Mon vécu du programme
Sujets de discussion du moment
Bonjour,
Je voulais juste initier ce fil de discussion de manière à savoir comment vous gérer, pour ceux pour les quels c'est une nécessité, LC et la prise de médicaments à heure fixe!
Je dois prendre un médicament chaque matin lors du petit-déjeuner et je n'ai souvent pas faim! Malheureusement le médicament ne peut se prendre à jeun et doit l'être à ce moment de la journée.
Comment controuner cette difficulté en restant dans les balises de LC.
Je me réjouis de lire vos bonnes pratiques
Je suis en fait très seule dans ma guerre contre le poids, mon mari depuis des années me reproche de ne pas arriver à trouver une solution, du coup je suis mal à l'aise, me sens mal dans mon corps.
Tout ceci a une incidence ne jamais lui avoir dit mon poids, ne pas vouloir aller m'habiller avec lui pour ne pas qu'il voit ma taille, parfois je doute même et me dis qu'il est probablement parti voir ailleurs, dur dur...
J'essaie de me concentrer sur la méthode et me dire que js dois essayer de vivre un peu pour moi...
Merci, Ginko de nous montrer cet aspect des choses ...
C'est vrai que l'"ambiance régime", qui continue même en vacances, doit être invivable pour le conjoint, et aussi, peut-être, les belles promesses qui vont avec ...
Du temps où j'étais disciple du Docteur D., donc gavée de son d'avoine (vous me suivez ), je disais souvent: "tu verras, je pourrai remettre ce jean en taille **, je serai à nouveau à l'aise avec mon corps, je serai plus féminine, on sortira de nouveau, etc." Et à chaque fois, c'était le même refrain.
Pour LC, je n'ai rien promis !
Deux jours. Deux jours que je zappe le petit-déjeûner. Ce que je fais sans souci dès lors que je n'ai pas faim devient problématique quand il s'agit d'accepter d'avoir faim.
J'essaye de patienter, de le considérer comme un exercice mais... de vieilles angoisses doivent s'éveiller puisque au repas suivant je ne peux m'empêcher de manger largement au-delà de ma satiété, malgré la collation. Du cup, dîner léger et... réveil affamée )-:
Expérimenter une grande faim ? Déjà la moyenne me met dans une humeur exécrable. Il faudrait que je me fasse ermite, les deux prochains jours ! Dire que j'ai commencé un week-end en croyant que ce serait plus simple à gérer qu'au boulot...
La faim, le jeûne, je connais. J'ai déjà donné. A l'adolescence et plus tard. Mais alors j'étais célibataire. Je me prenais un bon bouquin, et le temps passait. Là, je me vois mal dire à mes loulous "linecoaching me conseille de ne pas manger alors... foutez-moi la paix ! ! " parce que c'est à-peu-près dans cette humeur-là que je vis les choses...
Vous, vous l'avez traversée comment, cette étape-là ?
J'ai finalement tenu presque 6 heures ce qui correspondait au temps que j'avais devant moi. Ca n'a pas ete une partie de plaisir mais pas un truc trop desagreable. En fait ça m'a rappele des souvenirs de rando et j'adore la randonnee. A la fin j'avais mal à la tête et ça tournait un peu. Il a fallu un moment après ma collation pour que tout rentre dans l'ordre, je dirais bien 1 heure avant de me sentir à nouveau bien. Ma collation a correspondu à l'heure du goûter et le soir j'ai eu à nouveau faim pour le repas mais là plus d'attente
Certains banissent le chocolat, d'autres, le fromage. J'ai la chance de ne pas avoir d'aliments tabou. Je mange presque tout... Il n'y a qu'un lieu qui représente mon Nemesis : Mc Do. Banni par les nutritionnistes, j'avoue pourtant mon attachement à l'Arche dorée et à ses délicieuses frites (mais comment font-ils ?!). J'évite d'y aller... mais depuis que j'ai commencé LC, j'ai changé de point de vue. La dégustation, c'est aussi possible chez Mc Do !
