Mon inconfort du moment.....
Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....
juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal", c'est juste "inconfortable"....
et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude... ;-)
moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est fatigue + boule dans la gorge
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Plus qu'inconfort; Forte angoisse. Appris hier le suicide de mon ex- mari ; sa nouvelle femme m'avait appelé pour comprendre son comportement délirant il y a près de 2 mois.
Je me sens coupable même si c'est faux.
Ca tourne quand même en boucle.
mon inconfort, 3 jours de reprise, et hier j'apprend une information me concernant , grave, et pouvant être utilisée contre moi, je suis furieuse , angoissée, cela ne cessera jamais?
ce midi je dois voir absolument une des personnes qui aurait recu cette information mensongère, et par conséquent prendre une décision , une fois de plus , qui vont entrainer des inconforts, je me sens mal et douloureuse.
Ah mavo, le mercredi après midi où on ne travaille pas, tu as raison, quelle blague! Ca peut devenir assez cauchemardesque! je peux le dire, avec 4 enfants (maintenant grands), j'ai vécu de beaux mercredis après midis. Courage, ils ne sont pas tous comme ça... avec tout qui tombe en même temps.
Patience, un franc bravo, et merci pour l'humour, Noelle: super le score 1 à 0!
Allez, les filles, on est sur la bonne voie.
Moi, j'ai trop mangé, c'était les 18 ans d'un de mes fils ce soir. Mais je me dis que je mange beaucoup moins qu'avant quand même, parce que je supporte bien moins bien de me "bourrer" l'estomac. Du coup, semi victoire moi aussi...
Et quand même, bonne nouvelle peut être: je tousse un peu moins, et du coup, j'ai eu l'impression de me reposer un peu aujourd'hui, rien que d'avoir moins de quintes incessantes. Peut être une vraie nuit en perspective??????
Bonne soirée!
bravo d'accueillir vos inconforts
moi hier c'était la journée, entre les patients qui se décommandent à la dernière minute, les réunions "touchy" à préparer, internet qui était en carafe, où il fallait en même temps, signaler la panne, reconfigurer l'ordi de mon homme, tout ça entre deux rdv et problématiques pénibles.... pour finir cette journée "de rêve" que je m'étonnais de prendre "si bien", mon chéri m'a infligé tout d'abord un film montrant que des gens se disputant (là c'est trop! j'en ai déjà assez dans mon boulot), puis une histoire glauque que j'ai vu pour lui faire plaisir, mais là vraiment c'était trooooop......
aujourd'hui inconfort : mal de tête carabiné, un patient ce midi, pendant mon heure de pause, avec une personne (qui l'amène) qui est pénible et envahissante ( pas le patient, mais la conductrice), ensuite une réunion possiblement explosive......
oh que j'ai envie.......
Bon courage Izabelle pour la journée d'aujourd'hui qui ne s'annonce pas très bien d'après toi. La pause de midi, c'est quand même important! Et la personne envahissante, tu ne l'as pas encore remise à sa place, gentillement (ou pas d'ailleurs), mais fermement?
Moi aussi, j'ai une cliente envahissante, interventionniste, du genre qui sait tout. Eh bien quand je suis obligée de travailler avec elle, il faut que je lui demande de me laisser oeuvrer, que je sais ce que je fais...
Bref, je lui demande fermement de ne plus intervenir. Et ça a marché! Elle a un peu boudé, elle s'est retiré dans un coin avec son bouquin, et j'ai pu travailler avec sa classe (c'est une enseignante, ce qui se fait peut être de pire dans le genre qui sait tout, et qui veut tout gérer et tenir bien en main) Et chaque année, quand je retravaille avec elle, il faut que je lui repose mes règles de fonctionnement. Elle a refait appel à moi, c'est donc qu'elle ne m'en veut pas tant que ça pour mes petites mises au point!
