Les envies de manger émotionnelles
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Maximette, ma réponse sera en demi-teinte !
Ca me fait drôle de me replonger dans une question exprimée il y a quelques mois, parce que globalement, je ne peux pas dire que j'ai beaucoup progressé sur le sujet... Les EME de fin de repas, ça reste ce qui m'empêche de maigrir, pour faire simple. Donc ça, c'est ce qui ne va pas.
Ce qui va, c'est que j'ai vraiment réussi à faire entrer la PC dans ma vie quotidienne, et que ça a changé plein plein d'autres choses. Franchement, je pense être beaucoup plus calme, avoir compris des milliards de trucs sur moi, et j'arrive à gérer des périodes difficiles (comme depuis qq semaines, surcharge de travail +++) sans agresser mon entourage.
Ce qui va aussi, c'est que je suis capable de sauter un repas, de ne pas finir mon assiette parfois quand je suis vraiment détendue et à l'écoute de moi-même.
Donc : des vrais progrès sensibles sur les sujets hors alimentation, et des micro-pas encore peu sensibles sur les sujets alimentation. Je suis donc super contente... mais les EME de fins de repas restent un objectif pour moi !!
Bonjour tout le monde,
Je lance ce forum en espérant qu'il trouvera écho chez certain(e)s.
Petite présentation : j'ai la trentaine, je suis célibataire depuis plus d'un an (et encore c'était une histoire assez courte et pas très "nourrissante" ;-) et avant ça faisait encore un an que j'étais seule suite à une grosse déception sentimentale. Je vis en région parisienne et je suis au chomâge (comme 3 millions de personnes en France ! je devrais me sentir moins seule ... ? quel constat terrifiant !).
Je n'ai jamais vécu en couple, par choix, parce que je sentais que c'était pas le bon... parce que j'ai jamais senti que c'était le bon.
J'ai de très proches amies. L'amitié c'est une valeur essentielle dans ma vie, la fidélité aussi. Mais mes amies vivent en couples, travaillent, sont pas très disponibles... j'ai l'impression qu'elles vivent dans un certain confort, dans la sécurité avec leurs chéris et du coup qu'elles ont moins besoin d'amitié que moi. Des fois, j'ai l'impression d'être jalouse ou méchante en pensant à elles parce qu'elles sont "protégées", qu'elles ne sont pas seules comme moi, confrontées à elles-mêmes. Que dès qu'elles ont un mec, l'amitié passe au second plan.
La solitude : Trouver la force de se lever le matin pour mettre en place ses projets, essayer de croire en son potentiel, en ses rêves professionnels quand on a pas une grande confiance en soi, se dire que son prince viendra aussi un jour (pas trop tard j'espère !) d'autant plus qu'à mon âge, je commence à avoir envie de me poser, me stabiliser, fonder un foyer, avoir des enfants...
Bref, je trouve que cette solitude qui dure depuis longtemps maintenant commence à m'éreinter, me vider de mon énergie, c'est vraiment une usure.
J'essaye de m'organiser, de sortir, de me donner des choses à faire. La recherche de travail est encore dure à mettre en place, à croire que j'ai peur que cette situation change vraiment !!
J'ai passé tout le week-end toute seule. Et c'est pas le premier. Ce n'est pas faute d'envoyer des textos, de proposer des choses aux gens... mais une fois que j'ai fait le premier pas, je ne relance pas, fatiguée de courir après, d'etre celle qui fait les efforts, qui organise, pour entretenir le contact.
Du coup, j'ai été faire mes courses, une grande balade... et je me suis gavée de séries tv, en grignotant en continu... avec mes peluches comme seule compagnie dans mon lit.
J'ai envie d'un mec ! j'ai envie d'une vie plus trépidante, plus remplie ! j'ai envie de faire plein de rencontres, de travailler dans ce que j'aime, de faire des voyages ! mais il faut de la patience pour que la situation se décante... et des fois, j'ai plus la force... et ça ne se décante pas et c'est un cercle vicieux d'ennui et de solitude. Des fois, j'ai l'impression d'être une petite vieille ou la doublure de Bridget Jones.
Depuis une semaine, j'arrive à faire les exercices du parcours forme, la pleine conscience, ça se remet en place doucement... avec LC, j'ai des périodes de détachement, mais j'y reviens toujours... même si là, je sens qu'il va falloir être un peu plus impliquée et régulière. Ca me fait du bien, me maintient à quelque chose.
