Livre d'Or
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Première fois depuis plusieurs mois que je reviens sur LC.
J'ai presque arrêté l'ordi quand mes amis sont revenus de leur voyage d'adoption avec leur trois enfants. L'après-midi de leur retour, on est allés leur souhaiter la bienvenue, avec l'autorisation des parents. Et le soir, je n'ai pas allumé l'ordi, et j'ai mis du temps à le faire. J'ai arrêté les jeux en ligne, style bâtissez votre ferme ou votre empire, j'ai arrêté de regarder mes mails de boulot, j'ai arrêté le surf sur les blogs d'instits. Mais du coup, j'ai arrêté aussi le forum LC, et ça, c'était moins facile.
Ca m'a fait un choc émotionnel, de voir mes amis, vannés, et leurs trois grands rêves, enfin matérialisés, en train d'habiter les lieux si longtemps projetés pour eux. Et puis toutes les semaines de guet sur le net, pour avoir des nouvelles pendant leur absence. Après ce trop-plein de projection, j'ai eu besoin de vide. Je l'ai rempli avec de la lecture (des années que je n'avais pas lu juste pour moi).
J'ai donc été projetée dans un monde sans béquille LC. Oua, difficile ! Pas trop au début. J'étais toujours dans les portions de mon petit appétit. J'avais déjà irrégularisé et raréfié mes séances formelles de RPC, parce que j'avais eu une période de vertiges et que je ne tenais pas plus que ça à les vivre en pleine conscience (même si, quand j'y parvenais, ça rendait les choses plus faciles, vu que le plus dur est toujours la lutte).
Et puis petit à petit, j'ai mangé des portions normales. J'ai gardé le réflexe de sauter le repas suivant si je n'avais pas faim.
Puis j'ai perdu ce réflexe. (Boah, on verra demain).
Et j'ai découvert en moi un vrai acquis LC : mon corps a protesté, il a manifesté une vraie lassitude devant la nourriture. Et une vraie faim dévorante d'avoir faim. De ressentir dans mon ventre le vide, et la morsure de la faim. Du coup, j'ai sauté un repas. Et la faim est revenue, ma vieille amie négligée, pas rancunière.
Et puis à nouveau, j'ai ignoré mon corps, mais à chaque fois, cette lassitude de la nourriture s'est manifestée. Je ne sais pas combien de poids j'ai pris. Cinq kilos aux fêtes de fin d'année (j'ai vu ça sur la balance de ma gynéco, mais c'était aussi le jour de l'attentat contre Charlie Hebdo, alors ça n'a pas pris d'importance). Et puis j'en ai perdu, et là, je pense que j'en ai repris. Je saurai ça début juillet, en revoyant ma gynéco. (Parce que l'arrêt de la balancite aiguë, par contre, il est toujours extrêmement vivace depuis mes tous débuts sur LC).
En ce moment, je suis dans une phase où j'écoute davantage mon corps (davantage, ça reste pas beaucoup, mais ça fait quand même un petit peu !). Pour la fête des mères, mon frère avait porté une forêt noire, le gâteau préféré de ma mère, et le soir, j'avais mal au ventre (ce qui était très fréquent avant LC et ne l'est plus du tout. Ca a dû se produire trois ou quatre fois depuis LC, probablement moins). Pour la fête des pères, il a porté un Saint-Honoré, le gâteau préféré de mon père. Et ce soir, ben pas mal au ventre du tout. Pas faim, mais pas mal au ventre. Et repas sauté pour le moment.
J'ai l'impression que je ne vais pas forcément perdre du poids (puisque ça va dépendre de ma capacité à reprendre régulièrement la PC, RPC formelle ou improvisée ou simplement PC sur un moment - très difficile pour moi maintenant, la PC, alors que c'était en passe de devenir un réflexe avant ma pause LC). Mais même si je ne reprends jamais la PC, j'ai l'impression que je ne pourrai plus grossir autant qu'avant de connaître LC. Il y a 10 kilos que j'ai perdus et pas repris, même en yoyotant. Mon corps proteste, et maintenant, je l'entends. Je ne suis pas sûre d'avoir raison de penser ça, donc je continue à avoir, en fond sonore, la pensée que je vais tout reprendre et encore davantage (et je commence à en avoir marre de refaire ma garde-robe). Mais si ça se trouve, ça n'est qu'une pensée. C'est la première fois que mon corps m'empêche de grossir. Ou du moins la première fois que je l'entends protester, que je décode sa lassitude et que je l'écoute, même un peu, même pas longtemps.
