Plus de 55 ans
Bonjour à toutes,
Voilà je suis nouvelle depuis le 24 mai dernier. Je n'ai pas l'habitude des forum. Est-ce du à mon âge ? Je n'en sais rien mais je me dis que je dois faire un effort si je veux continuer dans la durée ce programme.
Je pense que se sentir soutenue est très important.
Si j'ai fais ce nouveau post c'est que je me sens un peu perdue au milieu des autres. Beaucoup de jeunes avec des enfants. Moi, je n'ai plus d'enfants à la maison, ils sont tous mariés et parents également.
Je sais que vu mon âge, j'ai beaucoup plus de mal à perdre du moids .... par contre pour en prendre pas de soucis :-)
J'en suis au carnet EME à remplir.
Y a t'il d'autres personnes qui en sont au même point que moi et qui voudraient m'accompagner sur ce chemin ?
PS : mêlme si vous êtes plus jeunes vous êtes évidemment les bienvenues :-)
A bientôt j'espère
Bisous à toutes et bon courage
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merci à vous pour vos encouragmeents
oui, accepter le blues, accepter de faire profil bas....
on n'a pas toujours que des hauts
et ce sera pour lieux reprendre
j'espère que ma cheville va gurérir vite, je voudrai bien reprendre le sport, cela me mettait en forme
mais je n'abandonne pas, non, je sais bien que perdre des mauvaises habitudes de longue date est un travail de longue haleine
Bonjour à toutes !
Je me suis inscrite sur LC il y a déjà 7 mois et... je n'ai rien fait encore si ce n'est répondre au premier questionnaire!
Entretemps, j'ai encore essayé de maigrir avec une méthode restrictive.
Cette fois, j'ai vraiment compris et j'ai reçu une leçon: arrêter les régimes et me concentrer sur mes émotions alimentaires ainsi que sur mes comportements alimentaires pour guérir et atteindre le set point.
Je viens d'avoir 51 ans et j'ai 6 enfants dont 3 encore à la maison.
J'espère vraiment beaucoup maintenant de ce programme car j'ai tellement de fois déjà donné et tellement de fois, j'ai été déçue.
A bientôt
MCHope
Bon Courage! Nous sommes , toutes,logées à la même enseigne!
Cela vaut toujours le peine d'essayer une nouvelle methode, c'est aussi mieux se connaiître! C'est un challenge vis à vis de soi même.
J'ai du mal entre manger pour le plaisir et attendre d'avoir faim!
Courage et Confiance!
A bientôt!
Annemie,
Je ne sais si je vais t'être d'une quelconque utilité et peut-être le fais-tu déjà, mais quand tu te sens ainsi fatiguée, ou "bluesy", ne te fixe plus qu'un seul objectif, tout doux, pour toi et ton âme en peine, tout simple, et qui te fasse plaisir, un peu quand même...Un seul défi, même une bricole, mais qui te tienne malgré tout dans le programme, afin de ne pas décrocher de trop et te créer, ( y a des risques!) une émotion négative qui risque de te dévaloriser.
Moi, je suis très fatiguée en ce moment ( manque de luminosité, de soleil, articulations plus sensibles, et divers aspects de ma vie perso qui sont un peu...insatisfaisants, dira-t-on! Alors je me dit que j'allais mettre la pédale douce sur le programme forme ( mais je continue mes petites activités en dehors de L.C ( gym le mardi, marche rapide dès que je peux, avec une amie ou une copine.
J'ai aussi décidé de ne conserver qu'un défi et je me concentre sur l'affermissement de ma reconnaissance de la faim, encore et toujours ( ça, ça progresse bien et c'est franchement agréable de me sentir de nouveau affamée ( tiens, après la gym, par exemple, j'ai une gfaim de loup!) ou bien un vrai bon petit creux, moi qui ai mangé sans faim mais dans la restriction durant tant de temps!
Et puis le reste du programme attendra que j'ai un peu récupéré de la pêche que je suis capable d'avoir quand il y a un peu plus de satisfaction ou de sérénité. Et comme ça, je ne me sens pas en sensation d'échec, ou en situation d'arrêt.
J 'apprécie beaucoup, d'ailleurs, que chacun(e) puisse aller à son rythme dans ce programme. Se fixer une date pour commencer une étape, et la suspendre si besoin est...
Depuis le début, c'est vraiment la liberté retrouvée, qui m'a envahie.
Marie43, "
" La vie humble, aux travaux ennuyeux et faciles, est une oeuvre de choix qui veut beaucoup d'amour", selon notre Verlaine! Enfin quelque chose comme ça, qu'il a dit, le poète!
Et j'ai tout de suite pensé à ces vers en te lisant! C'est vrai que parfois, moi ausi je ressens la vertu méditative du moment de l'épluchage des légumes ou des fruits, des pommes par exemple, pour faire une bonne compote maison, régal de ma petite famille, à la mauvaise saison!