Je voulais partager ça avec vous, même si c'est pas folichon-folichon. J'aimerais savoir si certaines personnes vivent ou ont vécu la même chose... si la solitude n'est pas des fois une manière de se protéger mais contre quoi ? des fois, c'est la bataille avec la voix auto-critique qui m'oblige ou m'empeche de faire des trucs "t'as pas fait çi. Tu peux pas sortir si t'as pas fait ça avant...." Bref, si vous avez des témoignages, des conseils ou même des petits messages d'espoirs, je suis prenneuse !
Bisous tout le monde et et désolée pour la tartine !!
Rose
Oh non, Hortensia (j'adore cette fleur !) on est jamais trop vieille pour s'occuper de soi....Moi, je veux y croire
Alors justement peut-être, c'est une hypothèse que je pose, n'as tu pas trop peu l'habitude de t'occuper de toi, d'où un peu, peut être un sentiment de panique quand il s'agit de s'y mettre ....Tu n'aurais pas le mode d'emploi Mais tu vas apprendre
Mais y aller doucement, fais une chose à la fois, pas à pas, juste te contenter de t'observer et remplir le carnet pour l'instant , lire et écrire pour échanger....
Tu peux aller poster aussi sur le fil + de 55 ans (dans motivés ensemble) si cela te rassure , pour partager avec des personnes de ton âge et il y a Noelle aussi, ancienne et marraine à LineCoaching, qui a dépassé la soixantaine....
Et puis aussi n'hésites pas à te rapprocher d'une coach qui t'apportera son soutien.
En tous les cas , je te souhaite d'ores et déjà la bienvenue à LineCoaching. Bises.
Je ne sais pas si quelqu'un ressentira le même sentiment dont je vais parler mais facebook me provoque des EME. Oui, oui vous avez bien lu.
Je navigue dessus et me voilà à voir la vie "splendide" qu'ont mes 'amis'. Leurs vies enrichissantes, avec plein d'amis, des amours (des enmerdes ? ^^) , des choses à dire. Et moi seule avec très peu d'amis. Ai-je un souci ? Suis-je bizzard, méchante, égocentrique ? Que sais-je ?
Je me dis alors que ma vie est nulle comparée à la leur.Et une grosse sensation de me jetter sur mon paquet de biscuits au chocolat fait irruption dans un coin de ma tête jusqu'à me rendre fébrile.
Je ne trouve pas le pourquoi du comment mais j'avais surtout envie (et besoin ?) de partager ce sentiment avec vous.
FB est le meilleur et le pire, j'ai toujours refusé de m'y inscrire car vraiment trop superficiel à mes yeux.
Si mon fils n'avait pas eut le courage d'envoyer balader FB et tous ces pseudos amis qui ont essayés de briser un couple naissant en le calomniant je ne serais pas en train de garder ma petite princesse de 11 mois.
En effet il a été très maltraité par des gens qui ne le connaissait pas vraiment, des relations de relations de relations, comme on en voit sur FB, lui est ma belle-fille ont du être vraiment très forts, mon fils a perdu quasiment tous ses anciens amis mais ce qu'ils sont heureux avec leur fille et fiers de ce qu'ils ont réalisés.
Inutile de dire que mon fils ne va plus sur FB.
J'ai une question : comment avez-vous déterminé quel serait votre aliment réconfortant ?
Je m'explique. Comme je connais Z & A depuis longtemps, j'avais déjà intégré cette idée de se réconcilier avec l'aliment tabou pour pouvoir se réconforter avec. Pour moi, il était donc évident depuis longtemps que mes aliments réconfortants étaient des trucs bien régressifs, genre chocolat kind**r ou bien nounours de guimauve enrobé de chocolat.
Sauf que : depuis la journée avec le Dr Z, j'essaie de réintégrer ces aliments. J'ai fait pas mal d'expériences, mais rien à faire, ça se termine systématiquement en compulsion. Le nounours ne survit pas chez moi (le kind non plus d'ailleurs). Tant que je sais qu'il y en a dans la cuisine, j'y pense, et je finis par les engloutir - je dis bien engloutir, pas déguster. Vrais aliments bien tabous, donc.
J'ai bien sûr choisi ces aliments pour l'expérience de dégustation d'un aliment tabou (on en déguste un morceau, et puis on jette le reste). J'ai dû m'y reprendre à 4 ou 5 fois - pour chacun ! - parce que je finissais le paquet avant d'avoir commencé l'expérience.
