Plus de 55 ans
Bonjour à toutes,
Voilà je suis nouvelle depuis le 24 mai dernier. Je n'ai pas l'habitude des forum. Est-ce du à mon âge ? Je n'en sais rien mais je me dis que je dois faire un effort si je veux continuer dans la durée ce programme.
Je pense que se sentir soutenue est très important.
Si j'ai fais ce nouveau post c'est que je me sens un peu perdue au milieu des autres. Beaucoup de jeunes avec des enfants. Moi, je n'ai plus d'enfants à la maison, ils sont tous mariés et parents également.
Je sais que vu mon âge, j'ai beaucoup plus de mal à perdre du moids .... par contre pour en prendre pas de soucis :-)
J'en suis au carnet EME à remplir.
Y a t'il d'autres personnes qui en sont au même point que moi et qui voudraient m'accompagner sur ce chemin ?
PS : mêlme si vous êtes plus jeunes vous êtes évidemment les bienvenues :-)
A bientôt j'espère
Bisous à toutes et bon courage
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J'ai souvent vécu ces kg en trop comme une protection, protection du regard des hommes, de leur désir et du mien. Et puis ça faisait tellement longtemps (depuis que j'ai 15/16 ans) que ces kg m'enveloppaient que lorsque je les perdais, j'étais contente bien sûr, contente de pouvoir mettre des habits que je n'aurais jamais osé rêvé, mais...
Aujourd'hui encore je ne peux pas vraiment dire pourquoi à la fois ces kg me pesaient et à la fois ils me manquaient lorsque j'avais réussi mon rêve : les perdre !
La seule chose qui compte maintenant est la délivrance de l'attirance excessive de la nourriture. Apprendre à déguster me semble le chemin pour contrebalancer le besoin que j'avais (et que peut-être j'ai tj ?) besoin de me remplir. Pourquoi me suis-je sentie forte alors ?
Ce qui m'étonne encore c'est que je n'arrive pas à sentir le moment où je prends la première bouchée qui sera de trop (et qui sera suivie par bien d'autres). Cela, je le sens après... quand je les ai prises toutes ces bouchées. C'est ce qui m'est arrivé ce matin : je ne pouvais pas manger mon plat préféré. J'en ai mangé un autre et j'ai abusé par déception. Ce soir, j'ai aussi trop mangé, sans grande faim. Pourquoi ne suis-je pas encore capable de dire non "avant" de trop manger ?
re bonjour,
La communication est un art difficile que je ne maîtrise pas toujours très bien surtout quand le sujet m'est sensible.
j'étais sincère et en aucun cas railleuse quand je te félicitais elsab.
Pour le "truc" je voulais dire façon de faire ou astuce et en l'occurrence une "recette" qui fonctionne pour toi et dont le témoignage peut intéresser de nombreuses personnes. C'est pourquoi je t'invitais à partager sur un "fil" ou "post" que je viens de découvrir et qui s'intitule en vérité : "La victoire du jour."
Je cumule en ce moment la reprise de mon analyse et celle de LC.Les deux se combinent parfois pour me faire progresser plus vite mais le tout est parfois très stressant
Je pense que l'un comme l'autre me sont nécessaire et qu'il"suffit" que je ne me laisse pas décourager
Ma maxime " bouée de secours" est dans ces cas là : "Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour continuer" 
suivi de près par : "Il faut savoir semer sa vie de petits bonheurs comme sa maison de petites fleurs"
aujourd'hui jour du psy !
c'est peut-être ça qui me travail 
A+ et merci de me lire. 
Liza, je n'ai pas dit que c'était facile, il m'a fallu des années pour arriver à ce résultat. J'ai même été mariée une première fois à un pervers narcissique qui m'a dévalorisée pendant des années jusqu'à ce que je ne sache même plus qui j'étais. Si je t'ai dit celà c'est surtout pour te passer un message d'encouragement, te dire qu'il n'ya pas de fatalité, qu'on est pas obligé d'accepter ce dont on a pas envie ... Mais je ne veux surtout pas être un exemple qui s'affiche comme le modèle à suivre. Donner des trucs qui marchent avec moi et qui sait, pourront marcher pour d'autres.
J'ai moi aussi fait de nombreuses années de thérapie surtout après mon divorce, il a fallu que je comprenne pourquoi j'avais accepté de me laisser trainer dans la boue, moralement j'entends, sans réagir, et démonter le mécanisme des pervers narcissiques pour me déculpabiliser. Il est vrai que cette thérapie m'a rendue plus forte et aussi trés rétive aux désidérata des autres qui les imposent à leur entourage. je réagis même certainement avec excès parfois, c'est le retour du balancier...
Ce que j'aime ici c'est que rien n'est directif, on se prend en main et on se prend aussi par la main.
Bon courage à toi et oui je suis toujours ouverte aux "trucs" des autres
Elsab
Dans une étape de détresse abosolue, j'ai rencontré une femme merveilleuse. Elle était homéopathe et accupunctrice, je pense qu'elle vit tj.
Cette femme m'a dit ceci : "Dans votre for intérieur, vous savez mieux que personne ce qui est bon pour vous".
