Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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mon inconfort du moment : il pleut. Qui dit pluie dit dessins animés pour le trésor donc il va falloir parlementer : d'abord une activité, mais tout ce qui ressemble de près ou de loin à l'école : dessin , puzzles, cahier de vacance etc ça le bloque donc négociation et ça m'use.
En plus en attendant il prend un super goûter avec crêpes et chocolat chaud. Inconfort je vous dit.
Tu vois Kaylee, je suis inscrite sur LC depuis janvier et je n'ai toujours rien perdu. J'ai bien fait tous les exercices, j'essaye de bien appliquer tout ce que j'ai appris, je donne même des conseils qui portent leurs fruits chez les autres. Je fais tout bien et chez moi : rien ! Pourtant, quand j'ai fait l'exercice du fractionnement, j'ai perdu 2.7 kg que j'ai repris aussi vite. C'est pourquoi il me semble que mon corps est sur le départ pour commencer à perdre. Mais, la condition me semble t-il c'est de me restreindre vraiment dans ce que je mange. C'est ce que j'en déduis puisque durant l'exercice du fractionnement, je mangeais vraiment beaucoup moins. Et c'est ce constat qui me provoque cet inconfort : me dire que finalement, c'est comme si je me remettais au régime : manger beaucoup moins, sortir de table en ayant faim, attendre pour manger de nouveau, ...
Désolée, je sais que je suis déprimante pour l'instant, mais après tous ces mois où j'avais la pêche en me disant que ça allait ariver, je suis désespérée. Je dois rappeler que pour moi, perdre du poids c'est devenu une priorité médicale.
[quote=Evelyne2212]
Tu vois Kaylee, je suis inscrite sur LC depuis janvier et je n'ai toujours rien perdu. J'ai bien fait tous les exercices, j'essaye de bien appliquer tout ce que j'ai appris, je donne même des conseils qui portent leurs fruits chez les autres. Je fais tout bien et chez moi : rien ! Pourtant, quand j'ai fait l'exercice du fractionnement, j'ai perdu 2.7 kg que j'ai repris aussi vite. C'est pourquoi il me semble que mon corps est sur le départ pour commencer à perdre. Mais, la condition me semble t-il c'est de me restreindre vraiment dans ce que je mange. C'est ce que j'en déduis puisque durant l'exercice du fractionnement, je mangeais vraiment beaucoup moins. Et c'est ce constat qui me provoque cet inconfort : me dire que finalement, c'est comme si je me remettais au régime : manger beaucoup moins, sortir de table en ayant faim, attendre pour manger de nouveau, ...
Désolée, je sais que je suis déprimante pour l'instant, mais après tous ces mois où j'avais la pêche en me disant que ça allait ariver, je suis désespérée. Je dois rappeler que pour moi, perdre du poids c'est devenu une priorité médicale.
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Merci de ta réponse - pendant le fractionnement j'ai grossi à force d'acumuler les collations et j'étais d'une humeur de dogue. J'ai très mal vécu cette étape. As-tu parlé à ta coach de l'effet du fractionnement sur toi ? J'ai l'impression que c'est une étape qui ne laisse personne indifférent, ça vaudrait peut-être la peine de voir avec elle ?
Mais non, tu n'es pas déprimante, si tu vas lire les différents posts des unes et des autres sur d'autres fils, tu remarqueras que nous avons pratiquement toutes des passages à vide.
héllo à toutes, courage pour vos inconforts,
mon inconfort ce matin : je reprend le travail
je n'ai pas envie d'y retourner
ce service ne me plait plus du tout, je n'aime pas les personnes qui sont dans mon équipe, elles ont été globalement horribles avec moi durant un an, ma hiérarchie a fermé les yeux,
je quitte ce service dans un mois, sauf catastrophe de dernière minute ....
cela me coûte d'y retourner.
pas du tout le moral ce matin
Mon inconfort du moment, il est psychologique : être ou ne pas être ... .
Je ne peux plus ne pas me voir tel que je suis,
je ne peux pas ignorer ce que j'ai appris avec LC, les exercices réussis, les prises de consciences, ...
Il est probable que mon corps soit au bord du départ pourvu que je respecte les consignes de LC.
D'où cet inconfort : je sais que si je limite mes quantités, mon corps va accepter de réagir mais j'ai peur de me considérer en mode "régime" et que je perdrais mon plaisir de manger. Je dois accepter le renoncement, le deuil du plaisir de manger. Et vu la quantité à perdre pour voir venir un autre plaisir à la place, je vais me retrouver pendant un long moment, sans rien pour combler ce manque de plaisir.
C'est de ce dilemme que naît mon inconfort. Accepter ou non de basculer en mode départ.
[quote=Evelyne2212]
Je dois accepter le renoncement, le deuil du plaisir de manger.
[/quote]
on peut avoir infiniment de plaisir en mangeant à sa faim
quand on a un petit appétit, on est obligé de faire en sorte que chaque bouchée soit un délice et la déguster
mais le plaisir est là, bien présent, sinon ça serait trop triiiiiiiiste
le renoncement, c'est plutôt d'engloutir tous les mals-êtres dans la nourriture
accepter de les ressentir
je comprends que ça soit un passage délicat, mais le mieux est alors simplement de se lancer, de vivre de petits inconforts émotionnels, de constater que le monde ne s'est pas arrêté de tourner et que ce n'est pas si méchant que ça
c n'est pas vraiment au plaisir que tu as peur de renoncer, mais plutôt à la peur de te confronter à toi-même
et c'est normal ma foi, on est tous passés par là (enfin les mangeurs émotionnels du moins)
[quote=Evelyne2212]
Il est probable que mon corps soit au bord du départ pourvu que je respecte les consignes de LC.