Le problème du fast food, c'est le "fast". Rapide. Trop vite. On ingurgite des portions trop grandes et trop rapidement. J'avais tendance à avaler deux hamburgers et le cornet de frites à une vitesse démesurée. Depuis LC, je me suis décidé à faire une expérience : déguster et prendre mon temps.
Tout commence par une mini RPC (dur dans le resto très bruyant), puis vient les odeurs du Big Mac qui s'approche de la bouche. Je suis dans une bonne faim et la simple odeur me serre l'estomac. Une bouchée... et je mâche. Explosion de saveurs. Je sais pourquoi Mc Do marche aussi bien : il y a une foule de saveurs très apétantes (chimiques ou pas, là n'est pas le débat), il y a aussi du sel. Pendant que la bouchée est mâchée en PC, je repose le hamburger dans son carton. Stupéfaction de mon copain qui a déjà fini la moitié de son CBO. "Je prends mon temps". Puis une frite. Une seule... en PC. Là aussi c'est du bonheur. Quelle huile utilisent-ils ?? Et le reste ainsi de suite.
Au final, sans tenter de fractionner, j'ai fini mon hamburger entièrement, mais j'ai quasiment mangé aucune frite. Je me suis fait plaisir et je n'ai pas l'impression de sortir ballonné. En plus, j'ai plus faim.
Je suis content, car j'aime les fast food. Une fois de temps en temps, c'est aussi la "récompense" pour une alimentation souvent plus équilibrée (bien que cuisinée, hein !).
Merci Line Coaching, là, je suis bien content d'être arrivé à faire ça : déguster du fast food !
J'ai beau être en tout début de programme, votre expérience m'a intriguée.
Du coup, j'ai juste gouté la frite d'un collègue qui revenait avec son sac Mc Do et je me suis dise :
1/ qu'elle n'était vraiment pas bonne, cette frite
2/ et que quitte à manger un hamburger et des frites, autant en manger des bons ...
Maintenant, l'expérience sera peut etre différente quand j'en aurai réelement envie...
Me voilà en fin de parcours. et j'ai mis un an. C'est dire si j'ai pris mon temps....
Or je constate depuis quelques temps, alors que je parviens de mieux en mieux à réguler mon alimentation, que l'effet inverse se produit chez mon compagnon. Il finit l'assiette des enfants (maintenant que j'ai fait accepter qu'ils n'étaient pas tenus de la vider), mange comme 4, se soucie de plus en plus des menus, de l'heure des repas...
Au début il a mis ça sur le compte de l'arrêt de la cigarette. Sauf que ça fait quasi deux ans, et son comportement est plus récent, sans que je puisse le dater. Il s'est mis en place progressivement, et il y a peu que j'ai fait le lien avec mon parcours.
Je ne lui ai pas caché mon inscription ici, ni son pourquoi. Mais je réalise que sans doute ma pathologie (que je ne lui ai jamais caché, même si ça n'a pas été facile) devait pour lui servir d'écran de protection. Comme c'était le cas à la maison quand j'étais enfant...
J'ai essayé de lui parler des exercices et de leur pourquoi, mais c'est comme si je m'adressais à un sourd. Même s'il accepte que les repas soient plus souples avec les enfants je suppose que tout cela le met en conflit avec les principes inculqués chez lui (comme chez moi, d'ailleurs, mais je suis la seule à en parler).
Bref, est-ce que votre parcours sur LC a eu des conséquences sur votre entourage ? Je vous avoue que là je suis quelque peu désemparée.
Bonjour Pomdereinette,
Je viens de répondre sur ton autre post, mais j'ai envie de répondre ici aussi car ça me parle vraiment ton histoire. Je trouve que ce que nous faisons ici implique fortement l'entourage.
