La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
Sujets de discussion du moment
cela fait des années que je me pèse tous les jours, je me rends compte que je suis devenue complètement dépendante de la balance. mon poids baisse, moral en hausse, je prends du poids, moral en baisse toute la journée.il m'arrive même de me peser 2 fois le matin avant toute prise alimentaire, la 2è pesée affiche 200g de moins ! combien de fois n'ai je pas eu envie de jeter la balance par la fenêtre ! j'ai même envisagé de racheter une mécanique car je crois que la numérique ne pèse pas bien ! et je me suis abstenue. je voudrais ne plus me peser. il y a 2 jours, j'ai voulu me lancer le défi de ne plus me peser avant 15 jours...mais je ne suis pas prête. je ne me suis pas pesée hier, mais rebelotte sur la balance ce matin. c'est une addiction. quelqu'un connait-il le même problème ? qui peut m'aider, me donner une piste ? merci à vous
Bonsoir,
J'en suis à peu près à deux mois d'adhésion à la méthode et depuis quelques jours, j'ai du mal.
J'ai du mal avec mes exercices de RPC (je suis contente de conmmencer mais rapidement j'ai des impatience dans les jambes et je n'arrête pas de bouger). J'ai même "oublié" mon MP3 dans la poche de ma blouse au travail pendant 2 jours, alors que je l'avais emporté pour faire 3 mn d'exercice avant de manger pour être sûre de ma faim...
J'ai du mal avec mes sensations, j'oublie de me demander si j'ai faim quand je mange, si je suis rassasiée ou pas, j'oublie de déguster mes 3 premières bouchées, je prévois de diminuer mes U.A mais je ne sais plus si je l'ai fait ou pas...
Il est vrai que j'ai été "secouée" lors du dernier chat du groupe auquel j'appartiens, et j'ai l'impression soit de "couver quelques chose", soit d'être convalescente. C'est une sensation étrange. Y'aurait'il un rapport de cause à effet ou bien est-ce une réaction un peu normale après l'emballement de la nouveauté ?
Merci de votre réponse.
[Voici aussi un écho de mon experience et de mon ressenti aujourd'hui aprés plus de 3 mois de LC
J'ai été vite soulagée de ne plus penser régime, restriction, et ça fait du bien!
malgré tout, je sature maintenant car les exercices (dégustation, gestion des EME etc...) me semblent aussi pesants dans la durée qu' un régime ...Eh oui!!
j'y pense tout le temps! l'obligation de LC a remplacé l'obligation du régime et ça , ça ne me convient pas du tout!
Evidemment, j'ai grossi par rapport à mon poids de départ, ça ne booste pas le moral!
J'aurais aimé -si j'avais eu les moyens financiers- de me faire suivre individuellment par un spécialiste du G.R.O.S.
Le plus du site-outre le trés bon esprit de tous les responsables-c'est d'avoir lié par blogs interposés des relations enrichissantes avec des personnes de qualité!
Ce que j'aimerais, en fait, c'est d'aller plus doucement, à mon rythme, et comprendre des théories qui restent obscures pr moi, par ex : l'acceptaion de soi.. (.?)
Je vis des hauts et des bas-comme beaucoup-euphorique un jour, desesperée le lendemain!
Et je voudrais conclure que je n'ai jamais eu autant d'EME (ou de fringales) que depuis un mois , malgré la RPC ....
Bilan en demi-teintes, mais serait -ce enfin de compte normal?
Merci de m'avoir lue!!
[/quote]
Anjana, je te rejoins sur ton expérience de LC. J'ai moi aussi une prise de poids après 3 mois de LC, un sentiment de saturation et donc une perte d'envie, et plus d'EME...
Ton message date de fin septembre ; ton ressenti a-t-il changé depuis ? Si oui, grâce à quoi ?
D'autres personnes vivent-elles la même chose ?...
Bonsoir,
lorsque j'ai commencé la méthode, les exercices de pleine conscience ont été pour moi une révélation. Ils m'apportaient apaisement et m'ont permis de stopper de nombreuses EME parceque je réalisais que manger n'étaient pas franchement ce dont j'avais besoin. J'étais scrupuleuse dans la pratique des exercices.