Et puis lundi, en relisant mes notes du 18/05, je suis retombée sur une phrase de Z. : "si ça réconforte, on n'a pas besoin d'en manger beaucoup. Si on en mange beaucoup, c'est que ça ne réconforte pas". Comme je suis un peu longue à la détente, le lien ne m'est apparu que jeudi soir, après une journée de travail plutôt pourrie ; je sentais l'EME arriver à grands pas, donc en rentrant chez moi, j'ai décidé de remplacer mon dîner par une dégustation d'aliment réconfortant (des fois, c'est quand même cool de vivre seule).
Donc, je me dis qu'en sortant du métro, je vais m'acheter des nounours et des kind. Et c'est là que ça tilte enfin : si on en mange beaucoup, c'est que ça ne réconforte pas ! Du coup j'ai acheté un pot de glace et une tablette de très bon chocolat, pas trouvé mon vrai chocolat idéal mais on en est quand même pas loin, j'ai dégusté 1/3 de chaque et ça s'est arrêté là ; plutôt pas mal, quand on sait de quoi je suis capable dans ces moments-là !!!
Aujourd'hui, nouvelle EME pour des bêtes problèmes de logistique, mais je ne supporte pas que les objets se liguent contre moi quand je suis fatiguée. Ca m'a mise en rogne pour de bon, donc je me précipite sur le reste de chocolat - d'ailleurs je m'étonne au passage qu'il m'en reste 2 jours après -, j'en gloutonne un 1er carré, j'en croque un 2è, le 3è comme ça commence à aller mieux, je le laisse fondre plus tranquillement et... ça s'arrête là !
Donc, ça semblerait marcher ? Mais alors pourquoi cette obsession sur les nounours et les kind ? (remarquez, on s'en fout peut-être, finalement)
Bref, je suis toute étonnée de tout çà, et ça m'intéresserait donc beaucoup d'avoir vos témoignages sur le réconfort et les aliments tabous ! Merci !!
l'histoire de la grosse c'est juste une histoire
peu importe qu'elle soit vraie ou non, en fait.....
moi aussi en ce moment je me la joue beaucoup l'histoire de la grosse
bon pour nous qui n'habitons pas comme toi au soleil toute l'année (si je me rappelle bien?) l'été, quand le corps se dénude, c'est le stresseur poids qui s'affole.....
non seulement peu importe qu'elle soit vraie l'histoire de la grosse, et surtout ce n'est pas un problème:!!
c'est une histoire, ce n'est pas toi
la différence, par exemple, entre une biographie de Nelson Mandela (même vraie), et Nelson Mandela lui-même en personne
est-ce que les deux, c'est la même chose?
non, il y en a un qui est une histoire, et l'autre c'est une vraie personne dans toutes ces dimensions, toute sa profondeur
pareil pour toi
l'histoire de la grosse vient te chagriner, et c'est normal, elle revient souvent
mais cette histoire ce n'est pas toi
seulement si tu passes ton temps à te tourmenter sur cette histoire, en attendant tu oublies simplement de vivre!!
l'histoire de la mal-aimée c'est aussi une histoire
moi aussi je me la rejoue régulièrement, tiens pas plus tard qu'hier.....
mais quand on la "reconnait" et qu'on accepte sa présence sans chercher à tout prix à la faire disparaitre, elle se fait plus légère, du moins, on a l'opportunité de prendre mieux goût à ce qui se passe dans le moment présent : un sourire, un regard, qqchse de beau....
et peu à peu on sent que ces histoires, certes, sont présentes et récurrentes
mais finalement ce ne sont que des mots, et la vraie réalité c'est le moment présent
j'espère que ça te parle... bises
Bonjour à tous
Juste envie de parler de mon EME d'hier soir (peut être que le blog serait plus approprié que le forum).
J'ai découvert hier que j'avais une infection urinaire et j'ai du la supporter toute la journée avant de pouvoir rentrer chez moi me soigner. Je suis rentrée avec un mal de rein très important et un tout petit peu de température. Comme je devais prendre de l'ibuprofene pour me soulager mais qu'il vaut mieux le prendre avec quelque chose dans le ventre j'ai acheté un paquet de mikado. Ben ni une ni deux le paquet y est passé en toute conscience (je savais que je faisais une EME et ça ne me cupabilisait pas en fait) clairement pour me réconforter de la douleur et penser à autre chose. Mais je me suis rendue compte que je mangeais sans même faire attention au fait que je mangeais. Bon le hic c'est que j'ai remangé le soir sans faim car fallait que je boive un bouillon pour m'hydrater...
