La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour ! Je suis inscrite depuis peu sur le site, et je dois dire que j'expérimente la méthode... Je me laisse guider par mes envies et ma faim... Mais là je dois dire qu'aujourd'hui je me suis laissée orientée par mon corps vers des sentiers inconnus.
Je m'explique, ce matin je mange : 3 tranches de pain de mie donc 2 avec lesquelles j'ai msi beurre gruyère et une tranche de jambon. L'autre est restée simplement beurrée. Le tout avec un petit verre de jus d'orange !
Ma faim rassasiée, je n'ai pas eu faim jusque //16h , et en me demandant ce que j'avais envie de manger, j'ai opté pour du poisson avec de la ratatouille... C'était ce que j'avais envie, alors qu'habituellement au gouter c'est yaourt et pomme. Régime oblige.. et là après avoir juste pioché dans la ratatouille et dans le poisson, je m'aperçois qu eje suis totalement rassasiée et que je n'ai besoin de rien d'autre....
En réalité, mis à part ce matin, j'ai cosntaté qu'en prenant le temps de déguster, mon appétit changeait vraiment beaucoup, au point de manger très très peu... et d'avoir faim limite une heure après. ma question est : est - ce que tous les phénomène décrits sont normaux ??? Pitié dites moi oui !
Bonjour,
je ne sais pas trop ou poster ce sujet... vu qu'il est préconisé un peu de sport dans la méthode, je mets ça ici, on verra bien...
Je réalise que je pense faire du sport pour de "mauvaises raisons"... Certes j'aime bien ça, surtout après, je me sens bien, mais quand je fais une séance je ne peux m'empêcher de me dire "c'est bien tu as dépensé 700 kcal tu as éliminé le nutella que tu t'es goinfré ce matin" ou alors après avoir enfourné une tablette de chocolat je me sens "obligée" d'aller faire du sport...
Du coup ces séances servent à me déculpabiliser plus qu'à me faire du bien, servent d'excuse pour d'éventuels excès... en ce moment je suis malade, j'ai réussi à me trainer au club de gym 1h30 hier mais je n'étais pas en forme, et je doute que dans ce cas là la séance soit bénéfique... et surtout que cela reste comme une "excuse" pour continuer à faire des excès...
Alors j'ai décidé que je ferai du sport quand j'en ai vraiment envie, quand je me sentirai bien et non pas par "obligation"... et que là étant super malade je n'irai pas, je ferai p-e les exercices du site, mais qu'il ne fallait pas culpabiliser de ne pas y aller...
qu'en pensez vous ?
Passez sinon toutes de très bonnes fêtes de fin d'année ;-)
Bonsoir à vous ... je viens poster une petite réponse car ton sujet transpirait - c'est le cas de dire - avec ma propre situation... J'ai tout essayé pour maigrir, et cela incluait le sport... Jogging, trois fois par semaine, à jeun, etc etc. la natation pareil; Au final j'ai découvert que je n'aimais pas ces sports tout simplement car j'étais dans l'optique de maigrir et de perdre du poids, et que je n'y prenais aucun plaisir, même si j'étais contente de moi après, je ne voyais pas l'intéret de me bouger, de commencer à sortir par le froid ou la trop grande chaleur...
Quand j'ai commencé linecoaching il y a trois semaine, je me suis vraiment sentie libérée, à la fois côté alimentaire et du côté forme... les crises d'hyperphagie sont encore là, mais je les vis plus sereinement, même si, évidemment, ce n'est pas facile tous les jours... Depuis deux semaines, je me suis posée la question " qu'est ce que j'aimerai vraiment faire pour moi, que j'ai toujours eu envie de faire et que je n'ai jamais osé ?" et là une réponse s'est imposée à moi : le tennis ! j'adore ce sport mais je me suis jamais lancé dans l'avanture. ni une, ni deux, je m'inscris à un cours le lundi, et j'ai eu une chance folle car j'ai pu renouveler l'expérience tout la semaine. J'adore et je suis vraiment motivée à progresser. Je me suis rendue compte que j'avais un petit problème de souffle et comme mon prof est en vacances, j'en ai profité pour faire ... footing et natation ! Et franchement, là j'étais motivée et j''ai même apprécié ! Oui oui ! Je ne sais pas combien de temps cela va durer mais en tout cas pour le moment, depuis que j'ai trouvé quelque chose que j'aime vraiment, tout va pour le mieux côté sport ! Bon courage à toi !