De même que Titou, je n'en parle pas en dehors de chez moi car les gens ne comprennent vraiment rien à la démarche et ne veulent surtout pas savoir. Par contre mon mari connait bien la méthode. Mais il y a une chose où il a un peu de mal encore, c'est jeter. Ca lui vient comme nous tous de l'éducation. Avant de faire LC, je gardais ce qu'on ne finissait pas, mais c'est moi qui finissais toutes ces saletés, car lui, étant un mangeur régulé, il ne mange jamais ce qui ne lui plait pas, donc les vieux trucs, fallait pas jeter, mais c'est moi qui faisait la poubelle. J'ai arrêté ça, et j'arrive un peu plus à jeter devant lui, il s'y fait, mais parfois sur certains trucs, il ne veut pas. Alors je ne lutte pas, je mets au frigo...et je jete le lendemain, de toute façon c'est moi qui gère la bouffe à la maison, et il ne s'en souvient plus après.
Quand à ton mari, tu peux lui demander pourquoi il finit les assiettes des enfants, et si c'est pour ne pas gâcher, demande lui ce qui est le plus gâcher : que la bouffe soit à la poubelle ou en forme de gras sur ses poignées d'amour.
Je pense, comme je disais dans mon autre post que se joue là des choses en rapport avec l'autonomie, les décisions et le contrôle de chacun dans la dynamique du couple. A chacun de voir de quelle manière car nous fonctionnons différemment, mais quand on change des habitudes de longue date c'est perturbant.
Bonjour,
Y a pas à dire ne pas finir mon repas par du sucré c'est l'enfer
et manger un dessert quand je n'ai plus faim ça n'est pas agréable.
Et du coup je m'empiffre à la fin du repas...
J'ai noté que je faisais ça aussi quand au repas précédent j'avais mangé quelque chose d'insipide ou qui ne m'avait pas spécialement plut.
Comme si je compensais
Avez vous expérimentez ça ?
Comment en êtes vous sorti ?
merci d'avance
bonjour tout le monde,
vos messages sont tous très interessants et je m'y retrouve beaucoup. Je ne vais donc pas répéter ce que vous avez déjà écrit, mais juste donner mon petit truc...
Avant de commencer LC je mangeais un yaourt ou un dessert lacté en fin de repas, par habitude mais par forcément en me faisant plaisier. Par exemple yaourt aux fruits a 0% pour avoir "bonne" conscience alors que je les trouve insipides ; ou bien crème ou mousse chocolat mais avec culpabilité qui gache la moitié du plaisir...
Maintenant si j'ai envie d'une bonne mousse au chocolat, je mange un peu moins de mon plat, pour garder de la place et je savoure le dessert!
idem pour les yaourts, je prends maintenat ceux que "j'aime vraiment" genre perle de lait ou aux fruits de mamie nova (divins)
j'arrive de plus en plus a ne plus compter en "calories" les aliments que je choisi mais en plaisir que cela va m'apporter
tout n'est pas encore gagné car je tatone encore et fais encore des "expériences", pour ajuster les quantités a ma faim, en particulier.
je vous souhaite bon courage
J'ai trois grands enfants. L'aîné est presque adulte (il a 21 ans, l'ancienne majorité, mais tant qu'il est étudiant, on ne peut pas dire qu'il soit vraiment adulte), la deuxième aussi (bientôt 19 ans), la petite pas encore (16 ans le mois prochain).
En ce moment, on est en pleine période d'examens. Partiels, examens de Conservatoire pour la musique, bac, concours blanc, examens de rattrapage... les causes de stress sont légion !
Mon fils, je ne sais pas ce qu'il mange (quoique, en bon garçon, il adore surtout la viande rouge, les féculents, le chocolat blanc et la bière...) ni quand, il est très mince comme le sont les jeunes gens, comme l'était son père, il grossira probablement vers la quarantaine, on a le temps de voir ça d'ici là. Bref, c'est bien un mec.
L'aînée de mes filles, c'est une jeune personne très fine, intelligente et observatrice. C'est la seule qui me regarde en tant que personne et pas seulement en tant que mère. Elle m'a d'ailleurs récemment conseillé... linecoaching ! Et ce, sans savoir que je venais de m'inscrire ! Elle a senti qu'il était temps pour moi, et fait des recherches sur le web. Elle est très mince et élégante, se régule naturellement, ressent le besoin physique de manger des légumes souvent, ne se prive pas de repas "pain / fromage" quand elle en a envie / besoin.