Je n'ai jamais oublié ces paroles même si je me laisse encore influencer, par ci, par là. J'arrive à me soustraire aux oukases des autres, souvent d'ailleurs en prenant la fuite, car je n'ai pas tj le talent de m'opposer de face, en gardant le sourire et en étant aimable. Ca je ne sais pas encore faire et peut-être que ça viendra ? "On" n'est pas à l'abri d'un miracle...
Je vais sur le champ voir comment je peux me procurer les bouquins de Kabatt Zin, Tich Natha et aussi sur la grenouille. Ca m'intéresse bougrement.
Merci à toutes
Bonjour,
Elsab, j'apprécis ta réponse, la force de caractère qu'elle soustend et je t'en félicite.
Je trouve que tu as raison mais je m'en sens incapable pour l'instant.
J'espère avoir le courage d'en parler avec la psy pour comprendre et/ou oser dire à voix haute la raison de ce blocage très profondément incrusté en moi.
J'en ai pris conscience c'est dèja ça non !
Ce truc pour l'apéro aurait bien sa place, si ce n'est déjà fait, dans le post que je viens de découvrir "Je suis fière de moi...".
Le connais-tu ? sinon je te le recommande
A+
LIza19, Moi aussi j'ai un mari qui est accro aux apéros. Autrefois je craquais quand il me le proposait, à tous les coups d'autant plus que je pense qu'il me faisait une sorte de chantage affectif. Je lui en ai parlé et bien sur il a nié.... Alors j'ai adopté une attitude réfléchie. Quand il me propose un petit apéro je lui dis "attends je vais réfléchir". En vitesse un peu de RPC puis je me pose la question "ai-je envie d'un apéro?" Si oui j'en prends un, si non je lui dis non mais je lui propose d'en prendre un tout seul dans son coin. Comme il aime pas il boude cinq minutes et on passe à autre chose. Ce que je veux dire par là c'est que pour moi LC m'a révélé une chose: personne ne décide à ma place ce que je vais manger ou pas manger, ni des faiseurs de régimes, ni des charlatans à la D**an, ni mon mari. J'ai trop été éloignée de mes propres désirs et de mes choix des mon enfance. A 58 ans (enfin!) je dis Stop. Et finalement l'apéro c'est bon quand c'est rare...
PS : j'ai commandé le bouquin sur internet et quleques autres allant bien avec
j'aspère juste que je trouverais le temps de les lire
A+
J'aime faire la cuisine d'abord pour mon chéri et j'ai découvert que j'avais moins d'envie de manger quand je cuisinais alors que lorsque c'est lui qui est aux fourneaux, c'est l'inverse : j'ai du mal à contenir mes EME. C'est la même chose quand je suis invitée et que je n'ai pu, évidemment, maîtriser ni la préparation, ni la composition du repas. Le comble étant le moment de l'apéro avec tous ces zakouski qui accompagnent et auxquels j'ai tant de mal à résister. Résultat : soit je n'ai plus faim et l'hôtesse n'est pas contente, soit je mange pour lui faire plaisir et là c'est moi qui ne suis pas contente. Ah ! ces apéros qui durent, qui durent... quelle barbe !
J'ai remarqué aussi lorsque j'ai les mains, le corps occupé à bricoler ou à autre chose, mes EME ont renoncé à me tourmenter, enfin je crois.
Hello !
Je suis relancée sur la découverte de la faim et j'ai du mal noter au fur et à mesure. 
Je n'ai pas envie de faire l'édition papier (d'ailleurs je n'ai pas trouvé comment) et en écrivant ceci je me compare intérieurement à un bébé boudeur 
mais pourquoi ? 
l'auto analyse n'est pas toujours quelque chose de positif
J'ai essayé l'outil "comment refuser poliment" mais j'ai du mal à l'appliquer néanmoins il m'arrive d'oser exprimer mes besoins, envies ou "soupçons de volonté" mais je rumine souvent contre ce qui me déplait alors que je ne l'ai pas exprimé à celui ou celle que j'en tiens pour responsable
Ça en fait des choses à travailler avec la psy ! je doute d'en avoir le courage
Décidément le positivisme m'est difficile en ce moment.
Accepter l'imperfection voila une idée à travailler ! 
Il serait certainement bon que j'y arrive mais mon "dressage" y était tellement opposé que l'idée ressemble pour moi à une émanation "extra-terrestre"
Si je mets "imparfait mais heureux" sur amazone est-ce que ça suffit pour trouver le livre ? (merci pour la réponse)
Un extrait de chanson tourne en boucle dans ma tête en boucle : "...La vie à des hauts, la vie a des bas, des haut et des bas..." Il y a des moment ou c'est léger 
mais en ce moment pour moi c'est plutôt les montagnes russes
Bonne journée et à bientôt de vous lire
Marie1923, vient de m'aider à prendre conscience (par l'intermédiaire des blogs) que les kilogs je les garde pour moi, la perte de poids je la vis comme une injonction, comme si ce n'était pas moi qui décide ou pire encore que l'on va me déposséder de ce qui m'appartient.( les personnes en analyse doivent comprendre ce que je veux dire) les autres sans doute aussi. Il serait temps de prendre conscience que cette perte de poids ne concerne que moi, c'est moi seule qui décide de la perte ou non.Et de commencer à m'imaginer ce qui va se passer si ces kg s'envolent quel sera l'impact sur ma vie, de quel changement est-il question ? Que ce cache-t-il derrière ces kg....