Maintenant, après la faim d'avoir faim, je sens la faim de PC. Marre de vivre une partie seulement de ce que je vis. Marre de sentir mes antennes désormais repliées. Marre d'absorber à nouveau, en bonne hyperempathique, les émotions des autres (mais là, j'ai fait d'énormes progrès, j'étiquette les émotions : "moi" / "pas moi"). Marre de ne pas pouvoir me centrer sur ma respiration plus d'une ou deux secondes. Marre des pensées qui tournent à vide dans ma tête. Et encore, ça, ça va. J'arrive à percevoir qu'elles dansent leur sarabande et que ce n'est rien de plus que ça, et à m'en détacher. Mais je n'arrive plus à accepter le vide qu'elles laissent, alors je mets de la musique, la télé, la radio.
Bref, mon éloignement de LC m'a apporté énormément de positif : la découverte de mes acquis. Cette découverte du corps qui se lasse, c'est une belle surprise ! Ma nouvelle capacité à travailler plus vite, sans me perdre dans les méandres de mes pensées négatives, c'est un bel atout aussi. Mon nouveau réflexe de prendre du recul sur les émotions des autres quand elles s'installent en moi comme si elles y étaient chez elles, ça fait du bien aussi. Pas encore assez de recul, mais au moins l'identification que ça, c'est pas à moi.
Dans les changements induits à retardement dans ma vie par LC, il y a plein d'autres choses. Le maquillage, par exemple. Je ne me maquillais quasiment jamais. Maintenant, je me maquille tous les jours (sauf, la plupart du temps, quand je ne sors pas de chez moi). Je suis même en passe de terminer, pour la première fois de ma vie, un rose à joues que j'ai acheté l'année dernière ! En principe, ils se périment au fin fond d'un tiroir. Faut dire que ma tête, quand j'avais mes vertiges, au début de l'année scolaire, ça faisait un peu peur. Avec le fond de teint et tout et tout, ça allait. Mais du coup, quand les vertiges se sont estompés, j'ai arrêté le maquillage. Et bon, certes, je me trouvais une meilleure mine, mais sans relief. Donc j'ai recommencé. Je suis à deux doigts de m'assumer en tant que fille :-)
Je reviens sur LC pour tenter de reprendre contact avec la PC. C'est LE point important de la méthode, pour moi, le seul qui me permette de ne pas finir un repas surchargée de nourriture ou frustrée, et le plus souvent les deux à la fois.
Aujourd'hui, par exemple, c'était bien agréable. Après l'apéro et le foie gras, j'ai fait une petite balade avec ma filleule, autour de la maison. Et puis on a mangé le reste, j'ai pris une portion adaptée à mon petit appétit pour la première fois depuis longtemps, et je me suis régalée. J'ai mangé un peu trop de fromage (une portion normale). Et une portion normale de gâteau. Et puis j'ai oublié la nourriture. J'ai fait de la balançoire avec ma filleule pendant que ses parents couchaient sa petite soeur, et puis on a regardé les papillons sur la lavande, mais on ne s'est pas trop approchées, parce qu'il y avait aussi une abeille, et quand elle est allée se coucher à son tour, j'ai papoté avec la famille. J'ai ressenti la même chose, ce bien-être du pas trop-plein, le jour du voyage scolaire. J'avais laissé mes grands avec des mamans accompagnatrices et j'étais détachée sur un mini-groupe de tout-petits.
Je pense que ça me fait énormément de bien de voir le monde à travers les yeux des tout-petits. Ils sont à fond dans ce qu'ils vivent à l'instant présent. Moi, plus du tout. Pour que la rencontre entre eux et moi fonctionne, il faut que je vive davantage à leur manière. Et du coup, je frôle la pleine conscience (c'est pas tout à fait la PC. C'est une projection dans ce qu'ils vivent eux, avec moi, dans l'instant présent).
En tous cas, j'ai vraiment envie de retrouver ça, ce contact avec moi-même, au fond, sous la chape, qui irradiait dans tout ce que je percevais.
Mais pfff. Quelle énergie ça demande, tout ça !
