Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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Et bien, je vois que je ne suis pas seule et que "la déprimée" vient rendre visite à beaucoup de monde ici!! ;-)
Pattie, de mon côté, je ne crois pas que ce soit lié à mon cycle hormonal, ça semble être un "trait de caractère" familial. Mais je vais quand même vérifier, on ne sait jamais! ;-)
Les fois où j'arrive à accueillir la déprimée et à ne pas la repousser, ça se passe beaucoup mieux entre nous, mais hier, je n'ai vraiment pas réussi à le faire! Mon côté déprimée a un lien avec mon mode de fonctionnement "je suis victime du monde entier".
Je sens que dans ma p'tit vie de famille, j'ai besoin d'être plus soutenue et reconnue, et j'ai l'impression que le fait de me mettre en mode "victime" fera comprendre aux autres ce dont j'ai besoin (besoin d'encouragements, de compliments...), genre, si je me plains, on comprendra. Mais c'est faux, je prends conscience de choses en vous l'écrivant, il faut verbaliser clairement ce que j'attends si je veux me faire comprendre.
Et puis, il faut que je reconnaisse moi-même ma valeur, et que j'y crois.
Je crois que la déprimée s'est activée hier car je me suis sentie "inutile". Mon compagnon est enfin en "vacances", je le mets entre guillemets car il ne sait pas se poser, c'est un hyperactif, mais c'en est maladif car il est incapable de nous emmener en vacances avec fillette. Alors hier, il bossait dans le jardin (on est en travaux depuis plus de 5 ans), et j'étais partagée entre plusieurs sentiments:
Le premier, celui de me sentir inutile. Lui, à la fin de la journée, il est épuisé d'avoir fait un boulot physique. Moi, je m'occupe de fillette, et j'ai juste l'air "de ne rien faire". Il ne m'a fait aucun reproche, je me les suis faite toute seule en supposant qu'au fond, c'est ce qu'il doit penser, que je ne fais pas grand-chose.
Le deuxième, c'est d'être en colère de le voir passer tout le temps dans le jardin, alors que dans la maison, ça n'avance pas. Nous avons un extérieur nickel, le jardin est entretenu, c'est superbe grâce à lui, mais dans la masion, ça avance à pas de souris, ça fait trois ans qu'il consacre ses vacances à bosser l'extérieur alors qu'on n'a même pas de salon!! Et je lui ai exprimé clairement ce que je pensais de ça, mais non, je ne suis pas écoutée, pas entendue, et je vais encore passer un hiver de plus à me battre contre l'humidité parce que rien n'aura été fait.
Bon, pardon de m'être étalée sur ma vie, voilà tout ce qui a déclenché l'histoire de la déprimée hier....
Moi aussi ! J'ai remarqué que c'ets lié à mon cycle. Environ deux semaines après mes règles, j'ai au moins une journée où j'ai comme un goût de déprime dans la bouche. Depuis que j'ai remarqué ça, je le vis mieux, parce que je sais que ça passe, que ça revient, que ça re-passe.
Bon courage à vous !
Mon inconfort du moment est tout petit petit, mais il m'a déclenché une EME. J'ai fait des cookies au beurre de cacahuètes. Et bof. Trop trop sucrés, et puis la plaque de cuisson en silicone, ça n'est pas un bon achat. Ils ne sont pas croustillants dessous, et ils ont un goût qui vient de la plaque. Ca m'a agacée (zut, du bon beurre de cacahuète !), du coup, après en avoir goûté une mini bouchée, pour voir, j'ai failli en manger un entier, sans faim.
Je la connais aussi la déprimée...
Quelqu'un de mon entourage vient de me faire un coup tordu... j'en suis sans voix, KO, même pas capable de me mettre en colère, les larmes montent mais ne veulent pas sortir, j'en ai même la nausée...
Bon courage à toutes pour vos inconforts...
Le mien aujourd'hui, c'est l'"histoire de la déprimée" qui revient... A moins que ce soit comme vous autres, l'"histoire de la nulle" et la conséquence est de me faire déprimer....
Dans l'"histoire de la déprimée", y a un espèce de mélange avec l'"histoire de la parano":
les autres ont tous l'air plus heureux que moi, mon couple est nul, ma vie de famille est nulle, personne ne m'invite tellement ma compagnie est déprimante et inintéressante...
Vous voyez le topo: autocommentaires à fond les ballons!!!!