Bonjour Docteurs,
Je souhaite m'éclaircir les idées.....
Je vous explique lorsque j'arrive à respecter mes sensations alimentaires, comme je l'imagine, m'arrêter pile à satiété, ne manger que quand la faim est bien là, déguster, manger lentement. j'y suis arrivée dans le passé une semaine entière! lors de cette semaine j'ai perdu + de 3 kg!
J'ai réussi à nouveau 3 jours, il y a un mois (entre temps ça dérape) j'ai perdu presque 2 kg en 3 jours.
Quand je ne respecte pas, quand je pense être "en échec" de la méthode, je dépasse ma satiété de beaucoup. et je stabilise mon poids, ou prends un peu chaque semaine.
D'où ma question : Peut être que lorsque je pense respecter mes sensations, je suis en dessous de mes besoins, car je pense que la perte est trop rapide et elle me fait peur, car ces pertes de poids me font penser aux régimes les plus dangereux que j'ai fait et à un yoyo inévitable.
Alors je me demande si je ne fais pas une sorte de "régime des sensations" et qu'à force de vouloir faire trop bien je m'affame et c'est pour cela que je tiens pas sur la durée?
Du coup, ça sous entend que ce que je prends pour ma satiété est en fait le fin du plaisir gustatif, mais pas la fin de la faim.....
Non?
j'suis confuse, mais j'ai le sentiment que comme je suis persuadée d'être une petite mangeuse! non pas, parce que je me connais bien, mais parce qu'il me semble que c'est comme ça, qu'on minçit.....peut être que je me "force" à manger moins. et que du coup, ben j'me mets au régime "quantitatif".....
Merci de me donner vos avis sur cette question qui me "travaille" depuis quelques temps.
Bon réveillon à tous, Joyeux Noel.
Tout le plaisir ets pour moi. Joyeuses fêtes à toutes et à tous!
Bonjour,
Depuis quelques temps, j'ai un peu mis les exercices LC entre parenthèses, comme s'il me fallait du temps pour digérer certaines choses.
Mon alimentation reste toujours aussi anarchique et aussi loin que possible des règles diététiques classiques. J'ai quand même le sentiment qu'actuellement beaucoup de mes choix alimentaires se font plus par dépit que par véritable choix. J'aii vraiment l'esprit embrouillé par ça mais n'arrive pas à l'exprimer clairement. Bon, je vais essayer!
Avant LC j'ai suivi WW pendant 3 ans de manière continue et je cuisinais chaque jour et tous les plats (viandes, poissons, desserts...). Aujourd'hui, je ne cuisine quasiment plus pour les repas familiaux sauf si nous avons du monde. Je n'éprouve que rarement le besoin de faire un repas classique. Mes horaires décalés, les heures sup., l'absence de temps pour le repas au travail font que je n'ai aucun schéma alimentaire. Je fais avec le temps que j'ai, le lieu où je me trouve et ce qu'il y a dans le frigo. Je commence à me lasser des aliments gras, sucrés mais comme je n'ai pas envie de faire la cuisine, j'ai l'impression que par facilité, je prends ce qui me tombe sous la main. Ces aliments, ils m'attiraient parce que je ne les consommais plus de manière régulière mais j'ai l'impression que si j'avais des plats apétissants de légumes ou de viande aussi facilement accessibles dans le frigo, je me nourrirais de ceux-ci.
Très, très longtemps, j'ai eu une alimentation très lactée : lait+ pain sec, yaourts, crèmes dessert constituaient l'essentiel de mes repas. Un jour mon médecin m'a dit que j'avais passé l'âge de l'alimentation lactée, moi je n'en étais pas si sûre !
J'ai un peu l'impression que j'ai du mal à lâcher cette alimentation "douceur" qui est la mienne aujourd'hui et constituée de glaces, de laitages très sucrés, de pain, de gâteaux secs et d'un peu d'aliments salés. C'est un peu comme si je sentais confusément un changement en moi prêt à voir le jour mais que je l'empêche de montrer le bout de son nez en l'enveloppant de cette alimentation "doudou" qui devient une alimentation "bof"!