M'enfin, c'est pas grave. J'ai découvert tout ça en deux ans. J'ai bien saisi le concept de la longueur de vrai temps du vrai changement. Rien à voir avec le temps internet, ni même avec le temps qu'on accorde généralement à vivre notre vie, du bout de la conscience. Je reconnais le temps de l'apprentissage, celui que j'essaie d'imposer à mes élèves. Pour parodier Coluche dans son sketch sur le prof : "la nana, elle essaie de nous vendre la nécessaire longueur du temps d'apprentissage, et elle en a même pas un échantillon sur elle !"
Allez, courage, maturons !
Un très grand merci à Linecoaching et aux participant(e)s du forum. Vous m'avez tant apporté... Et vous allez encore tant m'apporter !
Bonjour à tous,
Mon poids? Une histoire difficile qui a débuté par une diète à l’âge de 11 ans, alors que je n’avais que quelques rondeurs. C’était pour accompagner ma mère qui faisait une diète…
S’ensuit une série de hausse et de baisse de poids toujours en confrontation avec mon esprit (bien-être) et mon corps. J’aspire à être en paix et en équilibre avec moi-même et accepter mon corps. Cesser d’être en guerre avec la nourriture. C’est le suivi avec les activités et la mission de Linecoaching qui m’a interpellé (sans diète).
C’est l’approche même de Linecoaching qui est très différente. Pour moi, une boulimie de céleri, même si elle ne fait pas prendre du poids, demeure une crise de boulimie…C’est ce dont je veux me départir. D’une culpabilité de manger. De toujours me dire : « Demain je vais avoir du contrôle, demain»… NON, c’est aujourd’hui que je vis cette émotion : je la regarde je la vis, je la ressens et tente de comprendre pourquoi elle me donne l’envie de manger…c’est ce que Linecoaching m’aide à travailler.
Je ne vois plus la nourriture de la même façon. Surtout lorsque j’ai perdu 700 g en mangeant des frites quatre jours de suite. J’ai réussi à dédiaboliser la nourriture. Le poids n’est plus mon principal enjeu. Je veux juste trouver mon poids d’équilibre, c’est ce que Linecoaching m’aide à travailler.
Merci de m'avoir lue,
Et voilà, aujourd'hui cela fait un an que je m'inscrivais sur Linecoaching, et depuis, la seule chose que j'ai regrettée… c'est de ne pas avoir eu connaissance de la méthode et du site plus tôt, et de ne pas m'être inscrite avant. J'avais lu il y a fort longtemps le livre "Maigrir c'est dans la tête", du Docteur Apfeldorfer, une fois le livre refermé j'avais pensé que c'était exactement ce qu'il me fallait, mais après des années de régime, difficile de croire qu'il était possible de perdre du poids sans se priver.
J'ai commencé mon premier régime vers 20 ans, j'en ai maintenant 64, j'ai toujours perdu du poids rapidement, avec des privations et de gros efforts, et dès que j'ai atteint le poids convoité je me suis empressée de reprendre les kgs perdus en revenant à mon alimentation d'avant restrictions, avec chaque fois des kgs supplémentaires en prime. Je me disais "allez, tu as fait des efforts, tu peux bien t'octroyer ceci ou cela dont tu as été privée, pour te "récompenser" de ces efforts". Et après une nouvelle journée au cours de laquelle je m'étais copieusement empiffrée, je pensais : "demain, tu te remets au régime demain". Repoussant chaque soir ce "demain" au lendemain. Et 3 mois après, en larmes, je me traitais de "grosse vache sans volonté".
Oh bien sûr, j'ai râlé au début de la méthode, pas convaincue du tout par la RPC jusqu'à ce qu'un jour, mal en point pour des raisons privées, je me suis dit que j'étais tellement mal que je n'avais rien à perdre à essayer.
Ma perte de poids n'a pas été conforme au chiffre utopiquement irréaliste que je m'étais fixé au départ, j'ai pour l'instant perdu moins de poids que ce dont je rêvais, ma perte de poids s'est faite lentement, souvent trop lentement à mon goût, avec des périodes de stagnation, mais j'étais tellement contente de constater que le chiffre sur la balance ne grimpait pas que c'était déjà une grande victoire. Mais surtout cette perte de poids m'a permis de revenir à une IMC dite "normale", de changer de dizaine et surtout… de perdre 2 tailles de vêtements. Et finalement, est-il plus important de voir un plaisant chiffre sur la balance ou de se sentir à l'aise dans ses vêtements ? Mon entourage, qui me dit encore régulièrement "ben dis donc, tu as fondu" en me filant une grande claque sur mon estomac dégonflé (aie) ne sait pas quel chiffre s'affiche sur la balance, mais voit mon apparence.
