La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour,
je me pose une petite question suite à un conseil de ma coach, qui m'a suggéré de mettre la priorité sur les activités programmées dans le cadre de mon parcours alimentaire et de n'utiliser les outils qu'avec parcimonie, afin de ne pas me surcharger.
Je trouve son conseil totalement correct, car depuis un mois je n'arrive plus à suivre le programme, me sentant totalement dépassée.
Mais vous, vous utilisez comment le programme ? Quels outils utilisez-vous ? C'est de la simple curiosité :)
Bonne journée
Alex
*Bonjour,
je suis inscrite sur le site depuis 12 jours. J'en suis au carnet "Découverte" et je dois commencer à être attentive à la sensation de satiété. Et voilà que les difficultés commencent ... Je parviens bien à identifier ma faim, et à manger lorsqu'elle apparaît (quoique je me plante encore souvent avec les EME....) mais je ne sais pas m'arrêter au moment où arrive la satiété. Je ne la reconnais pas. Donc je m'arrête de manger, parfois en ayant encore faim, et pourtant : quelques minutes plus tard le rassasiement est bel et bien là ! Pourquoi ce temps de latence ? Est-ce que je mange trop vite ? Est-ce que c'est normal ? Est-ce que vous l'observez également ?
Merci
Marie
C'est difficile d'expliquer la satiété, j'ai la chance de la percevoir sans avoir eu besoin d'exercices pour ça. Quand je mange et que je me pose la question "est-ce que j'ai encore faim", je ressens la réponse au niveau du ventre (oups, pas très clair mais je ne sais pas comment expliquer autrement) et elle peut être de trois types : soit j'ai encore faim ; soit je n'ai plus vraiment faim mais si j'arrête j'aurai faim une heure après le repas donc je mange encore un peu ; soit je n'ai plus faim je suis à satiété.
Vraiment difficile à expliquer, ça ne vous aide sans doute pas et c'est probablement différent pour chacun. A mon avis ça viendra au cours de votre parcours.
Bonjour Mr Zermati,
J'ai beaucoup réfléchi à ce que vous écriviez sur le perfectionnisme, sur le contrôle, sur l'importance de ne pas faire le "régime des sensations alimentaires.
Ce que j'aimerais arriver à m'alimenter intuitivement!
Je suis tellement découragée que je songeais même hier à retourner faire un tour chez Weight Watchers, malgré tout le mal que j'en pense et malgré que je ne crois pas que ça fonctionne à long terme...
Je suis incapabe d'être une personne équilibrée devant la nourriture. Soit, j'écoute mes sensations alimentaires avec trop d'attention et je finis par compulser, soit je me permet tellement de petits plaisirs sans faim pour toute sorte de raison que je ne perds pas de poids, voire je reprends ce que j'ai pu perdre.
J'ai beau vouloir de me détacher de cet impératif de perdre du poids, la vérité est que je me sens mal dans mon corps et qe mes compulsions et débordements alimentaires ne me dérangeraient pas si ils ne me faisaient pas grossir.
Porter attention a mes sensations finit par me fatiguer mentalement presque autant que de faire un régime. Et si j'y porte moins attention, je prends du poids. Je me dis que tant qu'à me fatiguer pour perdre du poids, autant faire le "régime des sensations alimentaires". Après tout, quand j'ai perdu du poids avec votre méthode, c'est un peu ce que je faisais.
Ce n'est pas votre méthode que je critique, c'est mon incapacité à la suivre sans tout où rien.
J'ai du m'habiller la semaine dernière dans un magasin pour tailles fortes. Si ça a été agréable de trouver des articles qui me vont, ça a été tout un coup à mon égo et à mon espoir de maigrir avec votre méthode.
Je suis sur ce site depuis plusieurs mois et je connais votre méthode depuis des années. Pourtant, j'ai rarement eu l'impression d'y arriver si peu. Chaque jours, je me dis que je recommence demain...