Bizarrement cela ne m'angoisse pas mais c'est tellement confus que je voudrais bien trouver le fil conducteur de tout cela.
Qu'en pensez-vous ?
Bonjour capuccino, paloma, tourmaline,
Qu’est-ce qui fait qu’on est davantage attiré par certains aliments ? En voilà une question qu’elle n’est pas facile !
Il y a ce qu’on appelle les appétits spécifiques, qui nous donnent le désir de manger les aliments qui contiennent des nutriments dont notre corps a besoin.
Mais très souvent, nos aliments sont des nourritures affectives. Nous sommes à la recherche d’aliments qui éveillent certaines émotions en nous, ou certains souvenirs émotionnants. On mange des madeleines qui réveillent des souvenirs enfouis, par exemple. Des nourritures qui provoquent en nous des sentiments réconfortants.
Rien de plus normal à cela. Pourquoi s’en priver ?
Notons simplement que ce réveil émotionnel n’a normalement aucun besoin de quantité. Proust ne fait pas des boulimies de madeleines…
Lorsqu’il s’agit d’une affaire de quantité, là, on change de monde. Nous sommes sur le territoire de la compulsion, de la boulimie. Il s’agit de se protéger d’émotions et de pensées vécues comme insupportables. On recherche alors les aliments les plus riches, en grosse quantité.
En somme capuccino, mangez ce qui vous fait envie, profitez du réconfort que cela vous apporte. Mais si vous basculez dans la quantité, pour vous protéger d’émotions insupportables, alors dites-vous que vous avez encore du travail, sur le plan psychologique, pour devenir capable de vivre vos émotions, de laisser vos pensées aller et venir, quelles qu’elles soient. Mais Paris ne s'est pas fait en un jour, n'est-ce pas?
Un signe qu’on va mieux : on devient moins centré sur un aliment ou une catégorie d’aliments. La ronde des aliments tourne.
Joyeuses fêtes, avec plein d’aliments sympathiques à déguster en pleine conscience.
Bonjour,
Est ce que les TAC est une forme de maltraitance comme l automutilation?Est ce que ce sont des expressions différentes de la même souffrance? est ce que ce sont les memes barrières pour ne pas sentir la souffrance emotionnelle psychologique?
Quand je me laisse partir dans un comportement où j ingurgite je sent que l inconfort créé par ce comportement est plus supportable que les émotions sous jacentes donc barriere. C est du style, non je ne peux pas ou je ne veux pas laisser venir à la surface l émotion alors je l arrete par le fait de manger et ensuite d éprouver un mal etre que je rattache à mon comportement du moment.
manyuka
Bonjour manyuka, paloma, lily,
Je vois que vous avez bien compris le ressort sous-jacent au fait de faire des compulsions et autres boulimies, ou bien de grignoter, ou encore parfois de manger exagérément aux repas.
Il s’agit de créer des sensations intenses, agréables, mais qui peuvent à l’arrivée se révéler désagréables, pour étouffer des pensées et des émotions qu’on juge a priori ne pas être en mesure de supporter.
Le travail que nous vous proposons, à partir des exercices de pleine conscience, vise à augmenter votre tolérance émotionnelle, de telle sorte que vous n’ayez plus besoin de recourir aux débordements alimentaires.
Comme le dit fort justement lily, on cherche parfois à éviter des pensées, des émotions qui, lorsqu’on les considère, apparaissent comme des tigres de papier. Nous sommes capables de supporter bien plus que nous ne le croyons. Et nos émotions, lorsque nous en prenons conscience au travers d’exercices comme le body-scan ou l’espace de respiration, se décomposent en sensations physiques supportables.
Quant aux comportements d’auto-mutilation, souvent propres à des personnes boulimiques ou anorexiques, ce sont aussi des comportements d’évitement de pensées vues comme inacceptables, d’émotions vues comme trop intenses pour être supportées, ou encore des comportements de punition, pour avoir eu des pensées inacceptables.
