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Le parcours alimentaire m’a beaucoup aidée, il est le socle de la progression. Les exercices sont simples et ludiques, les vidéos très claires. Le programme peut s’adapter à tout le monde car en cas de difficulté passagère les coachs sont très réactifs.
Le parcours forme est très bien aussi, ludique, clair, adapté et modulable. En plus, enfin un prof de sport qui me parle gentiment ! Je marche énormément et je fais du sport par plaisir. Je suis de plus en plus active en général (je redécore mon appartement, trie mes papiers, appelle les gens qui me manquent, écris, etc.). Je pratique plus souvent la méditation, j’essaie d’écouter davantage les autres, de respecter autrui et moi-même. Ma vie n’est pas parfaite (et ça fait partie du parcours d’accepter de ne pas être parfait) mais je l’accepte chaque jour un peu mieux.
Constance, 28 ans, Paris
Le parcours alimentaire nous aide vraiment à progresser pas à pas sur la façon dont on mange. Même si je savais les choses de façon empirique (écouter ses sensations, manger quand on a faim, s’arrêter quand on n'a plus faim, pas d'aliment interdit...), et que je connaissais le déroulement des exercices, le fait de les mettre en pratique, de les expérimenter fait vraiment la différence. Ce parcours alimentaire m'a vraiment permis de mettre en évidence mes propres difficultés, les points à améliorer. Et grâce à eux, j'ai pu (re)trouver une relation apaisée à la nourriture.
Le sport était ma hantise ! J'avais stoppé toute activité sportive depuis plusieurs années. J'ai donc mis un certain temps avant de me lancer dans le parcours forme, alors qu'en parallèle, mon parcours alimentaire progressait à vitesse grand V ! Et puis, une fois entamé, j'y ai pris de plus en plus de plaisir, jusqu'à reprendre des activités en plus, en dehors de ce parcours. Je suis aujourd'hui inscrite à un cours de sport, je vais régulièrement à la piscine et j'ai pédalé plus de 100km pendant l'été. C'est une vraie victoire pour moi, qui donne confiance et qui aide à renouer avec son corps de façon très valorisante. A mon sens, c'est le complément indispensable du parcours alimentaire.
Karine, 35 ans, Châtillon sur Seine
Le parcours alimentaire est ludique et j’aime l’idée d’expérimenter ses sensations, de n’avoir aucune contrainte alimentaire. Je m’amuse en fait ! J’arrive maintenant à ressentir la satiété, pas toujours mais de plus en plus souvent et j’arrête de manger quitte à jeter. Je suis moins angoissée de « manquer » même si c’est encore fragile et j’arrive à attendre d’avoir faim. Je n’ai presque plus d’EME mais là aussi c’est encore fragile, j’ai encore peur d’acheter une baguette à la boulangerie car je pouvais la manger dans la voiture avant de rentrer -entière- en six kilomètres. Je n'ai pas suivi le parcours forme car trois fois par semaine je suis un cours de 45mn d’aquagym et cela me fait beaucoup de bien. J’ai du mal avec la gym sur « terre » car mes articulations souffrent. Toutefois, il a l’air sympa.
Edith, 58 ans, Feucherolles
J'apprécie le parcours alimentaire. Il m'a permis de manger ce que j'aime et surtout de m'entraîner à être à l'écoute de mes envies et de mes besoins, ce qui est banni des régimes classiques. En toute honnêteté, je n'ai que peu suivi le parcours forme. J'ai un genou très abîmé à la suite d'un accident de voiture et mes vertèbres cervicales ne sont pas beaucoup plus brillantes. Je fais très attention aux exercices physiques que je pratique pour éviter d'aggraver les douleurs.
Angélique, 33 ans, Saint-Paul-en-Gatine
Le parcours alimentaire est très bien organisé avec ses différentes étapes en alternance : travail sur les croyances alimentaires, travail d'observation de notre comportement face aux aliments, travail sur la pleine conscience… Je ne suis pas sportive et le niveau du parcours forme m'a parfaitement correspondu car il me demandait peu d'effort et de temps et me permettait malgré tout de faire bouger autrement mon corps, de mieux le sentir.