Aujourd'hui, comme chez de nombreuses personnes, ces exercices me pèsent et surtout provoquent chez moi, des impatiences, une envie de laisser tomber au bout de quelques mn d'exercice seulement ou alors je m'endors carrément (bon moyen d'évitement n'est-ce pas ?). Que se passe-t-il ? serait-il possible que les images ou pensées que j'observe pendant ces exercices soient à l'origine de cet inconfort et donc par extension me pousse à ne plus les supporter ?
Merci de votre réponse.
[quote=Soleluna]
« Vouloir répondre à une question, c’est se condamner, au mieux, à une réponse. Nous avons été jusque là les gens de la réponse. Or, toutes les réponses se révèlent en fin de compte insatisfaisantes. L’être n’est pas grossier ; il n’a rien de commun avec les réponses trop vite expédiées. Devant notre recherche pressée, il se retire ; dans la cessation, il demeure. Les réponses promettent tout mais finalement ne livrent jamais rien. Le recueillement de la méditation n’annonce rien du tout, mais il nous laisse bientôt seul avec l’inouï ; il contemple l’étendue. » Pantajali et les yoga sutras, Jean Bouchard d’Orval
amitiés, hélène
[/quote]
Belle proposition Hélène : )
Bonjour,
J'aimerais savoir si vous avez remarqué des difficultés avec le programme et certaines de vos clientes qui allaitent?
Dès que je suis correctement ma faim, ma production de lait baisse drastiquement. Une compulsion suffit à ce que ça rentre dans l'ordre pour les heures qui suivent.
J'ai restreint mes calories avant de faire ce programme et j'ai du arrêter car encore, ça jouait trop sur ma production de lait.
Ce n'est pas comme si je n'avais pas beaucoup d'énergie en réserve! Mon corps semble refuser d'y toucher pour faire du lait... Frustrant, quand je vois d'autres mamans qui fondent en allaitant! Je sais qu'il y a aussi une autre théorie selon laquelle le corps aurait tendence à ne pas toucher à ses réserves de graisses pendant l'allaitement pour ne pas libérer de toxines...
Je ne sais pas trop quoi faire avec le programme dans ces conditions. Je prends déjà des médicaments pour augmenter ma production de lait et je n'ai pas envie d'arrêter d'allaiter maintenant. Que devrais-je faire?
Merci!
Anick
P.S.: En passant, merci, si j'ai ce problème, c'est quand même que j'ai fait beaucoup de progrès au niveau de mes comportements alimentaires !
A mon tour, je vous remercie d'avoir évoqué le sujet, puisque j'allaite aussi mon 2ème fils qui a bientôt 4 mois. Et j'ai remarqué aussi ce matin que j'avais beaucoup moins de lait que d'habitude. L'aîné a été allaité 9 mois, donc sur le principe je suis pas pressée de sevrer ;-)
Alors voilà. Je commence à bien intégrer le travail que vous proposez. Je sais pourquoi je compulse, j'arrive même, puisque je suis TRES raisonnable, à bien me comporter, par exemple au travail. Je sais par exemple qu'au travail, j'ai pas envie d'y être. Je préfèrerais être sur un bateau à observer les dauphins nageant devant l'étrave. Mais je sais que je suis bien obligée de bosser si je veux pouvoir partir en vacances un jour, tout ça... bon...alors sachant ça, je ne compulse pas. Je sais aussi que p...pardon..., que punaise, les émotions, du fait que je ne les avaient jamais ressenties avant, maintenant que je les ressent, ça fait mal !...OK, je suis une femme, je peux ressentir la douleur...
Mais là, je suis chez moi, jour de repos, seule, tranquille, pas de ciel nuageux. En même temps, je ne suis pas en train de nager avec les dauphins, non plus. Et là, c'est relachement. Je m'envoie une compulse tranquille, comme certains pourraient s'envoyer un rail, entre étendre la machine à laver et vider le lave vaisselle. Parce que bon...la vie c'est pas l'éclate tous les jours en fait.
Qu'est-ce que je pourrais faire à la place ? (La RPC j'en ai fait 20 minutes ce matin)
Ha mince ! Tu vois, Lisa, pas moyen de remplacer par une EBE. Remarque, je sais pas si le voisin était disponible.
Moi aussi vous m'avez fait bien rire, toutes ! (heu non, pas vous docteur ...) Comme dit Geneen Roth : les femmes, la bouffe et Dieu :la voie inespérée vers pratiquemment tout (traduction perso)
Faut ressentir alors, y a que ça.
