La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour,
J'arrive presque à la fin du carnet où je consigne mes EME mais je ne suis toujours pas sûre de bien les reconnaître. Est-ce que toutes les envies de manger sans faim sont des EME? Par exemple, il m'arrive très souvent de prendre le petit déjeuner sans avoir faim (par habitude, par envie d'être avec mes enfants, par peur de manquer l'occasion de manger du sucré?) mais je mange quand même avec un certain plaisir. Cela me manque beaucoup si je dois sauter le petit déjeuner pour une raison ou une autre.
Peut-on considérer que lorsqu'on ressent physiquement la faim, ce n'est pas une EME et que dans tous les autres cas, c'en est une? Ou alors, peut-on dire que ce ne sont pas des EME dans la mesure où on ressent quand même un plaisir gustatif? Quelle est la différence entre une EME et une compulsion? Dans le cas du petit déjeuner, je n'ai pas vraiment faim mais peut-on dire que je mange par compulsion puisque je mange en toute conscience, contrairement au soir où je ne contrôle plus rien?
Est-il aussi possible que le fait d'observer ses EME augmente leur fréquence?
Qui a vécu la même difficulté?
Merci beaucoup de m'éclairer sur ce point qui me paraît vraiment délicat et difficile, bien que je l'aie retourné maintes fois dans ma tête!
Cordialement
Chers GA, JPZ, et linecoacheurs,
Après avoir épluchée les forums, je n'ai pas trouvé de réponse à ma question -il faut bien l'avouer- un peu particulière.
Depuis que je suis petite, j'ai pris l'habitude de jeûner (en groupe) lors des changements de saison pendant 3jours. Ce n'était ni pour des raisons pondérales, ni religieuses, mais cela nous faisait du bien. Nous nous réunissions et nous faisions alors de la marche, de la lecture, des discussions au coin de feu...
Mais voilà plusieurs années que je n'ai pas su le faire sans basculer inexorablement dans des tendances boulimiques, ou anorexique (la dernière fois j'ai jeûné plus d'une semaine et je ne me suis arrêtée que quand j'étais au pied du mur, c'est à dire en vacances chez mes parents).
Mes amis, mes amours (et mes emmerdes aussi) ignorent tout ce cette dualité qui sommeil en moi.
J'aime avoir faim, j'aime patienter un peu, un tout petit peu encore avant de me nourrir...
Je déteste manger sans faim, ou je n'ai plus aucune régulation de satiété ou de bon sens.
Pourrais-je seulement réussir à jeûner sereinement? Cela me faisait un bien fou, me rapprochait des autres, me donnait de la vitalité... Ou bien dois-je reléguer ce sentiment exaltant à mes doux rêves de mangeuse régulée?
Je précise -car cette notion est importante- que je suis satisfaite de mon poids. J'en ai repris un peu (5-6kg) depuis que je "zermate" (quoi qu'il semblerait que je sois sur une pente descendante ces temps-ci), mais quelle joie de sortir de cette chronophage (et inepte) activité de comptage de la calorie.
Je ne cherche pas à en perdre (d'ailleurs jeûner pour perdre du poids est un leurre dont j'ai fait l'expérience au printemps), simplement à me sortir des mes troubles post-régimes en tout genre...
Je précise -même si cette notion est inutile- que j'ai 22ans.
Je précise enfin que je vous remercie de la bienveillante attention que vous -GA JPZ &linecoacheurs- voudrez bien m'accorder, en tenter d'exclur les réponses préconçues sur le jeûne, que je n'ai que trop entendu, à la manière d'un disque rayé (pour reprendre l'expression de M. GA).
Bonjour Black-kam,
La difficulté que vous éprouvez aujourd'hui à jeûner provient de vos difficultés relationnelles avec la nourriture et du comportement de conrôle que vous avez progressivement mis en place.
Je n'ai aucune opposition au jeûne quand il n'est pas pratiqué dans le but de perdre du poids. Ce qui, comme vous l'avez fait remarqué, serait sans effet ou même dangereux.
Je suis convaincu qu'en revenant à un comportement alimentaire contrôlé par vos sensations alimentaires et non plus par votre tête ou vos émotions vous pourrez bientôt regoûter les joies de ce jeûne convivial qui semble s'apparenter à une forme de communion entre amis.
