Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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bon courage à toutes pour vos inconforts, ce soir mon inconfort : une violente dispute avec ma fille de 20 ans, des mots très durs ont été dit , par elle, par moi, je suis en colère furieuse contre elle, je lui ai dis que je souhaitais son indépendance , trop de conflits , trop de disputes, cela me bouffe.
Je viens de terminer deux jours en 12H... claquée aujourd'hui.. sans compter ma sensibilité aux hormones^^ j'ai l'impression qu'il me faudrait une journée entière de sommeil non stop pour récupérer parfois, et encore :/
Bon courage à toutes
Ce samedi, mon inconfort, c'est une grosse langeur de fin de semaine. Je ne fais rien aujourd'hui, je me sens tout mou, mou, mou. Je déteste être comme cela. J'ai 1000 trucs à faire et je n'ârrête pas d'y penser, mais voilà. J'ai bien compris, fatiguée d'une semaine de fou, aujourd'hui, je traîne.
Vivement, demain parce que demain, c'est un autre jour.
Gros rhube.. fièvre, mal dans les articulations, soucis et soucis tous liés au travail, et aussi sentiment (lié à un coup d'oeil dans le miroir aussi) d'être vieille et grosse, ridée et énorme.... = grrrrrrrrrrr + snif, snif...
Je ne sais même pas si ça rentre dans "sentiment d'inconfort..." ?
Je ne peux même pas respirer "avec" ou "au travers", tant j'ai du mal à respirer...
Bon pas simple mais en dehors de lâcher prise il n'y a rien d'autre je pense... Impression que je manque d'air, j'étouffe un peu dans ma vie peut-être ?? Bon allez la psy de bazar va aller faire dodo ;-)
Bon w-e à vous !
Ah, je te rejoins Monia !
Moi aussi gros rhube : celui de Fiston, que je récupère à chaque fois + allergie aux pollens et autres graminées.
Du coup, nuit hachée, yeux qui piquent et qui pleurent, gorge qui gratte et nez qui coule...
Et pourtant j'adore le printemps... !
Allez, vivons avec tout cela ; ça finira bien par passer...
Au plaisir de te lire
Mon inconfort du moment c'est une immense fatigue, un sentiment d'épuisement...et une peur sous jacente
Je suis en arret de travail suite à un burn out tres violent ( avec paralysie des jambes et diaparition de la fonction parole pendant qques jours, puis lombalgies totalement paralysantes ) depuis fin Janvier .
Il m'a fallu du temps pour accepter que mon corps s'était mis en rideau, pour me dire STOP
Je suis sur la voie du rétablissement .
J'envisage de reprendre mon activité professionnelle fin Juillet.
Mais je fais le constat que même une petite activité de rien du tout ( ex : aller à la plage avec une amie, -certes après 1h30 de route mais bon ..- , marcher 15/20 mn pour aller au ciné , porter qque chose...) m'épuise .
Conclusion : je ne suis pas remise .
Même quand je me sens bien, la fatigue arrive très très vite; la lombalgie accourt
Je sais qu'il va me falloir du temps, car je vois bien que, moi, l'hyper speed,l' hyper active , j'apprécie aujourd'hui de ne RIEN faire..ou pas grand chose. C'est nouveau pour moi : je ne me suis toujours conçue que sur le mode " too much" .
Constater que je ne m'ennuie plus vraiment avec moi même me convient car jusque là, c'était juste franchement l'inverse
Je fais, depuis ce burn out, l'apprentissage d'écouter mon corps, d'accepter de ne rien faire si je m'en sens incapable .. Mais ça me fait peur ...pour la suite :
Je déteste etre en mode zero energie ; pour le moment, j'arrive à accepter, je me dis que j'en ai le temps...mais après? quand je vais reprendre le travail, je vais devoir etre aussi efficace" qu'avant "
Cette angoisse participe à mon épuisement , j'en suis consciente; elle est là, je vis avec tous les jours, j'ai pas trop le choix ...mais c'est tres inconfortable
Ah ! Patience je pensais à toi et je me demandais si tu avais arrêté LC... Pas terrible du tout pour moi, en ce moment, je n'arrive à rien avec moi ou avec la méthode (une question de point de vue...). Je désespère particulièrement en ce moment, j'ai pris des kgs (!) et un coup de vieux et un gros rhume... pas le moral et mon poste à la fac est menacé... bref, quand tout s'en mêle, juste envie de baisser les bras ce w-e, m'abandonner un peu à la tristesse qui est bien là quand la colère s'en va... laisser couler... ce w-e sous la chaleur et aussi dans la fièvre, bon, je pleure mais suis plus forte que tout ça c'est certain..
Merci du clin d'oeil et bon courage à nous et à tou(te)s!
Bises Patience, bon dimanche...
oui courage à vous
avec la faim, si on "l'attend" comme ça, en faisant le pied de grue, ça peut vite être lassant....
on finit par sauter sur le moindre gargouillis pour dire "ça y est!!! à l'attaaaaaque!" alors qu'en fait : non
ce que je fais : je fais "comme si" j'avais mangé et je passe à autre chose
par exemple le matin je prends mon café, et je considère que j'ai petit-déjeuné
c'est juste le petit dej des jours sans faim
mais j'ai pris mon café et dans ma tete je passe à autre chose, du moment que mon estomac est en paix, je travaille, etc.....
c'est dans la matinée, pour peu que la faim se pointe, que me rend compte que je n'ai pas mangé le matin, mais en fait j'avais oublié
la faim, pas besoin de l'attendre, quand elle est là, elle se rappelle à vous
le tout est d'avoir un truc sur soi au cas où (j'ai toujours une barre dans mon sac) et puis on oublie et on vit sa vie
ensuite les soirées avec des gens qu'on n'aime pas, connait pas, + des chips, oui c'est vraiment dur
car en voulant amoindrir, calmer les ressentis sociaux désagréables, on utilise les chips, alors forcément......
heureusment ton corps va finir par utiliser toute cette énergie alors en écoutant ta faim, ne t'en fais pas
pense à revenir simplement à la conscience de ton corps et de ses besoins