Ça fait des semaines que je résiste à faire les derniers exercices sur la satisfaction alimentaire, d'une part parce que je suis bien loin de maîtriser le reste, d'autre part parce qu'après, ce sera fini, et j'aurai l'impression d'un échec...
Du coup, j'ai presque envie de me taper un vrai régime frustrant et restrictif où je serai frustrée mais où je maigrirai, puis essayer ensuite de maintenir en écoutant ma faim. Oui, je sais, c'est utopique de penser que j'y arriverai si je n'y arrive pas maintenant, mais au moins, je n'aurai plus le poids de ce corps à porter.
Oui, je sais que le problème est dans mon perfectionnisme et ma fixation à vouloir maigrir. J'ai travaillé et travaille encore fort à emmener tout ça à des niveaux plus raisonnables, mais avant de réussir à être normale, j'y passerai peut-être ma vie.
Je ne sais plus quoi penser...
Quand je vous lis et m'imagine ne plus être perfectionniste, j'ai un moment de panique... Malgré mes aspirations élevées, ma vie est parfois un vrai bordel. J'ai l'impression que si je lâchais un peu de lest, tout deviendrait vraiment hors de contrôle. Et pour les domaines ou je réussi bien, qu'adviendrait-il de moi? Arriverais-je à entrer au doctorat sans mes sessions d'étude maniaques? À être une la meilleure mère possible pour ma fille? Où serais-je dans ma vie sans cette énergie désespérée qui m'a toujours poussé plus loin. Et je pèserais surement le double de mon poids.
Puis la réalité me rattrape. Le perfectionnisme me pousse, mais me retiens aussi! Je veux une maison si imposiblement propre que je n'arrive même pas à m'attaquer à la vaisselle, je panique avant chaque examen et commence à étudier au moment ou j'arrive à me convaincre que c'est tellement trop tard et foutu que ça ne mesure pas mes compétences réelles... Et que de temps perdu en procrastination!!! Il n'y a que dans mon rôle de maman où je sois presque à la hauteur de mes aspirations, et encore, la culpabilité me tenaille souvent sans même que j'y trouve de raison rationnelle... Et que dire des orgies de veille de régime, et des compulsions de toute sorte parce que je culpabilise de ne pas avoir mangé de la façon qui me ferait envie?!
Pourtant, j'ai de la difficulté à vous croire quand vous dites que le perfectionnisme se traite rapidement et bien. J'ai l'impression que c'est la base de ma personnalité. Je ne vois pas de distinction entre faire de son mieux et faire absolument tout ce qu'on peut pour être le meilleur soi possible.
"Le perfectionnisme est un terrible défaut car il est sournois. Il se présente sous ses avantages pour ensuite révéler tous ses inconvénients. Il s'intègre à notre modèle de réussite si bien qu'on ne peut plus s'en défaire sous peine de ne plus savoir comment réussir."
C'est exactement ça: je ne sais plus comment faire...
Tant qu'au livre: imparfaits, libres et heureux, une thérapeute me l'a déjà conseillé. Je l'ai même acheté, puis perdu... Peut-être que je pourrais maintenant m'offrir de le lire! Je vais aussi aller lire le manuel d'Épictète.
En fait, je crois que je n'ai plus vraiment d'aliment tabous et que je me débrouille relativement bien avec mes signaux de faim. Je suis simplement complètement paralysée par la peur de relever ce défi de perte de poids qui m'occupe l'esprit depuis tellement d'années. C'est un peu comme dans mes études: je mesure ma valeur personelle avec l'ampleur de mes réussites, et j'ai tellement peur de me déçevoir et de déçevoir tout le monde que je n'arrive pas à donner mon plein rendement, comme ça, je n'ai pas vraiment prouvé que je suis un échec puisque je n'ai pas essayé de toutes mes forces. J'ai la chance d'y arriver quand même pour les études grâce aux deadlines qui me font étudier à la dernière minute, mais il n'y a pas de deadline de perte de poids et je n'ai pas autant de contrôle. Et le défi me parait une montagne...