Moi qui croyais que quand on est malade on a envie de tout sauf de manger... (Je crois que à part une gastro carabinée ya pas de maladie qui m'empeche de manger en fait...)
Enfin voilà juste envie de partager cette expérience
Merci Clairette, oui cela va mieux. L'épisode passé, j'ai l'impression de mieux gérer mes EME... pour le moment... cela ne fait que 2 jours...
Essayons de profiter de ce soleil qui nous veut du bien pour le moral ! et oublions les maillots qui nous mettent mal à l'aise. Finalement, après que l'on soit guérit, je trouve la vie plus belle !!!
Bisous à toutes et à bientôt
Purée depuis ce matin je peste
je me suis réveillée à 5 heures du mat avc une douleur aux ovaires, merci le stérilet, vivement que ça s'arrête ^^
Et depuis je constate que je suis grognon et je n'ai qu'une envie manger :)
J'ai mêem tenté le eme zen mais en fait le coté grogon ne pass pas et le coté réconfort non plus
En revanche on m'a demandé un service et moi qui dit toujorus oui, j'ai dit NON pas envie !!
J'adore
bon à suivreeeeeeeeeeeeeee
De manière égoïste, je réponds uniquement pour suivre le fil
Parce que moi aussi j'ai tous ces problèmes là, plus les douleurs abdominales (nuit blanche la nuit passée), tout çà parce qu'aucune pilule ne me convient. Pas faute d'en avoir essayé pourtant, mais la gynéco n'a pas trouvé...
Bonjour à tout le monde,
Aujourd'hui j'ai invité ma grand-mère et ma grand-tante à manger, j'étais très contente de les recevoir, de leur faire à manger; depuis que j'ai commencé LC je prends beaucoup de plaisir à cuisiner. ça fait quelques jours que je suis en vacances, détendue, je me sens avancer dans mon comportement alimentaire. Mais aujourd'hui j'ai eu l'impression que tout s'est effacé et que le fait de me retrouver en famille a fait revenir les vieilles habitudes; je me suis retrouvée à manger sans faim et sans faire attention à la quantité, à avoir envie de manger plein de gateaux alors que je n'avais plus du tout faim, et j'ai même eu des compulsions.
Est-ce que vous avez déjà eu ce sentiment que la famille favorisait le retour des vieilles habitudes, un peu comme si vous deviez agir comme on vous avait toujours vu agir?
Pélisse
Bonjour à tous,
j'ai commencé hier l'étape "j'observe et analyse mes fins de journées" et en fait je flippe... J'ai tellement attendu cette étape que maintenant que j'y suis je me mets une pression énorme et que je n'arrête pas de penser que si ça "ne marche pas" tout est foutu pour moi...
Pourquoi ? Parce-que mon seul "problème" ce sont les EME de fin de journée.... Je veux dire par là que je n'ai pas de mal à respecter la faim, je ne grignote jamais et même si une EME me prend dans l'après-midi, j'attendrai systématiquement le dîner pour manger (beaucoup trop of course).
Donc, j'ai l'impression que cette étape est le Graal pour moi, la résolution de tous mes problèmes... Et que c'est quitte ou double... Je pense déjà RPC et me dis que ça ne servira à rien (j'ai expérimenté encore hier soir)....
Certain(e)s d'entre vous sont ils (elles) passé(e)s par là ? Des conseils à me donner ?
Merci !
Merci Pleined'Espoir; Un moment à moi tous les jours... J'en rêve. Comme j'ai l'immense chance d'habiter à 10mn de mon travail actuel, j'essaie de rentrer le midi pour faire un peu de gym SEULE mais là tu vois avec ce qu'il tombe ben ce sera ce soir....
Me débarrasser des toxiques, solution intéressante mais quelque peu extrême... D'autant que comme c'est la famille, les sentiments sont là et que je me sens tellement coupable d'avoir "réussi" (bon en fait d'avoir bougé mes fesses pour passer des examens, bosser..) que je me sens obligée de "renvoyer l'ascenseur" à ceux qui ont besoin....