Si il y a des cocotiers en Nouvelle Calédonie ?! Est-ce qu'il y a des crêpes en Bretagne ?!
Oui, je vous suis, Docteur !
Bonjour,
Juste un souci tout le monde parle d'aliments tabous ou préférés ou sur lesquels ils "fondent".
Pour moi, nada, j'aime certains aliments mais pas assez pour en manger en grandes quantités que ce soit salé ou sucré. Mais quand je fais des crises hyperphagiques, je mange pleins de choses en petite quantité.. mais plein quand meme ! car je suis vite dégoutée si je mange un seul truc. Le chocolat me laisse de marbre, le salé aussi, j'aime pas le fromage donc bon... Je ne me suis jamais interdit de manger des choses sous pretexte que. J'avais peut etre de la culpabilité mais je n'ai jamais eu un aliment "préféré" ou auquel je pense pendant des heures ou dont je ne peux pas me passer...
Alors pour les exercices avec les fameux aliments "tabous" ou autre je fais quoi ? Je m'oblige à manger un truc qui va me me déplaire trop vite ? ou je ne fais pas l'exercice ?
Merci d'avance pour les réponses !
bonsoir,
Il se trouve que je n'en suis pas encore à l'étape des aliments "tabous" et caloriques. Et moi non plus, je n'ai pas l'impression d'en avoir. Je me méfie de moi sur ce coup-là. Il est vrai que j'en avais : par exemple les viennoiseries ! Miam ! Mais grâce à la lecture d'un des livres de JP Zermati ce tabou est tombé. Et je n'en mange que lorsque j'ai faim. En revanche, lors des compulsions je mange de tout, ..... parfois un peu, parfois beaucoup !
On verra ce que je pourrai tirer de cette étape sur les aliments caloriques. Ce sera peut-être une étape facile et rapide pour moi. Sait-on jamais ?
J'espère que ce petit témoignage peut être utile.
A bientôt,
Lahiza
Bonjour à tous,
Voilà une nouvelle question qui me trotte dans la tête et me pose un souci depuis très longtemps.....
Ayant l'habitude d'être au régime, avec des quantités données, et les mêmes pour chaque journée, peu importe qu'on ait plus ou moins faim, je ne sais pas m'adapter aux quantités.
J'explique :
Lorsque je mange à ma faim et que les quantités sont "petites" je suis satisfaite car mon raisonnement me dit : "chouette, tu n'as mangé que ça! et tu n'as plus faim! c'est super!"
Par contre si le lendemain, j'ai une grosse faim, je ne vais pas directement me dire : super tu as mangé à ta faim, je vais me dire : "hier tu as mangé moins, là c'est trop! ça va pas!" je me mets en situation d'échec!
je suis tellement contente de manger moins que dès que la quantité, la portion (peu importe la qualité de l'aliment) est plus grande, j'ai le sentiment d'échouer, alors je me rassure avec des commentaires internes en me disant, "non c'est bien, tu avais plus faim, donc c'est normal." je ne suis jamais convaincu!
Bref, c'est le fait de devoir manger à sa faim qui pose soucis, parce que la faim n'est jamais la même, pas de cadre! et étant habitué à des portions fixées par avance, je me retrouve à manger au delà de ma faim au repas suivant car je repars dans l'idée que je suis en échec et donc pour me punir d'avoir échouer, je vais me faire grossir, volontairement! (je suis pas maso, mais....)
J'ai une autre question, mais je vais faire un nouveau post, pour ne pas tout mélanger,
Merci d'avance aux membres de LC pour vos témoignages et à nos experts pour leurs réponses ;)
ce n'est pas si facile de se faire confiance...Et j'en suis toujours à me culpabiliser et donc à compulser parfois
Bon, là je me fais sérieusement l'impression d'être devant la fameuse valise de billets et dire "mouai, mais dans 6 mois, elle y sera encore ? "
Je me doute bien, ou j'espère, qu'à la fin du programme je serai autre qu'aujourd'hui. Encore que cette "autre" me fasse sans doute aussi très peur, quand je vois le paquet de résistances mis en place pour suivre le programme, les RV loupés avec la RPC et ainsi de suite.
Bref, tant pis si ça n'a pas de sens, c'est maintenant et telle que je suis aujourd'hui que la question m'inquiète : et si y a besoin de plus de 6 mois ? Et si à la fin du parcours c'est toujours compliqué ?