J'espère que vous savez que vous êtes des originaux dans votre méthode, tout de même. J'en ai vu des diététistes et des psys, et on a toujours joué sur mon perfectionnisme comme un atout, en l'encourageant jusqu'à des niveaux où je me disais moi même que c'était un peu trop. Vous avez raison, au fond; je ne crois pas moi non plus que je me laisserai avoir à nouveau par un régime. J'espère seulement arriver à faire ce que je sais faire pour me rapprocher de mes objectifs profonds sans y laisser mon équilibre relatif au passage...
Merci de votre message. J'espère pouvoir vous raconter bientôt que ça roule pour moi aussi!
Comment faire quand les hormones nous jouent des tours? J'ai remarqué que la période juste avant que mes règles n'arrivent j'ai dix fois plus de mal à me contenir, je fais beaucoup moins attention à comment je mange et mes sensations sont pas mal brouillées;. Comment faire pour enrayer ça?
Est ce que quelqu'un vis la même chose? Si vous avez trouvé une solution, une idée, une parade je suis toute preneuse. ^^
Merci! Oui mais merci Dr de m'avoir répondu si vite et si clairement!
Bien sure j'aurai adoré recevoir la méthode miracle mais vous confirmez ce que je pensais déjà, à savoir le fait de travailler plus en profondeur sur ce réflexe émotion = nourriture et ce encore plus durement durant cette "joyeuse" période.
Le pire c'est que le fait de savoir que ces dix jours arrivent me conditionne presque qqles jours avant! arrrrgh c'est dans ces moments là où je rêve d'être un garçon juste pour qqles temps! ^^
Merci encore pour votre réponse.
Bonjour,
Je voulais savoir si c'est " courant" d'avoir des compulsions "hyperselective"?
J'explique car ça n'a rien de clair mon histoire.
Depuis des années, je compulse mais surtout les premières compulsions étaient bizarres : je mangeais qu'un seul aliment, pendant des années, j'alternais régime avec grosse période de compulsion.
En gros des mois de régime et 2/ 3 semaines à ne manger QUE des tartes aux pommes maison. Du matin au soir, à chaque repas, sans faim, que cet aliment, rien d'autre ne me faisait envie. A la fin de ses 2/3 semaines, je me retrouvais écoeuré par cet aliment (oui c'est long) et en faisant les courses, je voyais un aliment qui hop, faisait un déclic, et j'étais partie sur 2/3 nouvelles semaines avec cet aliment, (ou association d'aliments chips/ saucisson) et rien d'autre.
Bref, ce sont des comportements très très particuliers! je me demandais si j'étais la seule, (j'ose espérer que non).
Aujourd'hui, depuis le début de la méthode, je n'ai plus de restriction, plus d'interdit. C'est déjà une grande avancée. Mais je n'ai plus envie de rien! tout me dégoute!
alors quand j'ai vraiment faim, je finis par avoir envie d'un seul aliment et rebelotte, je mange que ça!
là, ça fait une semaine que je mange des crêpes aux pommes caramelisés. QUE ça!!!!!
et le reste me dégoute vraiment, je n'arrive pas à manger un repas "normal" comme mes enfants!
J'ai l'impression d'être complètement barge!
merci de vos réponses
OK, y a du boulot quoi ;)
Merci à vous pour votre réponse
Pardon de vous envahir régulièrement pour me faire expliquer ce que je déniche sur le net ou dans les revues concernant l'obésité. Cette fois-ci c'est ceci qui m'a interloquée (Ca vient de là : //www.nutranews.org/sujet.pl?id=156)
Une pollution liée aux hydrocarbures aromatiques polycycliques, équivalente à celle détectée à cent mètres d’une autoroute, pourrait faire prendre en 15 jours environ 2 kg à un adulte, par blocage de la sortie des lipides contenus dans les adipocytes.
et aussi
Le benzo(a)pyrène que l’on trouve dans la chaîne alimentaire dû à un certain mode de cuisson bloque complètement la lipolyse."