Il est nécessaire de prendre en compte ce que l'on ressent, même dans les relations avec les autres. Poser nos demandes, et ne plus (ou moins) se laisser envahir, ou gêner par des personnalités agressives ou envahissantes. Bon OK, plus facile à dire qu'à faire, surtout si on est du genre timide, et surtout aussi si l'autre parle haut et fort et semble avoir une personnalité forte, je sais, je sais...
Quant à toi Nana, tu en dis peu, mais ça a l'air bien grave et envahissant pour toi cette information. j'espère que tu pourras tirer les choses au clair. Ca peut faire du mal ces faux bruits sur toi... Bon courage à toi aussi.
Mon inconfort du moment, c'est que j'ai l'impression de ne pas arriver à trouver mon équilibre post-règles. L'avant-règles s'était beaucoup beaucoup beaucoup mieux passé que d'habitude, mais là, j'ai l'impression de ne plus être assez patiente pour attendre ma bonne faim, de ne pas réussir à encaisser le fait de laisser une petite place, et même de ne pas respecter mes appétits spécifiques : hier j'ai mangé des lentilles, qui finalement ne sont pas aussi bonnes que je l'espérais (mais elles n'y sont pour rien, ces pauvres lentilles : mon mari les a trouvées délicieuses). Ce soir, j'ai mangé à nouveau des lentilles, sauf que j'avais envie de pommes. Donc j'ai mangé une pomme ensuite, alors que je n'avais plus faim. Hier, j'avais envie de pommes aussi, mais j'ai mangé une mousse au chocolat à la place (bon, j'en avais envie aussi, mais pas autant, ça n'était pas une envie du corps). Et le soir, pendant mon EME habituelle, j'ai pensé à manger une autre mousse, et finalement, j'ai dévoré deux pommes, avec délice. Des pommes pendant mon EME du soir... c'est une grande première ! A croire qu'en ce moment, c'est mon aliment tabou !
J'ai du mal à accepter d'avoir "perdu", même momentanément, les avancées que je sentais avant le week-end. Mais je m'accroche quand même, je tiens bon sur les fondamentaux : pause salle-de-bain en fin de journée, je me lave le visage en écoutant des mantras sur ma tablette. Puis RPC. Puis un temps de vide, entre la RPC et le retour à "l'extérieur". Ca me fait du bien, mais je ne trouve pas encore le mieux-être que je pouvais ressentir simplement en me connectant à moi-même plusieurs fois dans la journée, pour prendre conscience de mes inconforts et les accepter. J'ai l'impression d'être dans une course et de devoir attendre l'arrivée pour pouvoir me poser, et je me sens fatiguée.
(L'écrire va peut-être me permettre d'accepter de lâcher-prise. Parce que bon, ça fait juste depuis vendredi soir que je suis comme ça. J'ai l'impression que ça fait plusieurs semaines !)
En me relisant, je m'aperçois qu'en fait, c'est bien ça : les pommes sont mon aliment tabou du moment ! Ce week-end, je me suis chouchoutée avec du sucré (entre la douleur et les anti-inflammatoires, la seule chose très nette, c'était mon envie de sucre). Maintenant, je n'ai plus cette envie intense de sucre. Mais manger plus léger, ça me fait l'effet de ne pas "profiter encore un peu". Un vieux contrecoup d'ancienne régimeuse. En fait, "profiter", ça serait plutôt manger ce que j'ai envie de manger (envie dans le sens d'appétit, dans le sens qui fait qu'au goût, c'est aussi bon qu'à l'idée), et me laisser une petite place, ressentir à nouveau la bonne faim, et surtout me demander régulièrement dans la journée comment je vais, une ou deux inspirations/expirations en pleine conscience, en essayant de me laisser traverser par les émotions.
Ca secoue bien, quand même, les périodes de règles !
Courage, Patience
Allez il faut allez de l'avant comme tu dit tu as de la chance d'avoir eu le financement que tu attendais c'est une très bonne opportunitée nourrit toi de cette peur pour avoir le courage de le faire : il faut la combattre pour avancer....
De tout coeur avec toi , et bonne nuit d'avance..