Sans doute que j'irai consulter (en sachant que je fais déjà un travail psy par ailleurs). Voilà, je me fais les questions et les réponses
Ou peut-être que je recommencerai tout le parcours ? Mmm, le bonheur de resauter son petit-déjeûner... (Là c'est du second degré. Au bout de deux heures je crois frôler l'inanition...)
Mais je me demandais si d'autre avaient ce genre d'inquiétude, s'il vous arrive de vous interroger sur l'après ?
Je me suis également posée la question étant une grosse sceptique et ayant fait très peut de régimes qui ont été catastrophiques.
Le dernier ressemblait vagument à celui là sur le concept, mais c'est moi qui ne suivais plus au bout d'un certain temps ça me gavait. C'était le Dukan en ligne.
Là j'ai eu de très bons échos de gens et d'autes et surtout de ma psy. J'ai acheté le bouquin, que j'ai commencé à bouqinner et je me suis dite: et si je m'inscrivais? AU début je pensais que ca allait être une perte de temps...Comme avec Dukan mais il est vrai que depuis trois que je suis inscrite, je suis très dans le site, plus que sue mon "FB".Je le trouve très sérieux, très vivant, c'est un village humain virtuel.
Bon après je ne sais pas ce qui se passera d'ici 6 mois mais je me donne la chance de faire confiance cette fois ci.
Bonjour,
Je me pose une question :
Sachant que certains aliments sont plus difficiles à arrêter à satiété, faut il choisir des aliments qui posent le moins de problème? Même si ça peut s'apparenter à de la restriction en quelques sortes.
Certains aliments sont "trop bons" déclenchent des sentiments, des émotions qui m'empêchent de respecter mes sensations.
SI je choisis des aliments que j'aime, plutôt que ceux que j'adore ou qui me font compulser, est ce que c'est conseillé pour suivre le programme?
Merci d'avance de vos réponses et témoignages.
Ouais...moi pareil. Mais est-ce que "faire attention" n'est pas tabou comme expression ici ? On nous répondra sans doute : faim et satiété, les maitres mot, nos guides. Mais quand on voit les calories par rapport au volume, apportées par une barre chocolatée (je ne cite pas de marques, de grands noms connus depuis notre enfance), on se demande si systématiquement on ne va pas dépasser la satiété, quand même...
Bonjour,
du plus loin que je me souvienne, je n'ai jamais été une mangeuse régulée.
Quand j'étais enfant, j'avais une alimentation très stricte, équilibrée, avec viande, poisson, légumes etc, pas de sucreries à la maison, "finis ton assiette", "privée de dessert si tu ne finis pas ta viande", "mange tes fèves même si tu n'aimes pas", "si tu ne manges pas tu retrouveras ton assiette au goûter" etc. A côté de ça j'avais déjà des compulsions, je volais du chocolat ou de la confiture dans les placards pour manger en cachette.
Même bébé, apparemment, le pédiatre imposait à mes parents des principes très stricts (pas de repas la nuit, diversifiée à 1 mois...c'était la mode!)
De ce fait, même si j'étais normalement mince, j'avais un rapport pas très sain à l'alimentation, et je n'étais pas régulée. D'ailleurs j'ai commencé à grossir en partant de chez mes parents!
De ce fait, je me demande si je peux encore espérer un jour trouver une alimentation régulée, alors que je n'en ai jamais eu...est-ce que ça n'est pas définitif?
et d'ailleurs Lina, depuis 3 mois 1/2 que j'ai commencé, beaucoup de chamboulement ds mes comportements !!!
j'en suis au stade ou les aliments tabou ne me réconfortent même plus !!!donc je peux presque m'en passer ! c'est le début d'une grande révolution !!!
bienvenue à toi sur le site et surtout, patience !
Webinar & Chats à venir
Aucun chat prévu prochainement
J'aimerais bien aussi être détachée de la balance! Je me pesais tous les jours aussi avant... Surtout quand j'étais au régime! Finalement, je me suis rendue compte en vous lisant de la pression que c'était! Mais depuis que j'ai commencé le programme, je me pèse moins qu'avant... Et c'est vrai que je me sens mieux.
Vive le front de libération de la pesée! Ne vous pesez plus, ressentez la liberté...