont fait perdre, comme à vous, je pense, non pas les kgs en trop, mais mes vrais repères de faim, satiété, plaisir, paix avec la nourriture voire le simple fait de...manger.

Preuve s'il en est: j'ai vraiment trouvé d'autres moyens que le sacrifice et l'oubli excessif de soi, en 11 ans, trouvé mes priorités, changé mes rapports à ma famille, mon époux, mes filles, mon métier ( genre enseignante trèèèèès dévouée qui se sent toujolurs coupable des mauvaises réformes de ses ministres de tutelle ;-( ) bref, si j'ai appris à me  poser des limites et à en poser aux autres, MAIS ça ne m'a pas fait perdre mes kgs!

Bon, je reconnais que depuis ma dernière perte de 6 à 7 kgs, il y a trois ans, je n'ai pas repris. Enfin, j'ai deux kgs qui vont et viennent mais jamais plus.. Progrès quand même sur ce plan, finalement, tiens...

Et pour ma part, il me semble qu'il nous faut comprendre que L.C nous invite ( avec tact!) pour mincir, à changer non seulement, notre comportement à la nourriture, à rertouver nos sensations de faim et de satiété et donc nos vrais besoins avec en plus le gain du plaisir, mais  à nous envisager aussi dans notre relation àla vie en général.Les exercices proposés ne sont d'ailleurs pas de simples techniques, des "trucs et astuces" pour mincir. Ils appartiennent aux thérapies comportementales et même, pour certains comme l'image - refuge par ex, à la thérapie EMDR, qui EST une thérapie psy mais qui a apporté de nouveaux atouts pour débloquer certains à qui la cure traditionnelle par la parole ne suffisait pas ou ne convenait pas.Un des chantres de l'EMDR en France, a été D. Servan-Schreiber , si ça vous dit quelque chose et qui est mort ce printemps dernier.

Bonne soirée ,

Léontine/Martine

                                                                                                   

[quote=lEONTINE17]

     la crainte de ne pas être aimée...

- Et qui vous fait une enfant bien (trop) sage, pour être sûre de ne pas décevoir les parents, les maitresses, dans l'enfance, par exemple...

- Et qui vous amène peu à peu, et la plupart du temps en croyant qu'il s'agit là de votre "nature", de votre "tempérament", " caractère", à vous oublier sans cesse, à être  sans cesse dans le sacrificiel:                                                                                           - bonne copine à l'école, pour ne pas dire bonne poire  ;-)) ,                                                                                                       -  bonne collègue plus tard ( pour ne pas dire...etc etc)

            - bonne employée, travailleuse, ( pour ne pas dire ...)

        - bonne épouse encore, ou essayant tellement de l'être, évitant le conflit, donc ravalant ses envies ( pourtant normales) de s'affirmer ou  de dire si ça ne va pas ou pas bien: des fois que'"on" ne nous aimerait plus! Comme si  chercher de justes mises au point, exprimer ses désirs, allait vous rendre moins aimable au sens propre du terme!

        - bonne mère, ensuite, sachant bien que la perfection n'est pas de ce monde en la matière, pas plus que dans une autre sphère de la vie,  mais y aspirant sans cesse, s'y épuisant chaque jour, dans oubli (mortel) de soi...

Et qui fait que de toutes façons, malgré tous ces efforts et notre "tout donner", nous ne sommes jamais sûres d'en avoir fait assez, de mériter un compliment, un hommage: gouffre sans fond!

                                                                                             

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Bonjour Léontine,

Cela fait un long moment que je suis ce fil (en particulier) qui me parle vraiment et ce que tu dis me touche particulièrement, sauf que je ne l'aurais pas aussi clairement exprimé.

Je suis malade mais je me soigne.LOL Beaucoup de choses que je pressens mais qui prennent un nom à la lecture des posts du forum. C'est sans doute un des grands succès de cette méthode, relayée justement par des très belles personnes humanistes, qui nous font nous interoger et progresser plus vite sur le chemin de la sérinité. Merci à toutes, ainsi qu'à Isabelle, omniprésente partout et surtout pour la RPC.

Si je m'y remets, c'est beaucoup grâce à elle, à ces explications claires et concrètes, et aussi à vous toutes avec vos questionnements et vos doutes!

Bonne journée.

Viviette

 

je suis très contente si mes interventions peuvent te motiver Viviette, demain ça sera toi qui pourra motiver les autres (tu le fais déjà d'ailleurs)   car quand on emprunte un chemin, ensuite c'est du vécu....

très beaux posts sur l'hyper-empathie....   moi aussi je me suis soignée....

moi c'était l'histoire de la mal-aimée, de l'exclue...

je me suis même aperçue que si j'apportais tout le temps des gâteaux quand je voyais des amis, c'était aussi pour me faire "accepter" (en plus d'adorer le défi technique de la patisserie)

maintenant quand cette histoire de mal-aimée vient me turlupiner, j'essaie d'en avoir conscience simplement, de l'accueillir tout en prenant BEAUCOUP de distance....  genre je me chante la chanson de Claude François   "je suis le mal-aimé...."