Donc ne désespérez pas, je suis certain, dés que vous aurez restauré un comportement alimentaire régulé, que vous pourrez revivre sereinement ces joies de votre enfance.
JP
Bonsoir ,
voilà, j'ai commençé le programme le 3 juin et ça allait de mieux en mieux mais là depuis plusieurs jours j'ai un retour des compulsions. J'ai l'impression de ne plus y arriver et de retourner à mes anciens démons à savoir Weight Watchers (que j'ai pratiqué pendant 10 ans).
Je n'arrive plus à ressentir la satiété et à peine la faim. J'ai fait une compulsion sur un paquet de muesli croustillant au chocolat et je ne ressentais rien. J'ai l'impression que je n'avance pas et que ça ne sert à rien.
Je n'ai pas envie de maigrir mais une peur horrible de grossir et je me dis que je vais être obliger de retourner à mon comptage alimentaire. Et comme une béta, j'ai acheté un magazine sur le régime WW. Et ça m'agace.
Est-ce normal d'avoir l'impression que ça ne sert à rien et qu'on a pas avancé d'un pouce ?
Merci a toi dreamscometrue (and oh they DO come true!) - j'aime bcp ton image d'eau tiède! C'est tout à fait ça, je pense. Surtout que cela rappelle aussi la modération - pas tout noir ou tout blanc, pas que des trucs 'tabou' ou que des trucs 'bons pour la santé'; pas que du bonheur ou que du malheur. Voilà une bonne approche pour la vie et pour tout dans la vie...!
Savylaeti
Bonjour Drs A. et Z.,
aujourd'hui, pas de question, pas de plainte, juste des remerciements à vous adresser. Cette semaine a été pour moi riche d'enseignement et de découverte et ce grace à votre soutien et à nos échanges.
En analysant certaines situations survenues ces derniers jours, je me suis rendue compte que les choses évoluent en moi, même si parfois j'ai du mal à les voir, à les ressentir.
Tout d'abord dans la manière de gérer les évènements désagrables, frustrants ou qu'avant j'aurais jugés humiliants. Je les ai acceptés tels qu'ils se présentaient, je ne me suis pas ruée sur la nourriture, je n'ai pas baissé la tête et fui. Dans le 1er cas il s'agissait des refus de RV, j'étais contrariée mais je suis rapidement passée à autre chose sans rien faire de plus. Dans le 2ème cas, j'au dû affronter un échec collectif dans le cadre professionnel. Avant j'aurais essayé de fuir en attendant les résultats, aurais essayé de me disculper...là j'ai fait face en essayant de trouver des raisons à cet échec, en prenant la partie de responsabilité qui m'incombait mais sans me rabaisser, sans m'insulter, sans transporter avec moi une tonne de honte...Aujourd'hui, j'assume ces mauvais résultats mais je ne me trouve pas nulle pour autant, je suis juste quelqu'un qui a sans doute fait des erreurs...
Et puis, hier, j'ai décidé de mer éconcilier avec mon corps et j'ai fait les magasins pour trouver des tenues sympas. Tout a mal commencé et j'avais une boule dans la gorge pareque les essayges n'étaient pas à la hauteur de ce que j'attendais, mais j'ai persévéré sans m'insulter ou me rabaisser devant les vendeuses. Et puis, le déclic. Et là dans un magasin, je flashe sur une tenue très proche de ce que je portais l'année dernière....et j'ai osé l'essayer, et l'acheter...J'ose même dire que je me sens bien dans cete tenue et même que je me trouve belle...pour la première fois de ma vie je me suis offerte un tailleur orange et noir...
Quelle victoire!!! j'espère qu'elle sera suivie de beaucoup d'autres.
Merci à vous Messieurs, d'avoir mis à notre portée cette méthode et d'être là, en permanence pour nous aider et nous guider pour trouver le chemin qui nous amènera vers le mieux-être.
PS: Dr A; j'ai acheté le livre "imparfaits...." que vous m'avez recommandé lors du chat du groupe",
Dr Z. : je ne me suis pas pesée depuis 5 jours, j'essaie de "foutre la paix à mon corps" quand je ne sais pas lui faire du bien.
merci à toi, tu m'a redonné un coup de boost à mon moral et ma motivation
Je suis accro au chocolat. Qui décroche, qui raccroche, qui lutte, qui cède, qui souffre.