De quel mode de cuisson s'agit-il ? Comment essayer d'y échapper. Quels sont les autres facteurs qui bloquent la lipolyse ou au contraire la favorisent ?
Merci, bonne semaine.
Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire, Pipelette. Je crois simplement que ce site n'est peut-être pas un endroit pour chercher des réponses à des questions qui touchent un peu la "perfection alimentaire", un concept dont bien des personnes essaient de se désabonner ici. Je fais partie de ces personnes là.
Et de toute façon, je ne crois pas que c'est le genre de questions qui sont étudiées à fond par les créateurs du site, alors tu trouverais sans doute des réponses plus approfondies ailleurs, comme tu le fais déjà en consultant des revues spécialisées.
Je trouve simplement que c'est un terrain glissant à explorer quand on a des problèmes à adopter une alimentation intuitive. C'est un peu le but de ce site web, non?
Et tant qu'à parler des hydrocarbures et des modes de cuisson qui feraient grossir, pourquoi ne pas discuter de la prise de certains suppléments ou de l'index glycémique, des sujets parmi tant d'autres où on pourrait aussi être curieux et trouver plein d'études publiées? Quand tu parles de facteurs qui favorisent la lipolyse ou qui la bloquent, c'est un peu l'équivalent de redemander ce qui fait maigrir... Linecoaching est un des rares endroit qui soit libre de ce genre d'explications, et j'ai la conviction que ces études et connaissances pointues font parfois partie du problème global qu'on a à gérer notre prise alimentaire.
De l'impression que j'en ai, ce site repose aussi sur des connaissances scientifiques qui essaient de nous faire passer par un autre chemin pour faire la paix avec les aliments et avec nous même.
Tu as le droit de poser toutes les questions que tu veux et je ne veux pas t'offenser en remettant ta question en cause. Je me demande simplement à quoi servirait la réponse et pourquoi la chercher...
Bonjour,
Je me suis rendu compte en faisant plus attention à mes sensations que je suis totalement intolérante au lactose. Cela fait des années que je ne mange pas de lait, mais depuis qq mois je ne supporte plus ni le beurre la crème ou les fromages. Je croyais que j'avais du mal à digérer car je mangeait trop mais depuis 3 semaines que je ne prend plus de lactose je digère très bien et je suis beaucoup moins fatiguée, je n'ai plus de douleur articulaire.
Si je prend un produit contenant du lactose (sans le faire exprès) je suis rapidement abatue et pleine de douleurs.
Tout ces produits ne me manque pas car ils me dégoutent mais j'ai perdu mes repères. J'avais l'habitude manger certains aliments en cas de gros stress, aliments que je ne peux plus manger et je gère donc de plus en plus mal les périodes de stress. Je mange donc sans lactose mais je continue à manger en grande quantité. Et quand je trouve un aliment "plaisir" sans lactose j'en mange beaucoup.
J'ai donc fait une pause dans le programme car je ne sait plus sur quoi travailler car actuellement il y a trop de boulversement et cela me semble très difficile. J'ai arrêté au milieu de l'exercice ou il faut noter toutes ses EME et faire de la RPC, j'ai l'impression que toutes mes prises alimentaires sont liées à une émotion.
Merci pour votre aide...
Elodie
Avec plaisir!
C'est vrai que ce site est super! il est végétalien à la base, mais c'est vrai qu'il y a pas mal du coup sans lactose^^ j'espère que ça pourras t'aider!
Bonjour à tous,
La semaine dernière a été très positive pour moi, sensation de respecter ma faim et de m'approcher de la satiété, tout en perservant mon poids puisque j'attendais la faim suivante. j'ai eu peu d'EME et s'il y en a eu, en petite quantité. Donc une belle semaine et j'étais en haut de la montagne (russe)...... descente immédiate dimanche.....