//www.youtube.com/watch?v=2Z3r5coOmKk

 

bonne journée à toutes

[quote=izabelle]

je suis très contente si mes interventions peuvent te motiver Viviette, demain ça sera toi qui pourra motiver les autres (tu le fais déjà d'ailleurs)   car quand on emprunte un chemin, ensuite c'est du vécu....

très beaux posts sur l'hyper-empathie....   moi aussi je me suis soignée....

moi c'était l'histoire de la mal-aimée, de l'exclue...

je me suis même aperçue que si j'apportais tout le temps des gâteaux quand je voyais des amis, c'était aussi pour me faire "accepter" (en plus d'adorer le défi technique de la patisserie)

maintenant quand cette histoire de mal-aimée vient me turlupiner, j'essaie d'en avoir conscience simplement, de l'accueillir tout en prenant BEAUCOUP de distance....  genre je me chante la chanson de Claude François   "je suis le mal-aimé...."

//www.youtube.com/watch?v=2Z3r5coOmKk

 

bonne journée à toutes

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Merci Izabelle!anglekiss

Oui, je suis le mal aimé, çà me parle mais aussi "le chanteur abandonné" !

Bonne journée

Bonjour à toutes !

Leontine, ton témoignage m'a frappé car je me suis reconnue dans l'enfant que tu décris.  Et c'est vrai que mes relations avec les autres durant ma jeunesse ont été empoisonnées par cette empathie  et par ma timidité maladive.

Au fait, ta citation, c'est de Guynemer. ( j'ai regardé sur google ).

Moi c'était: " Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse."  Mais je l'ai gardé, c'est quand même moins excessif.

Je ne sais pas à quel moment je m'en suis sortie...Cela a dû se faire petit à petit, ou peut être que c'est toujours là mais que j'ai réussi à l'étouffer sous les strates des aléas de la vie. En tout cas , je ne me sens plus du tout prêt à m'effacer ou à me sacrifier ou alors je ne m'en rends pas compte et je n'en souffre pas.

Mais c'est vrai aussi que je me sens toujours de trop , ou en retrait, ou invisible dans une assemblée. Ett c'est pour cela que je me sens mal à l'aise dans mes relations avec les autres. Sauf avec la famille ou les amis d'enfance, qui me connaissent et m'aiment comme je suis depuis toujours.

Quand je relis ce que j'ai écris, il m'apparaît que c'est trés révélateur d'un problème. ( par exemple, "depuis toujours " )

J'ai beaucoup souffert quand je travaillais de ce problème de relations avec les autres.

J'ai appris à me battre dans les transports en commun aux heures de pointe .( J'ai arrêter de travailler à 61 ans, 2 ans trop tôt parce que je n'en pouvais plus).

Bon, tout ça pour dire que je pense que la plupart des gens , en creusant bien, ont un" mal être " quelque part, même ceux qui semblent super bien dans leurs baskets, non ?

Et est-ce que ça peut être relié à nos rapports avec la nourriture ? c'est vrai qu'étant jeune, j'avais beaucoup d'EME.

Plus maintenant, j'ai donc surmonté certaines difficultés, sans doute.

Bonne journée !

Bonjour Doremi,

Si j'en crois ta date d'inscription, tu as fait de gros progrès depuis ton arrivée ici, à moins que ton travail n'ait commencé avant. Si tu es ici, c'est que ton chemin n'est pas terminé et tu es en de très bonnes mains.

Ma route sera sans doute plus longue, car j'ai passé une bonne partie de ma vie à absorber ces peurs, ces angoisses, ces émotions et ces ressentis qui me faisaient culpabiliser. Et maintenant, çà commence à remonter à la surface et la colère apparait parceque je trouve çà injuste. Voilà, injuste peut-être mais c'est ainsi..Eet il va falloir que je l'accepte. Je suis en route.

Bonne journée.

Viviette

Bonjour tout le monde. Le niveau de ce ( de ces) posts est intéressant ( enseignantes, mais pas que...) quant à la prise de conscience de la dimension psychologique et humaine, du mal être ancestral ( et quand je dis ancestral d'ailleurs, j'inclus peut-être le mal être de nos mères...) .il y a toute une réflexion qui se fait ici et qui nous fait avancer.

Au sujet de la devise, moi je me souviens que la mienne en terminale ( l'année 67!) c' était EXCELSOR, ce qui voulait dire, je crois TOUJOURS PLUS HAUT! Incroyable, car on en est venue à TOUJOURS PLUS GROS....

Allons, j'ai du travail, à bientôt.

Articles de référence

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Le régime Montignac, qui dissocie les aliments
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