Quand je pense à la première bouchée d'une bonne plaque à l'emballage rouge pour ne pas la citer ;), je compare l'effet à un orgasme; WaouH... je sais que ce n'ets que la première bouchée, les autres seront moins bonnes, etc. mais quand on vient d'avoir un orgasme, on est pas du tout en état de se contrôler, vous ne trouvez pas ? J'espère ne pas choquer avec cette image, mais c'est vraiment ce que cela m'inspire; et je vous assure que je préférerais limiter ces réactions aux moments d'intimité avec l'homme de ma vie !
merci pour le lien, je vais voir ça tout de suite !
Bonjour !
Je me rends compte, grâce à la RPC que je n'arrête pas de penser à la bouffe !
Et pas pour rêver de tel ou tel aliment qui me ferait envie, non, pas du tout. Même si par ailleurs j'aime les choses savoureuses.
J'y pense uniquement sous l'angle organisation : qu'est-ce que je vais manger ? à quel moment ? comment me procurer à manger ?
est-ce que je vais avoir le temps pour manger dans les temps ? est-ce que j'aurai de quoi manger quand ce sera l'heure de manger (ou quand j'aurai faim) ?
C'est fatigant !
Je comprends pourquoi je me dis parfois : si on pouvait me nourrir, ça serait mieux ! si je n'avais à me préoccuper de rien, j'arrive, je m'assieds, je mange, je fais avec ce qu'on me propose.
C'est bizarre, non ?
Est-ce que d'autres connaissent ça aussi ?
Et surtout ZE question : comment arrêter avec ça ?
Merci de ton gentil message, Lily.
Je ne crois pas essayer de contrôler mentalement mon alimentation. À mon avis, mon problème vient plutôt du fait de ne pas parvenir à contrôler.
Et la nourriture ne m’angoisse pas du tout, au contraire : j’adore manger ! Ce qui m’angoisse, c'est le fait de ne pas être sûre de pouvoir manger quand j'aurai faim.
Quant à la pression sociale, j’y ai toujours réagi par le défi en faisant exactement le contraire. Mais ce n'est pas un exemple à suivre !
Bonjour,
je suis une toute nouvelle inscrite et je me rends compte que je mange "quand c'est l'heure" et pas quand j'ai faim.... Autant chez moi je peux éventuellement décaler mon repas (même si avec les enfants c'est pas toujours facile) autant au boulot, le repas c'est à heure fixe : 12h30-13h30, du coup je mange même si je n'ai pas faim et si je saute le repas je suis partie jusqu'à 18h sans manger, et j'ai peur de faire une hypoglycémie... Comment faire ?
Merci pour vos conseils, j'avoue que je suis un peu perdue mais c'est sûrement normal au début...
Elea23
merci pour vos réponses. Du coup je vais faire quelques essais pour voir ce qui me convient le mieux, mais je ne pense pas sauter le petit déj' car c'est mon repas préféré !! Je vais essayer de ne pas manger à 12h30 à la cantine et m'emmener une collation que je mangerai quand j'aurai faim. Je suppose qu'il faut un petit moment pour trouver ce qui convient le mieux à son organisme.
Bonjour!
J'aimerais savoir sur quoi se basent le "traitement" des EME que vous proposez. Clairement, pour moi, les EME sont le problème, et non plus la restriction cognitive comme ça a été longtemps le cas. Pourtant, la pratique de la méditation, limitée je l'avoue, ne m'aide pas vraiment pour l'instant.
Quelles sont les bases théoriques de votre modèle? Est ce qu'il y a des études qui se font sur l'utilisation de la pleine conscience avec les troubles alimentaires? Je suis étudiante en psycho, et j'avoue que j'aimerais en savoir plus; je crois que ça m'aiderait à pouvoir appliquer ce que vous enseignez ici.
Connaissez vous la thérapie ACT? Si oui, pensez vous que ça pourrait être une alternative ou une addition intéressante?
Merci!
Anick
[quote=Anick]
Merci Docteur!