Nous sommes bel et bien dans la même problématique, et seule l’intensité des problèmes diffère.
La comparaison de lily avec une drogue est tout à fait pertinente, en ce qui concerne la boulimie ou l’auto-mutilation : nous sommes sur le territoire de l’addiction, mais de l’addiction comportementale et pas de l’addiction à un produit (les aliments ne sont jamais addictifs). Et toutes les addictions visent le même but : l’évitement des pensées et émotions vécues comme insupportables.
Bon, on discute là des problèmes bien dramatiques. Si vous êtes concernées, veillez à être patientes et douces avec vous-même, à vous donner le temps d’avancer pas à pas.
Bonnes fêtes, tout de même !
Bonjour Docteur,
Cela fait maintenant 15 jours que je suis ce programme. J'en suis à l'etape de la decouverte de la faim et en regardant la video de l'outil "repertoire alimentaire", j'ai soudain été prise d'un doute.
Depuis 2 ans, je suis suivi par un nutritionniste. On a pas du tout travailler sur la sensation de faim/satiété mais surtout sur comment constitué un repas équilibré où on prend du plaisir. (Pas de calcul de calories mais des régles "gruyere sur pates = pas de yaourt", "jus de pomme = pas de fruit en dessert, + de pain = supprimer les féculents du repas, etc etc T_T) =o Donc un repertoire alimentaire certes agréable (riche en légumes, fruits) mais où certains aliments était à reserver aux circonstances exceptionnelles (fetes, repas entre amis etc...). Calculer tout le temps comment associer les aliments pour faire un repas qui "rempli l'estomac sans exces"c'est epuisant et meme si ca été efficace je commence à fatiguer. Dans ce programme, j'espere reussir à manger sans reflechir en respectant de facon inconsciente et naturelle mon corps et ses signaux.
Grace à la RCP j'ai reussi à me rendre compte que le moment entre "disparition du creux à l'estomac" (qui signe chez moi la disparition de la faim" et un estomac bien plein (avec la peau du ventre bien tendu ^^) j'ingurgite plus de la moitié de mon repas. Mais (car il y a un mais) je suis à ce jour totalement incapable de m'arreter avant avoir l'estomac plein (je sais pas pk mais j'y arrive pas :( va falloir travailler).
Comme j'ai lu un peu partout sur ce forum que aucun aliment n'etait tabou, j'ai repris nutella au pti dej, fromages, je ne limite plus le pain,etc... Quand c'est possible (3/4 du temps) j'attend d'avoir à nouveau faim pour manger mais quand je mange je mange jusqu'a ce que mon estomac soit plein donc bien au dela de la satiété.
Donc la question est la suivante:
Dois je revenir à mes associations alimentaires "raisonnables" jusqu'à avoir fini le programme OU dois je respecter mes "faims spécifiques", oublier les maths et manger ce qui me fait envie dés maintenant?
Bonjour cycy,
Le fait d’avoir suivi tous ces régimes amaigrissants vous a conduit à augmenter les volumes alimentaires. En quelque sorte vous avez remplacé la qualité par la quantité. Il vous faut donc cette sensation d’estomac plein.
Manger pour se remplir le ventre, cela s’appelle faire de la boulimie. Si vous passez d’un seul coup aux boulimies d’aliments riches, ceux que vous aimez, vous risquez de grossir !
Aussi le programme LineCoaching vous propose-t-il une démarche progressive : retrouver ses sensations alimentaires, travailler sur les envies de manger émotionnelles, et en définitive, se débarrasser de ce besoin de se remplir.
Comme yayie, fragolina, lia, euphorbe vous le conseillent (elles ont tout compris!) procédez par étapes, sans chercher à les brûler.
Bonjour,
Je viens de commencer la méthode, ayant 3 enfants en bas âge chaque semaine j'ai pris l'habitude d'établir un menu plus où moins équilibré pour toute la famille. Cela m'évite d'une part de me retrouver avec une facture salée à la caisse et d'autre part ça me permets de structurer mes repas. J'ai toujours ce besoin de contrôle permanent malgrè mes dérapages.
Avec la méthode comment vous faites?