Toute la journée, j'ai essayé d'accueillir tant bien que mal "la déprimée". Je le sais, je ne suis pas dépressive au point de prendre des médocs, mais j'ai un penchant à ne pas être bien dans ma peau, alors j'accueille: ha tiens, aujourd'hui, tu te sens déprimée. Bon, bah, va falloir vivre la journée avec cette sentation-là...
Je n'ai pas réussi à vivre le moment présent et à savourer les multiples moments agréables de la journée, mes pensées négatives ont pris le dessus...
[quote=Violette28]
Le mien aujourd'hui, c'est l'"histoire de la déprimée" qui revient... A moins que ce soit comme vous autres, l'"histoire de la nulle" et la conséquence est de me faire déprimer....
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la déprim est généralement une lutte
il est donc possible que tu luttes contre l'histoire de la nulle et que cela ait pour conséquence de te sentir déprimée
as-tu essayé de pratiquer la défusion avec cette histoire de nulle (ce que tu fais déjà en indiquant que c'est une histoire d'ailleurs, mais on peut aller un peu plus loin, tout en restant vigilant à ne pas chercher à la faire disparaitre)
il me semble aussi que l'histoire de "la non-reconnue" et "l'incomprise" te travaillent aussi
sais-tu que c'est un grand classique chez les hypersensibles? (je ne me souviens plus si tu l'es)
et bien sûr "l'inutile" qui se rapproche assez de la nulle, c'est par comparaison avec la force de travail de ton homme, j'ai le même à la maison, hier il s'est épuisé au jardin, moi voulant être au niveau j'ai beaucoup travaillé aussi résultat ce matin j'ai le dos totalement bloqué je ne dois plus bouger du tout c'est malin....
au fait, c'est ça mon inconfort
d'abord d'avoir mal au dos
et vu que je viens de sortir d'une cession d'anti-inflammatoire à cause de mes cervicales, je ne veux pas en reprendre tout de suite (mon corps a eu du mal à supporter)
et puis voilà quoi : dès que je bouge, je me fais mal au dos, c'st énervant et stressant
l'ostéo que je me décide enfin à consulter est en vacances pendant encore une semaine....
[quote=izabelle]
la déprim est généralement une lutte
il est donc possible que tu luttes contre l'histoire de la nulle et que cela ait pour conséquence de te sentir déprimée
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Oui, Izabelle, j'ai essayé la défusion, mais je vais relire le post là-dessus, car je continue à lutter, je suppose que je ne défusionne pas vraiment du coup... Et oui aussi, je crois que je suis complètement hyper- hypersensible, même si j'ai mis longtemps à le reconnaitre. Je ne savais pas que l'incomprise et la non-reconnue étaient classiques! Bon courage à toi pour ton dos!
Pascaline, moi aussi je suis une petite mangeuse, je le suis depuis toute petite. L'avantage que j'ai sur toi, c'est que je ne sais pas compter les calories, je ne suis donc pas affectée par le nombre de calories ingérées! Quand je respecte la quantité qu'il me faut, par contre, j'ai faim plus souvent (toutes les 2 h). Ca me va bien d'être une petite mangeuse, sauf en période de fête quand on est invités: alors, là, l'horreur, je n'ai déjà presque plus faim après l'apéro. Après l'entrée, plus du tout faim, et en général, il faut encore manger un plat, du fromage et un dessert!!! ;-(
Isage109, je te souhaite d'avoir pu consulter qqn pour te soigner.
Mavo, j'espère que l'agacement est passé.
Bon courage à toutes!
Mon inconfort du moment : être motivée pour continuer linecoaching et avoir le site bloqué depuis hier en raison d'une "forte influence"... Je ne peux pas avancer et ... ça m'énerve!!!!
courage à toutes pour vos inconforts , petits ou grands,
le mien : je me suis levée avec un violent mal de tête, ça me bloque pour tout.
Bonjour Violette, mois aussi je la connais "la déprimée", en plus de la "nulle"...et je me dis : quoi ? t'as un mari, de beaux enfants, une belle maison, du boulot et t'es déprimée ??? C'est quoi le problème ??
En lisant vos posts, il me semble que je la repousse cette déprimée, je m'efforce de ne pas y penser, alors qu'il faudrait que je l'accueille. Cette déprime mal soignée date d'y il a longtemps (divorce en 1987) en plus des parents qui m'aimaient mal et qui ne m'ont pas donné la reconnaissance que j'attendais, ma fils à Paris qui ose laisser sa mère plus de deux mois sans nouvelles...
Tiens, je crois que la déprimée pointe le bout de son nez : et si je l'apprivoisais ? positivons, je reviendrais plus tard pour vous raconter ce qu'il en est.
Je vous souhaite une douce journée