Isabelle, 42 ans, Montluel
J'ai découvert la dégustation en pleine conscience au cours du parcours alimentaire. Elle m’a vraiment permis de redécouvrir le plaisir de manger et de percevoir le goût de ce que je mangeais. Les repas ne sont plus seulement des moments indispensables physiologiquement : ils (re)deviennent un plaisir (sauf à la cantine du travail, mais c’est parce que ce n’est pas bon…). J’assume beaucoup plus mes écarts. Non seulement ils sont moins importants qu’avant, mais quand bien même, je me régule seul les jours qui suivent… Adieu culpabilité ! J’ai perdu les automatismes de prendre un petit déjeuner alors que je digérais à peine les excès d’une soirée arrosée. Quant au programme forme, j’ai parfois dû moduler le programme pour tenir compte de mes efforts, car je suis plutôt sportif.
Pierre, 34 ans, St Maurice
Manger est devenu une chose sérieuse à faire attentivement et en y prenant plaisir: je mange plus lentement et j’apprécie davantage la nourriture. Je ne fais rien d’autre pendant que je mange et globalement j’ai diminué les rations alimentaires. J’ai levé les tabous et je gère mieux mon alimentation.
En revanche sur le parcours forme, je ne suis pas du tout assidue. Je me suis limitée chaque fois que possible et chaque fois que j’en ai le courage, à intégrer la marche le plus souvent possible en abandonnant les transports en commun et à utiliser les escaliers.
Geneviève, 57 ans, Nice
Le parcours alimentaire a été construit en fonction de mes difficultés propres. J'ai d'abord travaillé sur les sensations alimentaires (la faim, la satiété, la dégustation) puis sur la gestion des émotions qui me font manger. Pour moi, il était primordial de me ré-approprier les sensations de base, ça m'a aidé à « reformater » ma façon de me nourrir. Et j'ai perdu du poids tout de suite, ce qui prouve que c'était nécessaire !
J'ai commencé le parcours forme tout de suite, en parallèle avec le parcours alimentaire, au niveau 1 (sédentaire). J'ai toujours été fâchée avec le sport mais les exercices sont faciles et vite faits, ce qui est appréciable. J'ai rapidement laissé tomber les exercices proposés par le coach mais j'ai compensé avec beaucoup de marche active et j'ai même fini par me mettre à la course à pied, pour améliorer ma forme. Je ne l'aurais jamais fait si je n'avais pas entrepris cette démarche sur Linecoaching !
Céline, 42 ans, Lyon
Je suis vraiment contente ! Même s’il m’a semblé parfois fastidieux de remplir les carnets alimentaires et les comptes-rendus, j’ai retrouvé les sensations de faim et de satiété que j’avais perdues depuis des années.
Pour être tout à fait honnête, j’ai complètement zappé le parcours forme. Je n’ai jamais vraiment aimé le sport sous quelque forme que ce soit. Mais il ne faut pas croire que je sois totalement sédentaire. J’ai 2.500 m² de pré que je m’efforce de transformer en jardin et dans lequel je m’active au minimum 2 à 3 heures par jour. J’ai repris confiance en moi. Je suis plus dynamique, plus entreprenante. J’ai repris goût à sortir de chez moi. Je n’arrive plus en haut du jardin aussi essoufflée que si j’avais couru le 100 m.
Catherine, 68 ans, retraitée
Mon rapport à la nourriture a changé. Je ne mange plus de façon systématique mais seulement (ou presque) quand j’ai faim et je prends beaucoup plus de plaisir à manger en ayant faim, je supporte aussi beaucoup mieux mes sensations de faim. Les exercices m’ont aidé à prendre conscience de ma façon de manger et de mon rapport avec la nourriture. En revanche, je n’ai pas beaucoup pratiqué le parcours forme par manque de temps.