Puis-je vous confier un truc? Certaines personnes critiquent le fait que ce site ne soit pas "personnalisé". Eh bien, je ne suis pas du tout d'accord.
Je suis suivie par une clinique spécialisée dans les troubles alimentaires et référée par le GROS, avec une diététiste et une thérapeute qui prennent plein de temps pour moi toute seule. Eh bien, je n'y trouve pas mon compte autant que sur ce site, qui contient tous les exercices qui m'aimdent à avancer, mais aussi ce coté personnalisé grâce au temps que vous investissez sur ce forum et sur les chats. J'ai énormément de respect pour votre travail, pour l'empathie que vous y mettez et pour la compétence de pointe qui transparaît de vos interventions. Vous me gagnez aussi à rester à l'affut et à continuer de chercher des pistes de solutions!
Alors je vous remercie pour tout cela, et j'espère bien un jour pouvoir être la preuve vivante de ce de quoi je suis déjà convaincue: votre méthode fonctionne, en plus d'être franchement libératrice!
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J'ai posté sensiblement le même commentaire sur un autre site (Vivelesrondes) car beaucoup de personnes craignent l'aspect "impersonnel" du site Linecoaching (oui, je fais de la pub!). Je suis convaincue tout comme toi (et pour avoir aussi tenté la thérapie du gros avec un praticien "live") que le site est bien plus efficace et porteur de contact humain !
D'ailleurs, merci infiniement à tous ceux qui sont à l'origine de cette merveille :) bravo, vous êtes utiles, très utiles aux autres. La grande classe.
Ce n’est pas facile d’être dans une société avec autant de bouffe et d’avoir un corps qui peut manger si peu de quantité. Je dois donc toujours faire des choix entre dessert plat, pain, vin ou quantités.
Toutes les personnes que je connais qui sont régulés sont des bons mangeurs qui ne prennent pas un gramme. Certes ils écoutent leur faim et leur satiété mais je pense que c’est plus facile d’être régulé quand on peut manger des grosses quantités avec un corps qui élimine plus rapidement… De plus ce sont ces mêmes personnes qui 2 heures après avoir mangé le triple de ma portion vont dire qu’elles ont faim alors que moi je n’ai pas encore digéré ma tomate et mon bout de pain.
Ce qui est dur dans mon cas c’est que je suis vite rassasié et si j’écoute mes sensations alimentaires, je ne mange vraiment pas grand-chose et c’est très frustrant !!! Bien sure des fois je m’autorise des repas plus pantagruélique mais je dois attendre un temps interminable que ma faim revienne. J’ai conscience des besoins de mon corps mais j’ai l’impression que ma tête à besoin davantage de nourriture et qu’elle n’est pas satisfaite.
Notamment la méthode m’aide et je me rends compte petit à petit que j’ai besoin de manger peu mais souvent car je ne me sens pas bien (dans ma tête) quand je n’ai pas mangé depuis plus de trois heures. J’avais oublié les besoins de ma tête à force d’être en restriction (manger 3 repas / jour)… et ça m'avais fait déborder dans tous les sens.
Ce qui m’aide aussi dans la méthode c’est que je subis moins depuis quelques temps mes EME et je les contrôle davantage. Je rentre du travail à 22h et je m’autorise de déguster quelques carreaux de chocolat. Ma tête en a besoin je me culpabilise moins.
Est-ce que pour trouver mon set point je dois prendre en compte cette faim psychologique ? J’ai l’impression d’être moins obsédé par la nourriture car je satisfais chaque partie de moi … le corps et la tête.
Ou est ce que ce sont des EME et que c'est le chemin à parcourir avant de pouvoir me contenter de ma faim physiologique ? (ça me parait impossible même si je me surprends à y croire)
Je voulais aussi passer mon coup de gueule car j’aime manger et je me sens voué à être frustré si je veux retrouver la ligne (et la garder) car ma faim ne me permet pas de me faire autant plaisir que ce que ma tête voudrait… mais là aussi peut être que je réagis comme une EME women ?