Je pense que la seule chose viable à faire maintenant, en attendant 1 semaine de vacances début juillet, est de mettre les choses à plat avec mon frère et lui demander avec bienveillance de nous faire de l'air.
Hmmm RPC au secours avant, pendant et après.....
Petit truc que je voulais partager avec vous : comment je réagis face à la colère lorsque je suis à la maison.
Maman de deux enfants de 10 et 12 ans, tous deux hyperactifs, divorcée, j'ai beaucoup de mal à gérer la colère. C'est d'ailleurs une des premières émotions que j'ai laissé réapparaître après avoir tout bloqué durant des années.
Régulièrement, dans la vie de tous les jours, je suis confrontée à la colère : la mienne, ou celle de mes proches. Et quand je suis confrontée à celle de mes proches, souvent la mienne apparaît aussi. Et la "spirale infernale" est lancée !
Pour stopper la spirale ou pour éviter qu'elle n'apparaisse, je dois déjà éviter la confrontation avec les autres. De toute façon, si il y a colère, la discussion est impossible donc il vaut mieux attendre qu'elle se dissipe.
Ce que je fais, je vais sous la douche. Longtemps. En fait, j'y fais de la RPC. Je ne savais pas comment nommer tout ça : écouter mes sensations, laisser venir mes pensées, respirer... et au final, avoir laissé mon émotion s'apaiser d'elle même, sans la refouler. Et maintenant, merci LC, je sais comment ça s'appelle : la respiration en pleine conscience.
La douche a sur moi un effet "nettoyant", calmant, rassurant. C'est aussi un moment privilégié où je suis seule avec moi-même et où personne ne viendra m'importuner. ça me permet de me reconnecter avec moi-même et d'être totalement apaisée à la fin.
Le temps que je prends de mon côté à faire baisser cette colère permet également à mes proches en colèe d'avoir la leur qui baisse. Et quand je sors de la douche, en principe, le souci est réglé en deux ou trois phrases.
Peut-être que ce petit truc vous sera utile une fois !
Ce sujet est passionnant! Je réalise des choses dont je ne me serais jamais doutée (j'ai une maman qui me disait aussi toujours de me taire, de ne pas faire de bruit).
J'essayerais la douche à la prochaine colère (qui surveindra à la maison bien sûr ^^). Personnellement, il m'est difficile de ne pas rester sur une colère/déception/tristesse pendant longtemps, je suis rancunière et même s'il s'agit d'un élément auquel je ne peux rien, je vais ressaser pendant des jours et des jours.
Quand je vois mon mari qui, une fois qu'il s'est énervé, peut passer à autre chose en 3 secondes, je l'envie...
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Intéressant ce post.
Ce dont je suis sûre, c'est que TOUT le monde ressent, de temps à autre, cette peur et cette sensation de vide. Et tout le monde essaie plus ou moins de lutter contre, de se distraire. Il n'y a qu'à regarder autour de soi : on essaie de se remplir avec la télé, internet, l'i-phone, la cigarette, les drogues, le travail en excès, la nourriture, les distractions (lecture, cinéma , sport), les relations.
Je pense qu'essayer d'augmenter sa tolérance émotionnelle et d'apprendre à supporter ses pensées et ses ressentis est une clé ! Mais la PC ne peux pas supprimer les ressentis désagréables.
Moi-même, j'ai beaucoup de mal à pratiquer les exercices de PC, donc je comprends celles pour qui c'est le cas. Mais, si vous êtes comme moi, peut on dire que ça ne marche pas après avoir seulement pratiquer quelques fois ? Ma coach me dit qu'il faut pratiquer régulièrement et aussi à froid.
Sinon, j'ai abordé cette question du vide avec mon psy et il a souligné le fait que ma peur de me retrouver seule avec moi et de sentir le moment comme vide, sans intérêt et donc angoissant, ça voulait dire que je me considérais comme vide, inintéressante. Et donc que forcément je fuyais ces moments et notamment la méditation ou la PC.
En fait, j'ai vraiment expérimenté que cette peur était un à priori, une idée fabriquée et fausse et que je pouvais explorer ces moments de soi-disant vide et découvrir autre chose.
Ce qu'on refuse se renforce. C'est vrai, plus je lutte contre une émotion, plus je veux m'en débarasser et plus elle prend d'importance, plus elle me fait souffrir.
Voilà ma contribution personnelle à ce post.
Bonne continuation à toutes !