Emilie, 33 ans, St Victor de Cessieu
Le parcours alimentaire est très bien car je vais à mon rythme, c'est-à-dire pas très vite. Il me faut du temps pour assimiler tout ce que l'on nous dit et me l'approprier. Alors j'ai décidé de passer le temps qu'il faut sur les différentes étapes du parcours. J'ai moins utilisé le parcours forme car je vais dans une salle de sport au moins 3 fois par semaine pendant 1h30 environ.
Martine, 54 ans, Alsace.
Au début du parcours alimentaire je suis allée très vite, cela me semblait nécessaire. Je prends plus mon temps aujourd’hui, je profite de mon nouveau rapport à ma nourriture, à mon corps. Je suis aussi moins assidue sur mon parcours forme qu'au début mais j’ai réintroduit le sport au moins une fois par semaine. Je reprendrai cet hiver, je préfère profiter de l’extérieur. Par contre je trouve un peu surestimées les capacités supposées en fonction du questionnaire d'entrée du parcours forme.
Cathy, 42 ans, Strasbourg.
Jusqu’à aujourd’hui, le fait de poser par écrit chacun de mes repas fait office de « supervision personnelle », de prise de conscience… En fait, le parcours alimentaire n’est guère contraignant. Seul le travail sur la faim et le sentiment relatif favorise et engendre la prise de conscience de son propre fonctionnement. Quant au parcours forme, il est parfait, bien adapté !
Claude-Alain, 60 ans,
Suisse
J’aime bien ces étapes pas trop longues. J’aime remplir les carnets même si c’est un peu contraignant, ça aide aussi à ne pas faire n’importe quoi de savoir qu’on va l’écrire, le lire, le regarder. Je mange beaucoup moins. J’ai beaucoup moins de compulsions. Je mange quand j’ai faim, je ne mange que ce que j’ai envie de manger. J’ai encore des soucis avec la satiété, mais rien à voir avec « avant ». Je suis bien plus tranquille, ma colère, mon dépit, mes frustrations ne sont plus cachées derrière du chocolat. Pour le parcours forme, je m’en suis servie beaucoup le premier mois, moins ensuite dans la mesure où j’ai plutôt essayé de marcher vraiment davantage. Et je vois que ça marche, je suis moins essoufflée quand je grimpe la méchante côte du parc à côté de chez moi.
Nathalie, 47 ans, Paris.
Le parcours alimentaire est la clé. Il propose des exercices réguliers, qui permettent de prendre conscience en pratique de certaines choses. Quand on lit qu’il faut manger quand on a faim, cela parait évident et on ne voit pas très bien où on veut en venir. Mais faire l’exercice et ressentir les différents degrés de faim, ça c’est parlant. Je n’ai pas du tout fini, car j’en suis à l’étape de la dégustation (trois bouchées). Le parcours forme m’a relancé au niveau physique, sans que cela me mette en difficulté. D’ailleurs, j’ai repris le fitness, je fais aussi du yoga et du badminton de temps en temps. Je pèse aujourd’hui 87 kg, mais les gens ont l’impression que j’en ai perdu beaucoup plus car le sport affine.