Je me suis pesée le matin, j'ai réussi à espacer mes pesées grâce à un défi lancer par mon binôme..... donc plutot bien...... mais abandonnée la balance me fait encore très peur, peur de reprendre plein de kilos (pour rappel : + 17 kg l'an passé en lisant la méthode)
Bref, je me pèse et là, surprise, ça marche! ma semaine fut bonne car j'ai perdu un peu sur la balance, contente de n'avoir rien pris déjà..... et une petite perte qui me fait penser que dans le temps, je vais pouvoir mincir durablement.....
Mais, cette pesée, même positive, m'a fait compulsé, comme si je voulais reprendre ce que j'avais perdu!
Pourtant, je veux mincir! j'en ai besoin! alors...... j'me comprends pas!!!!
J'ai le sentiment d'avoir peur de tout en fin de compte, de mincir, de grossir..... ça m'ennerve, je m'ennerve, je m'en veux d'être aussi ridicule!
Et puis, les EMES reviennent depuis et de plus en plus forte, les quantités deviennent affreuses!
j'arrivais à ne plus culpabiliser, mais lorsque je fais une EME, la suivante, revient avant la faim, si c'est dans la même journée..... donc + 1 kg, en 2 jours......
Bref, j'ai eu ce que je voulais, j'ai repris du poids! et du coup, la reprise, me fait compulser!
bref, cette balance! c'est affreux!
si je ne me pèse pas, j'ai le sentiment de grossir à vue d'oeil et je panique, je compulse, en pensant à cette prise de poids.....
Cercle vicieux!!!! bouhhhhhhh
Je ressens les émotions, je ne les refoule plus, je les nomme, je respire, je laisse passer......je suis en progrès!
Mais là, ce sont des compulsions à cause de la balance et je ne "comprends" pas ces émotions là.....
Celles dûes à mon quotidien, oui, tristesse, colère, dépassement, stress, déprime etc...... aucun soucis, je les nomme, les accepte..... mais les émotions qui sont en lien avec la pesée du matin, et qui apparaissent en fin de journée, je ne les "perçois" pas réellement, je sens un mal être, un malaise, mais je sais pas les décrire....
J'en suis à l'étape body scan, c'est une étape extrêmement difficile pour moi...... j'ai beaucoup de mal avec ces exercices.
Il y a des jours, comme aujourd'hui, où j'ai très envie de laisser tomber tout ça! je me dis, tu n'as qu'à compulser, ça changera rien, tu es grosse et le restera! alors manges!
Il y a des jours où je me sens incapable d'y arriver! je sais que les hauts et les bas, font parti du programme et qu'il faut les accepter, mais les jours de bas, c'est plus facile à dire qu'à faire.....
je me fais violence, pour venir ici, car je ne veux pas d'un nouvel échec et que je m'accroche aux progrès déjà fait!
Merci d'avance pour vos témoignages, vos réponses
bon ben j'aurais tenu 8 jours! je viens de me peser! je me sentais tellement lourde que là, grosse angoisse il fallait que je vérifie et en effet en 8 jours + 2 kg!
et pourtant, je commence à vraiment bien respecter mes sensations, j'ai nettement diminué mes apports......
alors oui, je ne mange que des choses "caloriques", quand j'ai faim........ je suis incapable de remanger des légumes ou autre! pour le moment en tous cas! et me forcer à manger des trucs...... ça me semble d'une part impossible, d'autres part, retourner dans les restrictions pas la bonne solution........
AHHHHHHHHHHHHHHHHH au secours! j'ai vu un chiffre qui ne me plait pas, mais pas du tout et qui m'angoisse énormément! du coup l'expérience sans balance se conclut par un échec! une angoisse 10 fois plus grande et la conviction que si je ne me pèse pas, je ne controle rien et donc je ne perds pas, mais pire encore je grossis à vue d'oeil......