J'ai eu les larmes aux yeux lorsqu'un beau matin en me levant j'ai aperçu à nouveau mon pubis, sans avoir à aplatir vainement mon ventre avec mes deux mains, alors que ça ne m'était pas arrivé depuis des années.
Le matin, lorsque je me lève, ma première pensée en ayant faim est "voyons, qu'est-ce qui me ferait plaisir ce matin pour mon petit-déjeuner" ? Et non "alors, à quoi j'ai droit ?". Plaisir de me dire au moment des repas "de quoi j'ai envie ?" au lieu de "qu'est-ce qui est permis ?".
Bien sûr, il m'arrive de ne pas respecter ma satiété, par gourmandise, parce que j'en ai envie, sans me poser de questions. Je m'en rends compte une fois que j'ai trop mangé, et j'attends que la vraie faim revienne. Je n'hésite plus à sauter un repas si je n'ai pas faim, j'ai quand même mis du temps à oublier ce qu'on lit dans beaucoup de magazines : "sauter un repas fait grossir parce que le corps stocke au repas suivant". C'est faux, enfin dans mon cas, j'en ai fait la joyeuse expérience !
Quand je pense à toute la suralimentation qui fut la mienne pendant des années au nom de "5 fruits et légumes par jour", parce que si j'avais eu envie de dîner de pizza et des sucreries, en plus, alors que je n'avais plus faim, je m'obligeais à manger légumes et fruits. Même chose pour le petit-déjeuner, ayant lu qu' "un petit-déjeuner équilibré se compose de céréales, fruit ou jus de fruit, laitage". J'ai remplacé le "jus de fruit et le laitage" par de la confiture sur mon pain frais aux céréales. Il m'arrive de petit-déjeuner avec 2 croissants sans culpabiliser (laisser tomber la culpabilisation, là, j'ai quand même mis du temps).
Si j'avais à résumer cette année et ce que j'en retiens, ce serait :
- Prendre mon temps
- Etre à l'écoute de mes sensations
- Ne pas culpabiliser
- Me rappeler que si je finis mon assiette pour ne pas jeter, alors la poubelle c'est Moi
- Respecter ma satiété
- Si je craque parce que j'en ai envie ou pour diverses autres raisons, je le fais en Pleine Conscience, avec plaisir, en savourant chaque bouchée et en attendant le retour de la faim. Même si elle ne revient que le lendemain.
Ce n'est pas un au-revoir, pour l'instant je ne pars pas (je risque d'être obligée de le faire pour raisons financières, mais si c'est le cas j'aurai le temps de dire "au-revoir") , LC me sert de béquille et de garde-fou
Je vais lentement prendre le chemin du départ.
Les dernières tentatives de come-back n’ont pas abouti : il faut que je me rende à l’évidence, ce n’est plus ici que mon chemin se poursuivra, pas maintenant en tout cas. Cela fait des mois que je me dis « j’y vais, j’y vais pas, je reste, je pars ?? », mais aujourd’hui c’est clair, il est temps, je file. Peut-être d’ailleurs pour aller reprendre du souffle, de l’inspiration sur un autre site (un site anglophone, pour changer d’atmosphère ! J). Ou peut-être pas. Mais il est temps de fermer ce livre.
Avant de le faire, j’ai été relire, et parfois recopier, mon blog.
Je mesure pleinement l’incroyable chemin que j’ai parcouru ici, avec vous, avec certaines qui sont parties, avec nos marraines bienveillantes et incroyablement présentes, avec les bons docteurs que j’ai eu la chance d’aller voir en journées thérapie à Paris.
Sur le plan des kilos (je commence par là parce que vraiment, ce n’est pas le plus important) => -6 vs mon poids le plus haut, avec bcp de hauts et de bas. Donc ce n’est pas la paix, ce n’est pas autant qu’espéré, ce n’est pas nul non plus.
Sur le plan du comportement alimentaire : des tas de choses sont ancrées (je sais sauter des repas, parfois j’arrive à écouter mon ventre au lieu de ma tête, je sais quand j’ai faim…).