J'espère ne pas avoir été trop confuse mais ce travail sur moi grace à linecoaching me fait émerger de nombreuses questions et reflexions et en voila quelques bribes
Oh moi aussi je m'y retrouve completement! Merci pour toutes vos reponses. Moi aussi j'en suis venue recemment a me dire que bon ben c'est comme ca, je n'ai pas besoin de beaucoup manger... et d'ailleurs, je crois que si on continue a s'ecouter, au fil des ans, les besoins diminuent encore plus car on est encore moins actifs (je regarde ma fille de 3 ans sauter partout meme en regardant son dessin anime prefere, par ex - ah si on faisait pareil en regardant notre film du samedi soir, on aurait de plus grands besoins alimentaires!) Donc ca fait vraiment partie du tout - moins manger parce que, ben en fait, on n'a vraiment pas besoin de beaucoup manger pour se maintenir en bonne forme et sante! Incroyable! Quelles absurdites on nous sort avec les 'proteines a chq repas' et les 'feculents a chq repas' etc.! Je vois ma fille (encore une fois!) (je ne l'oblige a rien, je ne lui donne que ce dont elle a envie): elle ne mange de jambon qu'une fois par semaine, et du poisson et du boeuf que 2 fois par mois! Par contre qd elle en mange, c'est une bonne portion. C'est comme si c'etait sa ration pour le mois/la semaine, mangee en un seul coup. Elle est en pleine forme, donc je ne vois pas pourquoi les adultes devraient faire differemment si ca leur chante?!
Manger pour suffire a nos besoins = manger peu pour plein de personnes, et j'en fais partie, et vous aussi. Oui c'est un peu un choc, mais il fallait aussi un peu s'y attendre - on est en surpoids et on veut ne plus l'etre si possible, donc forcement c'est qu'il faut moins manger. Mais SI PEU?! CA c'est le choc!!! Mais je crois aussi qd meme qu'au bout d'un certain temps, qd le poids s'est equilibre, nos besoins augmentent un petit peu a nouveau. Ce seront 'nos besoins de croisiere' (si notre activite physique ne change pas, bien sur!), par opposition a 'nos besoins pour mincir'. (Osé-je la comparaison avec le régime et la 'phase de stabilisation', où on réaugmente ses portions? Beurk!!! Je DETESTE ces mots!)
Merci encore en tout cas, ce forum est super et vos interventions ici, Drs Zermati et Apfeldorfer, me reconfortent TOUJOURS, c'est genial! Mais quel boulot ca doit representer pour vous!
Savylaeti
Chers docteurs,
Je voulais savoir s'il était judicieux d'arrêter de fumer pendant le programme LC?
Je demande cela, parce que prendre soin de moi en mangeant mieux, être (devenir) bienveillante avec moi-même etc etc etc
ne peut se faire si je n'arrête pas de fumer! (puisque je me fais du mal)
je sais que le fait de fumer joue sur mon appétit, alors j'ai peur bien sûr de prendre beaucoup de kilos et là, c'est la grosse déprime au bout, assuré. j'ai déjà repris 17 kg en commençant le programme avec les livres et une nutritionniste. sur 4/5 mois.
j'ai tenté d'arrêter de fumer 3 semaines cet hiver et ce qui m'a fait reprendre le tabac c'est de voir + 5 kg en 7 jours! les 2 premières semaines rien.....puis d'un coup presque'1 kg par jour .
Le fait est, que je ne veux pas continuer de fumer. ça fait déjà un moment que j'y pense, mes motivations sont réelles, j'ai bien réfléchi.
Je me demande juste s'il faut continuer de fumer, même si c'est mauvais pour moi, le temps de résoudre mes problèmes de poids, ou s'il est possible "d'attaquer" tout de front, en parallèle......... de changer sa vie en quelque sorte!
se faire du bien, prendre soin de soi! ce sera "le jour et la nuit" pour moi......
Bref, petit à petit, chaque chose en son temps, ou TOUT à la fois......????
Merci d'avance pour vos conseils,
Merci de votre réponse,
Webinar & Chats à venir
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mes EME sont difficiles à identifier car elles viennent pendant un repas. en fait je n'arrive pas à m'arrêter à satiété, je continue à manger parce que ça me fait du bien... c'set énervant !! j'en suis justement à devoir remplir mon carnet des EME et moi qui croyait ne pas en avoir je prends conscience que j'en ai .... dur dur...