Pour le repassage, je suis moins enthousiaste, même si il y a effectivement de l'esthétisme à contempler les belles piles bien rangées de linge frais repassé ! ;-))
dès que possible, puiser dans les pêtits bonheurs quotidiens, cela peut-être une aide précieuse..
Bonne soirée à toutes et ne baissons pas les bras: pour moi, c'est clair, le temps des régimes, c'était bien plus rude et bien plus frustrant, parce que tant d'austérité sans réelle satisfaction, ou alors si vite évaporée...
Le blues des ces mois de l'année où la nuit gagne sur le jour sans qu'on y puisse qq chose. Il paraît qu'il y a des thérapies par la lumière mais jusqu'à présent je n'ai pas rencontré qq'un qui m'ait dit que "ça" marchait.
Et pourtant la nature est si belle, surtout cet automne parce qu'il n'y a pas eu bcp de soleit et que rien ou presque n'a été grillé. Alors les arbres, les feuillages se parent de jolies teintes orangé, roux, pourpre. C'est une splendeur. Hier soir, en rentrant, sur les bas côtés de la route : deux petites biches craintives qui attendaient que je sois passée pour traverser.
Et demain qui est tj un autre jour, qui est tj le premier jour... de la vie qui nous reste avec toutes les chances de repartir à nouveau, de faire une bonne journée où l'on sera sereine face aux assauts émotionnels qui ne nous conduirons pas dans les placards ou dans le réfrigérateur. Quel bonheur de pouvoir repartir chaque jour.
fatigue
blues
j'ai laché
mais je reviendrai
Premier objectif, combattre le blues. Un peu d'indulgence vis à vis de soi-même.
Chercher à voir le soleil qui brille forcement au bout du tunnel!
Une petite citation? La vie, ce n'est pas se trouver, c'est se creer. ( G.B Shaw )
Bon Courage!
je te souhaite plein de courage et t'envoi pleins d'ondes positives
C'est peut-être paradoxal mais ce qui m'aide c'est de faire la cuisine. Eplucher des légumes est presque une méditation à elle toute seule. Puis exécuter une recette, je devrais plutôt écrire s'inspirer d'une recette car j'expérimente des variantes au gré de ma fantaisie. Je me réjouis par avance de donner à manger ce repas préparé et j'anticipe le plaisir que l'on y trouvera.Tous ces préparatifs jusqu'à la cuisson s'il s'agit d'un plat cuit m'apportent une forme de sérénité qui inhibe mes EME. Je crois bien qu'à ces moments là, elles se découragent. Je suis bien contente d'avoir trouvé ici qq recettes faciles à faire (car je ne suis pas maso), peu coûteuses pour mon budget de retraitée. Bref ç'est le pied
J'aime aussi repasser. Cette occupation des mains qui va transformer linge froissé en un bel habit ou un bel objet flambant neufs et qu'on sortira tout beau, tout propre d'un tiroir, d'une penderie, d'une armoire. J'aime repasser les chemises, les sous-vêtements de mon chéri. J'ai l'impression que je contribue à le faire beau et j'aime ça
Suis-je "normale" de prendre ainsi mon pied dans ces petites choses de la vie ?
Et si vous saviez comme l'automne est particulièrement beau cette année ici. Tous ces roux-orangés, tous ces pourpres, tous ces jaunes que ni le vent ni la pluie n'ont encore fait tomber par terre. Faut se dépêcher de les contempler car déjà l'orangé-roux des fougères commence à se ternir.
Hier, je suis allée sur "citations pour garder le moralé et j'ai trouvé une petite merveille de notre coach en chef : Fr Zermati :
"ta faim protège ton poids". Ca m'a sacrément parlé car j'ai découvert ici combien il était important, jouissif et rassurant de ne manger que lorsque l'on a une "vraie" faim.
Important parce que la vraie faim ne revient qu'au bout de plusieurs heures après un repas, c'est à dire quand l'organisme après avoir travaillé à assimiler ce qu'on lui a donné, a pu se reposer un petit peu, entendre les messages intérieurs qui lui venaient de toutes part et qui lui signalaient qu'il était temps de refaire un plein de nutriments.
Jouissif parce que j'ai découvert ici (aussi) combien la nourriture avait un goût délicieux, suave, juibilatoire quand on la consommait en ayant faim. Je précise quand même, que l'écueil, pour le moment, et pour moi est que je cherche ensuite à retrouver ce goût sublime, sans le trouver. J'en souffre un p'tit peu mais je sens que qq chose vient qui m'apaise : je sais que je vais retrouver ce bonheur au prochain repas, suffit d'attendre et d'en jubiler d'avance plutôt que de manger sans faim et sans vrai plaisir.
Rassurant parce que qq part (comme disent les psy) "on" sait qu'on va retrouver ce plaisir, cette jouissance et qu'en plus "on" ne grossira pas même si l'on mange des aliments réputés "grossissants".
Courage à toutes