Bonjour,
voilà 3 semaines que je ne suis plus venue ici, et ai un peu laissé tombé le programme, car je n'arrive pas à trouver le temps de faire les séances de la pleine conscience. Ou alors, lorsque je l'ai, je ne suis plus seule à la maison et je n'arrive pas à me détendre et me concentrer sur ce que je ressens en sachant que je peux être dérangée ou interrompue à tout moment. Auriez-vous des conseils pour que j'adapte les séances de pleine conscience à mon quotidien ?
Ce matin j'ai décidé de reprendre un carnet alimentaire, car ça m'aide vraiment à écouter mes sensations. Mais voilà que j'en ai 2 à disposition : le carnet découverte et le carnet de la fin et des excès alimentaires. Lequel convent-il d'utiliser ?
Merci pour vos conseils
Alex
Bonjour Docteur Zermati
Avant tout merci pour votre réponse.
Le soucis est que là je dois travailler sur la faim par la RPC et je ne sais pas pourquoi, impossible de m'y mettre. J'ai eu beaucoup de facilité au début à suivre le programme et là j'ai l'impression d'être à nouveau au régime. Alors que je le faisais naturellement (manger à ma faim, arrêter lorsque je sentais que j'étais pleine, les exercices, etc..), là j'ai l'impression que c'est une nouvelle contrainte.
Je me retrouve dans le même état d'esprit qu'avant lorsque je débutais un régime : je commence lundi, donc il faut que je profite; qu'est-ce qui est le moins calorique ?; etc...
J'ai également changer mes habitutes, je dois dorénavant rentrer tous les midis chez moi et je n'ai pas le temps de manger, je grignote donc un petit quelque chose et mange plus le soir. J'ai l'impression que c'est là que tout s'est déréglé, les après-midi je grignote alors que je ne le faisais plus,etc...
Dur dur... j'en viens à me demander si ça vaut la peine de continuer et n'arrive pas à comprendre ce qui a déclancher ce changement...
Désolée pour cette baisse de motivation...
Salutations
Alex
Bon, j’ai encore une question sur la gestion de la faim !
J’ai bien compris qu’il était préférable de manger quand on a faim. Mais si la faim se présente à un moment où l’on ne peut pas la satisfaire (genre : je suis en réunion). Et que lorsqu’on pourrait la satisfaire, elle n’est plus là, que faire ? Manger sans ressentir la faim (il y a peut-être des signes que je ne perçois pas encore) ou attendre qu’elle ré-apparaisse ?
Est-ce que vous avez déjà eu ce problème ? Comment faites-vous ?
parler a mon bidou..........je n' y avais pas pensé !!!
là j'ai hyper faim mais je peux pas manger mainteannt sinon, j'aurais plus faim pour dejeuner et je commence a avoir des envies de salée
je mange du sucré depuis plusieurs jour et ça commence a m'ecoeurer. Donc je vais patienter jusqu'a 12h-13h pour manger un truc salé !!
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[quote=babydols]
et bien ton coach a eu raison car moi j'ai fais l'erreur de partir dans tous les sens en voulant faire un max de defi, + carnet,, + exercices, +toutes les videos accessibles, et j'ai été dépassée , du coup grosse deprime et j'ai failli tout lacher.
[/quote]
Tu as tout à fait raison. Je suis dans le même cas que toi. Je voulais avancer, avancer. Traduction: je me suis découragée et j'ai laissé tomber plus d'1 semaine.Et là j'essaie de reprendre sans me mettre la pression mais c'est difficile.
Le forum qui a bcp de côtés positifs a aussi , pour moi, un aspect très culpabilisateur dans la mesure où je vois qu certaines perdent beaucoup de poids, rentrent dans le programme sans difficulté alors que je n'ai perdu qu'à peine 2 kg en 3 mois et que je rame bien souvent . Je sais que je suis là pour apprendre à manger et non pas pour perdre du poids. Mais c'est dur de voir les autres évoluer en bien et de se voir stagner
C'était ma minute Caliméro ;-)