C'est de la dernière que je voulais parler. Elle est très mince aussi, très pin up. Hier, elle m'a dit "En ce moment, j'ai envie de manger tout le temps. Tu sais, Maman, envie de manger, pas faim, c'est différent. A cause du bac, du stress, et tout ça". Et là, je n'ai pas bien su quoi lui répondre. J'ai entrevu trois options :
- c'est bien, ma fille, réconforte-toi pendant cette période, tu en as besoin, ça s'arrêtera tout seul quand le bac sera passé, c'est super que tu sois consciente de ce qui se passe en toi
- fais gaffe, ma fille, manger sans faim c'est le début des ennuis, il vaudrait mieux que tu évites de le faire tous les jours
- tu manges tout le temps, OK, mais est-ce que c'est bon ce que tu manges ? Ca ne serait pas meilleur si tu attendais d'avoir un peu faim pour apprécier ?
Et vous, vos ados, et surtout, vos adottes, vous leur dites quoi ? Avez-vous réussi à ne pas transmettre votre rapport tordu à la nourriture ? Essayez-vous de les "convertir" à la manière de penser Linecoaching ? Leur en avez-vous parlé ? Surveillez-vous leur manière de se nourrir ?
C'est aussi génial de le faire entre mère et fille ! Quel beau cadeau tu lui fais ! Et les 10 kilos que tu as perdus, ils sont réels, tu peux être fière de ton parcours et du bien que tu fais à ton corps. C'est très encourageant car nous avons commencé ensemble et moi je commence à peine à perdre, mais là tu me mets le feu !
Bonjour,
Je suis actuellement à l'étape du fractionnement des repas, où je diminue volontairement les unités alimentaires et/ou leur quantité. J'ai toutefois un souci : je fais pas mal de sport (natation ou vélo). J'ai toujours avec moi une barre céréalière au cas où. Mais j'ai vécu l'expérience (douloureuse) de ressentir la faim en plein milieu de l'effort... dans une piscine, c'est pas terrible ! Non seulement ça "casse" l'exercice (impossible de s'y remettre tout de suite, même après avoir grignoté) mais en plus, c'est limite dangereux (subit état de faiblesse)
Avant un effort dont ont sait qu'il sera long, peut-on faire de minis réserves (petite collation), même si on n'a pas faim ? Il s'agit plus d'être en sécurité et d'avoir assez d'énergie pour ne pas interrompre l'exercice...
Cordialement
Merci Nikaia
ça m'aide à assimiler cette étape..
Maintenant reste à l'accepter :)
Bonjour à touto et à touti :)
Bon j'arrive à l'étape du fractionnement.
J'ai tout bien lu, j'ai tout bien compris, mais j'arrive pas à le mettre en pratique. Je tombe sur un os grave.
Diminuer mes portions ou faire le deuil d'une partie du repas... ça me bloque.. quelque chose je passe pas.
Je n'arrive pas à démarrer..
Quelqu'un a expérimenté ça ?
Des trucs des astuces ?
Merci d'avance :)
Je suis contente que ça bloque car ça veut dire que ça peut se débloquer.. mais là je suis fasse à un mur héhé
Je m'aperçois qu eje fais du "fractionné" depuis quelques semaines alors que je n'étais pas encore à cette partie du programme... c'est plus simple qu'il n'y parait, donc ! Et j'aipas l'impression que je vais apprendre grand chose !
Bonjour à tous/toutes,
Je ne cesse de me poser des questions au fur et à mesure que je découvre les outils qui nous sont proposés.
Ma question du jour est celle-ci : ressentez-vous vraiment une impression de gorge légèrement serrée quand vous avez faim ?
pour moi c'est une sensation qui est reliée à l'angoisse, pas à la faim. Je suis sûre de ne l'avoir jamais ressentie dans le cadre de la faim. Et vous ?
Bonne journée !
Elena
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pour ma part je dirais : mange un peu moins le soir, ainsi tu auras faim le matin....