Marina, 33 ans, Sarthe
On mange « trop » pour une raison qui n’a rien à voir avec la nourriture mais plutôt pour une autre cause : le stress, une raison affective, les protocoles, les mauvaises habitudes «sociales » etc. La méthode Linecoaching nous fait identifier un certain nombre de ces raisons pour nous ouvrir les yeux. Le parcours alimentaire m’a énormément aidé puisqu’il repose sur un postulat simple : manger quand on a faim et s’arrêter de manger à satiété ! Or, souvent, nous mangeons par habitude suivant un protocole : entrée / plat / fromage / dessert / café … sans avoir faim ! Retravailler ses sensations de faim est pour moi la clef du succès dans toute démarche de perte de poids. Le parcours forme fait de vidéos / de questionnaires de suivi est très bien construit et adapté au niveau qu’on déclare avant de démarrer le programme. Il a agi sur moi comme un électrochoc ! En effet, ne faisant plus de sport depuis 2005, quand j’ai vu que j’avais quelques difficultés à faire certains exercices de base du programme, je me suis dit qu’il était temps de réagir ! J’ai donc ressorti mon ancien « kimono » pour me remettre à refaire du sport ! Je joue le jeu sur les questionnaires et quand c’est dur, je l’indique en toutes lettres. C’est là aussi l’intérêt de la méthode : elle tolère enfin qu’on échoue un jour pour mieux rebondir le lendemain. Oui, le droit à l’échec existe et je le revendique ! C’est même dans les échecs qu’on apprend le plus ! A 95 Kgs, j’avais mal aux genoux ! Là à 85, je n’ai plus mal ! J’ai repris le sport et je me sens plus serein et zen qu’avant ! Du coup, au travail, je suis aussi plus efficace…
Eric, 41 ans, Etaples-sur-Mer
Le parcours alimentaire m’a guidé dans ma propre réflexion. Il permet de faire un certain nombre d’expériences concrètes autour de l’alimentation qui nous interpellent, et font vaciller un certain nombre de certitudes. Il m’a permis de remettre en cause toutes les mythologies alimentaires apprises depuis l’enfance en ayant la preuve évidente que tout cela était faux : non, sauter un repas ne fait pas grossir. Non, ce n’est pas grave de ne pas manger le matin si on n’a pas faim. Non, une pomme ne fait pas maigrir, et non, le chocolat, le saucisson et le parmesan ne font pas grossir ! Réapprendre à manger, sans compulsion ni culpabilité, tous ces aliments tabous interdits depuis l’enfance, a été une grande libération !
En commençant la méthode, je me suis inscrite dans le même temps dans une salle de sport. Je n’ai donc pas suivi le parcours forme proposé par le site. Par contre, j’y ai comptabilisé, au début, toutes mes séances de sport. J’ai essayé de tenir compte de ce que j’apprenais sur le parcours alimentaire au cours de ces séances de sport. Les séances de respiration en pleine conscience, le body scan m’ont servi pour essayer d’identifier mes douleurs musculaires, penser à mon souffle, supporter l’inconfort, notamment pendant les séances d’étirement. Petit à petit, j’ai pris goût à ces exercices sportifs. Pour la première fois de ma vie, je me suis mise à courir jusqu’à courir mon premier 10 km en compétition il y a quelques jours. Au-delà du sport, et de l’exercice physique, c’était aussi un défi important lié à l’image de mon corps : accepter de courir devant les autres, par exemple, a été difficile au début. Dans le parcours alimentaire, il y a un défi qui ressemble à celui là : il s’agit de marcher tête haute dans la rue et d’affronter sans honte le regard des autres. Et bien, courir, pour moi, c’était la même chose : ne plus avoir honte.
Lily, 40 ans, Lille
Les exercices m'ont paru assez faciles à suivre (y compris ceux de Guillaume et de son équipe sportive), car j'ai la chance (?) de vivre seule.
Marie-Christine, 64 ans, région parisienne
Le parcours alimentaire est très bien fait, il donne des idées et aide à réfléchir, puis à agir aussi.
C'est très bien d'avoir inclus le parcours forme dans le programme, voire indispensable. Les choses sont interconnectées et le corps a besoin de "soins" aussi. J'ai fait très peu de ce parcours puisque j'ai une allergie très personnelle par rapport à l'enseignement du sport, et j'ai trouvé depuis quelques mois un nouveau sport d'endurance quotidien (la marche rapide) qui me convient très bien.
Lissiboa, 46 ans, Yvelines
Le parcours alimentaire est très progressif et très bien fait. Il faut vraiment s’y investir.
Le parcours forme est également bien fait. Il m’a été moins utile, car les vidéos ne passent pas très bien ici du coup j’ai laissé tombé cet aspect de Linecoaching. Mais je m’occupe bien de mon corps toute seule.
Annette, 39 ans, Nouméa
Les témoignages présentés sont des expériences individuelles. Comme pour tout programme de perte de poids, les résultats qui peuvent être obtenus varient notamment en fonction des caractéristiques génétiques et constitutionnelles de chacun.
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