Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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Inconfort intérieur et de l'âme face à l'échec...(nourriture, stress et trop d'alcool)
A travailler à méditer à extérioriser.
Vive le sport...!
accepter le sentiment d'échec est difficile, mais vraiment salvateur
sinon on ne peut jamais rien entreprendre de nouveau, si on ne sait pas accepter de ressentir ça
mes inconforts du moment, qui m'ont sauté à la gorge à l'instant, puisque soudain je ne suis plus dans "l'urgence", j'ai un million de choses à faire, ça oui, mais je peux aussi décider de ne rien faire, et alors voilà que me saute à la gorge :
- sentiment de rejet numéro 1 par rapport à un ami (sachant qu'il ne m'a même pas rejeté, juste pas donné signe de vie)
- sentiment de rejet numéro 2, concernant plusieurs "cas" difficiles de mon travail... un qui s'arrête sans explications et 4 autres (2 fratries) qui oublient de venir et ne donnent plus signe de vie (en plus je pense qu'ils vont se repointer la bouche enfarinée la semaine prochaine, avec leur traine de "pardon, j'étais débordé", et là je parle des parents, dans les deux cas des familles très dysfonctionnelles)
voilà c'est surtout ça en fait.....
et puis un peu de culpabilité de ne pas me jeter sur ma débroussailleuse, en fait j'ai envie de me reposer puisqu'exceptionnellement je n'ai pas de rdv cet après-m
et cette envie de repos fait rejaillir ces sentiments de rejets.... je le note ici pour éviter que ça se transforme en EME
accepter de me sentir rejetée, parce que c'est surtout une histoire dans ma tête tout ça (et pour le coup, ça l'est vraiment dans le premier cas)
je dois dire que lorsque je fais ce travail d'acceptation émotionnelle, je me sens mieux et surtout j'ai à nouveau des "idées", envie de faire des choses....
Merci d'avoir partagé tout cela avec nous, izabelle ! ;-)
C'est incroyable comme ce sentiment de rejet peut être puissant chez plusieurs d'entre nous...
Merci de nous permettre de déposer nos inconforts quelque part
Gros inconfort du jour... enfin de plusieurs jours: je n'arrive pas à travailler du tout, je suis bloquée et je ne sais pas pourquoi, j'ai accumulé un retard considérable et limite irrattrapable... je suis pétrie de culpabilité, de honte, de peur, de colère contre moi. Et si quelqu'un se rendait compte que je ne fais pas mon travail... j'ai le sentiment que je pourrais mourrir de honte dans l'instant. Alors évidement j'enchaîne les EME et je ne dors plus beaucoup ce qui n'arrange rien et je fuis pour essayer de ne pas voir en face tout le retard.
Voilà maintenant c'est dit!
reprise du travail après 3 semaines d'abscence, et immédiatement énorme inconfort, rien n'est réglé à ce jour , je ne dors plus, je suis très mal.
courage à toi Nathalie
mon inconfort du moment : d'abord grosse journée avec que des "cas".... difficiles
ensuite les deux premiers me posent un lapin, la journée commence bien!!!!
ensuite ça fait trois jours que je subis les affres de la culpabilité.....
voilà voilà
3 jours avec Mme Culpabilité ! Eh bien, elle s'est installée dans le meilleur fauteuil celle-là !
J'espère pour toi qu'elle ne va pas tarder à s'en aller : ce genre de visite est particulièrement pénible...
Mon inconfort du moment : la fatigue et l'auto-sabordage. Comme je suis fatiguée, je ne joue pas particulièrement avec Fiston, qui en est à son 8e dessin animé si j'ai bien compté... J'ai peur d'en faire un accro de l'écran et je culpabilise (aussi) de ne rien faire avec lui... et donc de ne pas être une "bonne" maman bien-comme-c'est-écrit-dans-les-livres...
Il faut vraiment, mais vraiment, que je me repose...
Pareil pour moi, je crois, mais ce n'est pas un inconfort. C'est mon "bouillonnement de Pâques". Aux vacances de Pâques, j'ai soudain une énergie de changement. Ca fait environ trois ans que j'ai pris conscience que c'est un moment très porteur pour moi, un moment où des choses qui maturent se mettent en place, qu'elles soient ou pas à maturité. Un moment d'action, où je n'attends plus que la réflexion soit à maturité pour entreprendre des choses (la réflexion n'est jamais à maturité, je crois). Ca se traduit par du temps passé au boulot hors des heures de travail pour mettre en place un nouveau cadre, déménager des meubles, changer des affichages, instaurer une nouvelle routine, et ça aboutit à une évolution de mes pratiques. Si j'étais sculptrice, je crois que mes mains me chatouilleraient. C'est une période où les choses en place ne me conviennent plus. Je sens que je ne suis pas encore prête à faire vraiment ce que je veux faire, je ne suis pas encore au bout de ma réflexion, je ne pourrais pas expliquer verbalement ce que je projette, parce que ça n'est pas un projet, c'est un bouillonnement qui se précise dans l'action (guidé par la réflexion de l'année et des années précédents, mais qui naît par l'action). Soudain, ça se concrétise, parce que l'état des choses me convient moins que de continuer à maturer le changement pour faire au mieux. Ou simplement parce que je lis ou vois un truc qui fait tilt et qui me permet de me lancer. Au final, mon évolution professionnelle s'est faite comme ça, de "bouillonnements de Pâques" en "bouillonnements de Pâques", avec un temps de rectification aux vacances de Toussaint.
Cette année, je ne vais pas pouvoir profiter de mon bouillonnement de Pâques pour le boulot, parce que je prépare mon déménagement. Mais j'ai quand même changé des choses, la place des meubles, des petites règles, parce que tel que c'est, ça ne va pas, ça ne colle plus, je suis sûre que je suis à deux doigts de pouvoir rapprocher mes pratiques de mes réflexions (qui continueront à évoluer, je l'espère bien !).
Mon inconfort du moment, je me sens totalement incomprise par mon amoureux. Il entend et comprend ce que je dis mais c'est comme si ça n'avait pas plus de sens ou de porté que des mots. On dit mais on s'arrête là, on agit pas plus.
je me sens très fatiguée suite à tout ça, pour autant ça me coupe un peu l'appétit mais j'ai comme l'impression d'avoir perdu ma joie de vivre... Pas cool tout ça...
Mon inconfort d'hier et la colère et déception
Etre attirée par qqun qui ne veut pas de moi...et avoir envie de finir sous terre de honte...de disparaitre..
Etre rentrée en ayant le vide en moi alors que je ressentais dans l'après midi les premiers signes de faim. Et là, plus rien. Le vide.
Puis en parler avec une amie..ma donnée envie de manger..et de boire...1 2 3 presque 4 verres.
Colère frustration. Avoir réussi à lui dire non car j'avais plus faim.Inconfort car étais déçue et peu fière de moi d'avoir craqué sur japonais et alcool alors que cela ne résout en rien la frustration ni l'estime de soi.
Petite victoire quand même : avoir mangé lentement en prenant conscience et en m'arrêtant lorsque je n'ai plus faim.
Inconfort face à mes amis : tu ne manges plus? Ah y'est tu fais régime alors que tu es déjà mince? Anoexrique mentale?
Clichés. Non.J'écoute mes sensations et avant pas.
Dur dur de leur faire admettre mais je continue qd même et m'y tiendrai. Pour ma santé. Pour moi. Peu importe ce que l'on en dit.
Et ce matin, tentation d'aller sur la balance.
Résultat : aucun gramme pris.
Comme quoi. Tout ça pour rien
MErci pour ce fil de discussion izabel fort intéressant et salvateur
Courage à toutes