Sur le plan de l’acceptation : ben oui, je crois que je peux dire que ça, c’est fait. Je ne m’aime pas toujours, mais je m’accepte plutôt pas mal.
Mais surtout, surtout : j’ai compris des choses essentielles sur moi, mon histoire, mon mode de fonctionnement. J’ai décodé des façons de réagir et j’ai apaisé de façon incroyable de vieilles colères, des vieilles blessures. Je suis sereine la plupart du temps. Je n’ai plus de jours down, de sentiments de tristesse insondable, comme j’avais avant. Mes circonstances de vie sont absolument les mêmes, mais la lecture que j’en fais : bien différente ! Je vis mieux l’inconfort, je crois.
Merci la pleine conscience, certainement, découverte ici et approfondie ailleurs. Merci l’introspection du blog. Et à nouveau, et surtout, et je veux finir là-dessus : merci les échanges sur les forums et les blogs ! Quelle richesse inouïe ! Que de belles personnes !
Le chemin n’est pas long : il est infini. Je suis toujours dessus, et certainement que si je relis ça dans 3 ans, ça me fera sourire car j’aurai compris encore d’autres choses d’ici là. Il y a un an, presque jour pour jour, je me demandais déjà si je n’arrivais pas en fin de parcours ici. Il m’a fallu un an pour oser me dire que oui, LC, c’est fini. Pour m’y autoriser, me faire suffisamment confiance.
Vous lire me manquera beaucoup, je me suis sevrée en douceur en venant moins souvent, de moins en moins, jusqu’à plus du tout ces dernières semaines : c’est donc bien qu’il est temps.
Bonne route à tous !
ohhh,
tu vas nous manquer pascaline, ton humour, tes participations et une bonne humeur qui bien souvent transparaissait derrière les difficultés . J'espère qu'un jour cette satané "fatigue" te lâchera........je ne suis pas sur facebook et vais trop peu souvent sur internet alors .......bonne route à toi .
aurevoir,
Maryette
Bonjour à tous,
Mon cheminement vers cette méthode a été long. Après la quarantaine, et une psychothérapie, j'ai appris à me considérer avec plus de douceur et de bienveillance, et je n'ai plus eu envie du tout de me malmener. Comme j'étais en surpoids, une fois de plus, que je me sentais un peu lourde, que je m’essoufflais dans mon travail, et que l'angiologue m'avait secouée assez rudement à ce propos, j'ai décidé de prendre les choses en main, et de perdre ces fameux kilos en trop, mais sans régime.
J'ai donc cherché une méthode correspondant à ma nouvelle façon de voir les choses, quelque chose qui permette d'assainir ma relation à la nourriture, qui me permette de mieux gérer les moments où j'avais des compulsions, tout en fuyant la restriction qui, je le savais, était le meilleur moyen de me faire basculer du côté du grignotage ou du copieux « pétage de plomb » et craquage pour me venger de la frustration.
Mon comportement alimentaire a changé du tout au tout. Je mange globalement beaucoup moins, je pense, mais par contre, je me fais plaisir. J'aime cuisiner, et j'ai recommencé à le faire de manière traditionnelle, sans me prendre la tête avec ce que je mettais dedans, et les calories que ça faisait. Tout le monde se régale. La nourriture est devenue mon amie, ce qui a enlevé une grande source de tension dans ma vie, et ce n'était pas rien. C'est agréable de ne plus être en guerre ! La nourriture est désormais mon alliée. J'ai perdu 5 ou 6 kilos très lentement, puis j'ai stagné très longtemps. Je désirerais continuer ma progression vers le bas, mais toujours sans violence.
Bonne continuation à tous,
Noellie
bravo pour ton parcours et merci de venir partager ici, c'est chouette!
Bonjour à tous,
J'ai connu mes premières prises de poids à la pré-adolescence avec une multiplication des régimes. J'ai ainsi découvert l'effet yoyo et les régimes dits « classiques » qui deviennent des régimes grossissants.
La ligne rouge a été franchie avec mon plus haut poids jamais obtenu (112 Kg). Après la lecture du livre « Maigrir sans régime » je me suis lancé dans la méthode. J'ai démarré le programme sérieusement en septembre 2014.