D'où cet inconfort : je sais que si je limite mes quantités, mon corps va accepter de réagir mais j'ai peur de me considérer en mode "régime" et que je perdrais mon plaisir de manger. Je dois accepter le renoncement, le deuil du plaisir de manger. Et vu la quantité à perdre pour voir venir un autre plaisir à la place, je vais me retrouver pendant un long moment, sans rien pour combler ce manque de plaisir.
C'est de ce dilemme que naît mon inconfort. Accepter ou non de basculer en mode départ.
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Evelyne, qu'entends-tu par "corps au bord du départ" et "basculer en mode départ" ? Je ne comprends pas ce que tu entends par "départ"...
[quote=Evelyne2212]
Mon inconfort du moment, il est psychologique : être ou ne pas être ... .
Je ne peux plus ne pas me voir tel que je suis,
je ne peux pas ignorer ce que j'ai appris avec LC, les exercices réussis, les prises de consciences, ...
Il est probable que mon corps soit au bord du départ pourvu que je respecte les consignes de LC.
D'où cet inconfort : je sais que si je limite mes quantités, mon corps va accepter de réagir mais j'ai peur de me considérer en mode "régime" et que je perdrais mon plaisir de manger. Je dois accepter le renoncement, le deuil du plaisir de manger. Et vu la quantité à perdre pour voir venir un autre plaisir à la place, je vais me retrouver pendant un long moment, sans rien pour combler ce manque de plaisir.
C'est de ce dilemme que naît mon inconfort. Accepter ou non de basculer en mode départ.
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C'est entièrement faux, mais je ressens exactement la même chose très souvent :-). On doit "juste" accepter le renoncement (bon, ok, c'est le pire :-). Le plaisir de manger, lui, il reste, intact, et même décuplé (du moins décuplé quand ça va bien, quand on est dans un moment où les pensées arrêtent de bourdonner plus fort que le reste). Et le "manque" que ça laisse (puisqu'on doit quand même renoncer à manger trop), c'est un manque de l'acte de manger, oui, un peu, mais on n'arrête pas définitivement. C'est surtout un manque de tout le reste : penser à l'alimentation, penser au poids, organiser un repas "équilibré", chercher de la doc sur la nutrition, comparer les effets de différentes activités physiques sur tels ou tels endroits du corps, trouver une "copine de piscine", se fixer des challenges, se peser, ajuster, se repeser, déprimer, s'enthousiasmer. Tout ça, ça prend une sacrée place, et quand ça commence à partir, même un peu, ça fait un sacré vide. Avec certaines personnes, si je ne parle pas nutrition, je ne parle pas. On n'a (avait) que ça en commun, au final ! Mais aussi dans ma tête. Enormément de mes pensées sont liées à ça. Si je n'ai plus ça, je papote de quoi avec moi-même ? (Un jour où je me disais ça, j'ai levé les yeux, et devant la fenêtre de l'évier, il y avait un nuage gris foncé en forme de dragon, sur un ciel rosé par le coucher de soleil, avec quelques brins de lumière qui s'accrochaient aux branches des arbres, etje me suis dit que peut-être, je n'avais pas toujours besoin de me parler sans arrêt ! Mais bon, des fois, il n'y a pas de nuages en forme de dragon pour me rappeler que je ne suis pas seule dans le monde, qu'il y a aussi le monde !)
En tous cas, ça te déclenche plein de choses ! Tu as lu le fil "Ce que je ressens quand je m'entraîne à ressentir la satiété" ? Tu y trouveras peut-être des échos. J'ai l'impression que les interventions, dans ce fil, ont été faites à un de ces moments-clefs : on a l'impression que c'est à portée de main, et on n'ose pas tendre cette main, et ça déclenche plein de choses (assez loin d'un "Eurêka" de victoire, d'ailleurs :-)
Bon courage à toi !
Courage Nana51 ! aujourd'hui, c'est ma Chef qui revient de congés et là, bof je n'ai pas envie d'aller travailler non plus, mais il faut bien gagner sa pitance ? Surtout par les temps qui courent...
Mon inconfort est donc de reprendre le travail avec ma chef qui revient, j'avais la boule au ventre hier soir et j'ai mal dormi. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi elle me fait aussi peur : avec elle , je suis nulle, pas compétente comme elle l'entendrait et manque de rigueur.
Mon inconfort d'à midi est que je suis allée manger sans faim, mais pour être avec mes autres collègues de travail qui rentraient aussi de vacances. la nourriture n'était pas très bonne, je suis en pleine étape de dégustation. J'aurais du ne pas manger puisque j'ai trouvé que c'était pas bon, mais je n'ai pas osé.
De plus, j'ai super mal au dos, j'espère que la douleur va passer : si j'étais allégée de quelques kilos, j'aurais moins mal. Pas le moral...