Merci
oui mais je n'ai pas très bien compris le principe du répertoire en fait. Par ce la je mange effectivement un peu n'importe comment. Brioche avec du nutella en dessert bof bof pas très original tout ça. Mais je me dis qu'après tout dhabitude j'aurais mangé mon fromage blanc et mon fruit et à 21h je me serais jetée quand même dessus. par contre ma balance elle fléchie c'est le point positif de la chose. Je me sens plus légère. Mais toujours cette culpabilité qui me ronge en fait. le fameux "c'est pas bien"
Bonsoir Dr Z ,lors du chat vous me proposez de regarder ce que provoque l 'exercice de la faim en moi au niveau physique et au niveau des pensées , sachant que normalement je commence demain matin par ne pas prendre mon petit dejeuner......
au niveau physique je ressens simplement une boule dans l estomac
par contre au niveau des pensées ça se bouscule au portillon comme on dit
peur de manquer qui me donne une eme, peur de grossir
peur que la privation entraine une eme incontrolable
part de révolte (enfantine) on me demande de faire un effort j ai envie de dire je ne le fais pas
peur de ne pas faire bien l exercice (perfectionnisme)
peur de decevoir,de rater ,peur de rater quelque chose ...... Comme si on allait m'oter quelque chose ou la vie quoi.... J exagere mais pas autant que cela
alors que c 'est juste un exercice,(pour moi) ,que l' on ne me demande pas de m' affamer et vous me dites lors du chat que j' arrete quand je veux et bien voila je crois l inventaire et certainement pas exaustif de mes difficultes
je rajoute maintenant que j ecris tout cela, au niveau physique des fourmillements ,je ne les avais jamais ressentis ceux là..... de la nervosite et une eme
et bien je crois que je fais aller respirer .....
Merci LYS
et bien voila j ai commence ce matin j ai pris une barre vers 10h depuis j ai une faim de loup qui ne s est pas calmée malgre un repas à 11H45 , j ai essaye le bodyscan ,dormir ,et finalement une eme ,je ne sais plus faim ,peur ,eme tout se mélange pourriez vous m aider , ce que je craignais est arrivé , debordement et perte de la notion de faim EME
je continue mon message deuxieme jour sur la faim cela s est mieux passé ,puisque j ai attendu d avoir faim 13h et j ai mange ce qui me faisait plaisir et que je ne m autorise jamais ,le soir j ai remangé en ayant une toute petite faim ,je n en suis meme pas sure total j ai pris du poids et surtout je me sens toute bouffie total je pense qu il faut que j arrete tout car je ne suis pas à la hauteur de lc ,et je ne peux continuer de prendre du poids comme cela sachant que dans 15 jours je repars pour une semaine de mondanites at que je ne supporte pas cela surtout dans mon etat , j ai vraiment besoin de votre aide ,je me sens tres mal lys
j ai demandé l aide du coach ,Dr pourriez vous m aider merci lys
Bonjour,
j'ai été boulimique de défis au début, aussi parce que je les ressentais comme une aide pour intégrer la méthode. Je suis plus distanciée aujourd'hui.
Fais comme tu le sens ! Car sur LC, nous apprenons à revenir à nos sensations. Et puis, si tu prends un défi que tu n'arrives pas à assumer... Tu verras que le ciel ne te tombes pas sur la tête, que la terre ne s'arrête pas de tourner, que tu n'es pas punie, ni considérée comme une mauvaise élève... toutes choses utiles si on est du genre perfectionniste et qu'on a du mal à se faire du bien...