Depuis, mes Envies de Manger Émotionnelles sont en nette diminution. Je n'ai plus de rapports conflictuels avec les aliments, et la faim et la nourriture deviennent mes complices. J'ai beaucoup moins de compulsions alimentaires.
Le programme m'a permis une meilleure connaissance de moi-même et de mes rapports à la nourriture tout en trouvant les moyens simples et efficaces d’éliminer les calories superflues.
Je la conseille à mon entourage pour plusieurs raisons : l’accessibilité de la méthode (simple et rigoureuse), l’efficacité, la résolution des conflits avec la nourriture alors que tous les régimes habituels créent des conflits.
Je pesais 111 kg. J'ai eu une perte lente mais constante jusqu'à 94kg ce jour, en 6 mois et sans avoir terminé le parcours alimentaire.
Bonne continuation,
Elmkies
eh bien bravo c'est super!!!
Je résilie mon abonnement dans une semaine, le temps de dire au revoir aux copains-copines de LC et d'imprimer les fils et outils intéressants que je mettrai dans mon classeur LINECOACHING avec mes bilans, ma courbe de poids etc.
Je n'ai pas perdu beaucoup de poids mais je n'étais pas loin de mon poids d'équilibre quand j'ai commencé le 25 mai 2014
Sur la balance, j'ai tout de même réussi à atteindre une fois un chiffre inférieur à ce que je visais mais bon..l'objectif principal est atteint.= stabiliser au-dessous du poids de départ et PRENDRE DE LA DISTANCE avec cette "foutue" balance.
Je continuerai à PRATIQUER.... la pleine conscience, la dégustation et l'écoute de mes sensations.
Je voulais surtout témoigner ma reconnaissance et dire un giga MERCI
à Marie, la coach qui a été à l'écoute de mes préoccupations
à Izabelle pour ses précieux conseils et ses encouragements, je suis fière de t'avoir connue même "virtuellement". Quelle sagesse, quelle bienveillance, patience et quelle humilité
à tous les LC qui ont partagé-échangé des posts, des messages, des encouragements, des bons tuyaux, etc.
aux webmasters du site qui ont encore bien du boulot Oui je sais le perfectionnisme n'aide pas à perdre du poids mais ce n'est pas de ça qu'il s'agit
et aux Drs Apefdorfer et Zermatti qui ont eu la géniale, excellente, extraordinaire et généreuse idée de nous faire part de cette méthode.
Je vous embrasse
Isabelle
Bonne route Isage
Hello tout le monde !
J’ai toujours eu peur d’être grosse et je me suis toujours trouvée ronde et de fait, depuis que j’ai 15ans, je compense mes émotions avec la nourriture. Et je grossissais, grossissais, grossissais. J’ai essayé plusieurs régimes (sachet protéiné, weight watchers, suivi par une diététicienne…). A chaque fois, j’ai perdu 2-3kg. Mais, j’ai très vite abandonné car quand on m’interdit de manger quelque chose que j’aime, ça me donne encore plus envie d’en manger et j’étais très frustrée. Donc, à chaque fois, j’ai repris de plus belle les kilos perdus et je ne voyais pas d’issue. J’avais l’impression de ne pas avoir de volonté. J’ai abandonné toute idée de régime depuis mes 25 ans. Je ne supportais pas d’ailleurs qu’on me parle de régime. Mais, je me demandais quand et comment j’allais arrêter de prendre du poids. Aujourd'hui, des mois plus tard, j'arrive bientôt à la fin de mon programme Linecoaching.
Sur Linecoaching il n’y a pas de menu, il n’y a pas d’aliment interdit ou autorisé, pas de « à consommer avec modération », pas de quantité recommandée, pas d’aliment à peser, on peut manger strictement tout ce que l’on veut quand on veut à condition d’écouter notre corps, nos sensations alimentaires. Ce qui en fait un programme très très personnalisé car nous n’avons pas tous les même besoins. Je pense que c’est LA solution aux problèmes liés à la nourriture et que chacun peut se l'approprier selon son vécu. Et, surtout, on apprend grâce à la pleine conscience comment ne pas manger si on n’a pas faim, si c’est seulement une Envie de Manger Émotionnelle et je n’ai vu cette approche nulle part ailleurs.
Une de mes dernières étapes du programme, l’étape de fractionnement des repas a été pour moi une révélation. J’ai globalement de moi-même réduit mes portions de moitié sans me priver de rien et j’ai perdu 11kg. Je n’ai jamais autant perdu de poids de ma vie.