Bonsoir Dr ; je ne sais pas creer un nouveau sujet aussi je me greffe sur ce theme des quelques questions ,pour ma part je suis à l etape des eme avec espace de respiration que je n arrive pas à faire ,je suis en plus confronter à une situation de stress tres importante puisque j affronte le regard des autres pendant plusieurs jours j ai pris du poids et je me trouve laide et je me demande comment on peut me regarder sans se moquer de moi , l estime de moi est au plus bas , j arrive à faire l exercice je ne me cache plus et bien il se passe des choses tres etranges , j ai le sentiment de vivre une traversee du miroir , en effet avec tout ce stress j arrive à poser des questions à m exprimer alors qu au fond de moi une partie de moi à honte de moi et une partie de moi est fiere de moi et, oui une partie est meme tres fiere de moi et reconnait ma valeur .... je vois les autres de le meme facon je ne suis plus attirée par le physique des gens mais par ce qu ils dégagent d humanité ....il semblerait que je découvre une autre personne en moi et un autre regard je l appelle la traversee du miroir car elle n est plus dans l image
je voudrais tellement etre physiquement bien dans ma peau cad plus mince , mais en meme temps je crois que je ne peux realiser ce que je suis entrain de vivre qu'en etant pas au mieux physiquement sinon je n y aurais pas acces
je réalise aussi que meme mince je n ai jamais ete bien en moi meme et la j ai de l espoir
est ce que tout ce que je raconte vous semble logique Dr et est ce que cela signifie progres et pas régresssion?
Merci lys
Bonjour lys et Rose,
Je suis vraiment heureux de vous lire. Le fait que vous preniez conscience que nous ne sommes pas qu’un tas de kilos me paraît vraiment prometteur.
Il existe une forme de paradoxe : c’est à partir du moment où on arrête d’être obnubilé(e) par son poids, par le regard des autres, qu’on accepte que c’est sur soi-même qu’il faut travailler, que les choses peuvent bouger… et qu’il devient possible de perdre du poids !
Une forme de traversée du miroir, pour entrer dans un nouveau pays, Lys.
Donc, pas d’inquiétude, vous êtes vraiment sur le bon chemin.
Et d’ailleurs, comme vous le constatez, LineCoaching ne met jamais l’accent sur le poids et sur sa maîtrise. On s’occupe de ses sensations alimentaires, de ses émotions, on cherche à devenir bienveillant envers soi-même, et c’est cela, ce lâcher-prise question kilos, qui permet de perdre les kilos supplémentaires.
Ceci dit, on ne peut pas prétendre que les kilos n’ont pas d’importance. Être heureuse ou heureux en étant hors normes, dans une société qui met tellement l’accent sur les apparences et le contrôle, n’est pas simple. Alors, n’en rajoutons pas, faisons le poids que nous devons faire, celui qui est inscrit dans nos processus de régulation, c'est-à-dire le poids d’équilibre, ni plus ni moins, et étant nous-mêmes, du mieux que nous pouvons, vivons notre vie avec fierté.
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Ca fait vraiment plaisir de se sentir comprise... Ce n'est parfois pas évident de lacher prise... On est tellement conditionnées par les lois extérieures qu'on est totalement perdues quand il s'agit de se fixer ses propres règles... J'ai peu de grossir en faisant comme je fais. En m'écoutant ! C'est vraiment étrange. On est obligées selon les docteurs, nutritionnistes etc. en toutes sortes de faire trois repas par jour, 25 % d'apports pour le petit déjeuner... Etc.
Ce matin comme je suis en " découverte de la satiété" je n'ai pas mangé, j'ai fait un repas normal ce midi, avec une petite excalope de dinde, des carottes vapeur et des pates avec une lichette de margarine... J'en ai repris et je les ai quasiement toutes laissées ! moi qui habituellement adore les pates et c'est meme un " aliment à crise" là j'en ai laissé et j'ai mangé ensuite la moitié d'un yaourt... Sauf que là je sens que j'ai encore un petit peu faim ...donc je pense prendre un gouter, le déguster au maximum et ce n'est que de cette façon que je pense éviter la crise... 4 jours sans ! Oui j'y crois... Mais la perte de poids suivra t'elle ? En 15 jours moins 1 kilo magré les crises... C'est formidable mais c'est toujours le poids où je stagne habituellement, j'ai peur qu'en étant passé d'un poids très faible à 65 kg mes cellules graisseuses ne se soient multipliées et que je ne puisse plus maigrir, retrouver mon ancien poids de forme...
Gardons espoir, quand même , même si c'est vrai qu'arrêter les crises seraient un grand pas en avant, je me dis que c'est dur de lacher prise, que la perte de poids viendra naturellement pourvu que je mange à ma faim ... Ce n'est pas évident de " faire confiance" lorsque tous les autres programmes, régimes, coaching, nous ont déçus et nous ont dégoutés encore plus de l'image que l'on a de nous mêmes.