Bon courage avec Linecoaching,
Miss acacia
Bravo Miss Acacia !
Je me retrouve parfaitement dans ce que tu dis car j'ai un peu les mêmes expériences que toi. Je ne suis pas encore à l'étape du fractionnement; j'en s uis à la dégustation, mais grâce à la RPC et la dégustation , j'ai perdu pour l'instant 8 kg sans souffrir de frustrations et en prenant consceince d'une autre manière de me nourrir : avec plaisir, sans culpabilité et sans complusions !
Donc courage à tous et toutes, on peut y arriver !
Bonjour,
Je souhaitais vous parler de mon expérience de la méthode car je trouve qu'elle réunit exactement les 3 aspects sur lesquels je voulais travailler : l'alimentation, le sport, la conscience de soi.
Avant, je mangeais au saut du lit; maintenant, je le fais au bureau et me contente d'un thé noir avec du lait le matin. Le fait aussi de prendre conscience de ce que je mange. Pour des raisons liées à mon éducation (je devais manger ce que j'avais dans mon assiette, contenu et quantité, sans avoir de choix). Maintenant j'arrive à manger quand j'ai faim et à être attentive à ce que j'ai dans mon assiette. Indéniablement, c'est le parcours forme qui me séduit le plus ! Je suis devenue une utilisatrice inconditionnelle et quasi quotidienne. Là, à nouveau, par manque de temps, je ne pouvais imaginer aller au fitness... avec cette méthode, j'ai le fitness qui vient à domicile !
J'aime beaucoup les exercices, la progression, le fait que ce soit une série de trois. Les explications sont toujours très claires et le moniteur semble fort sympathique. J'essaie de faire les exercices la matin au saut du lit. C'est mon petit moment à moi, avant de démarrer la journée et cela me booste pour tout le jour ! Cela m'a permis de reprendre le sport et une fois "dérouillée" grâce au parcours forme, j'ai repris le vélo électrique et je vais désormais toujours au travail avec, ce qui représente environ 20 km dans la journée, la marche, puis la course... Mais je continue avec le parcours forme, car c'est mon "démarrage forme" de la journée.
La méthode permet de concilier autonomie et encadrement de manière optimale. Personnellement, elle m'a permis de retrouver une "routine forme" si je peux l'exprimer ainsi. Je suis passée de 72 kg à 62 actuellement. Je me sens définitivement mieux, physiquement et moralement.
Bonne continuation sur le programme!
Poletucha
Bonjour les Linecoachés!
Après 20 ans de Weight Watchers et six mois de Linecoaching, j'ai décidé de faire un bilan. Je me suis inscrite ici en juillet 2014 car j'étais lassée du régime et j'en avais marre de compter des points. Linecoaching n'est pas un régime puisque l’on mange de tout et dans les quantités que l’on veut.
Il s’agit d’un apprentissage de la connaissance de soi et de ses besoins: écouter ses envies, écouter son corps. C’est une grande nouveauté pour moi ! Cette méthode est tout simplement intelligente et efficace. Aujourd'hui, je prends plus conscience de ce que je mange et je suis plus à l’écoute de mes sensations. Je ne mange plus par habitude. C'est une méthode qui m’a ouvert les yeux et qui a remis en cause toute mon éducation sur la nourriture en ayant une approche plus juste de l'alimentation.
Désormais, je mange pour répondre à un besoin et non plus par habitude, donc j'arrive à sauter des repas et à ne pas finir mon assiette. J’ai perdu 10 kg en 6 mois et j'ai de nouveau perdu 3 kg en janvier. De plus, j'ai pu compter sur le soutien de ma coach: j’ai beaucoup apprécié nos contacts téléphoniques. Il s’est établi un vrai dialogue entre nous et j'ai apprécié que ce soit une personne physique qui réponde à mes questions. Le parcours alimentaire est intéressant car il fait prendre conscience de la façon dont on mange : savoir s’arrêter, savoir jeter de la nourriture...
Ce sont 60 années d’éducation remises en cause. C’est une révolution mais elle est salutaire !
bravo, beau parcours !!
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Merci Pattie pour ce texte tellement beau et intéressant !
Et re-bienvenue à toi, pour ce retour sur LC