La démarche Linecoaching: comment changer en profondeur
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Bonjour,
J'aimerais vérifier ma compréhension des termes. Étant du Québec, nous n'avons pas tout à fait les mêmes.
Donc, voilà :
Petit-déjeuner = déjeuner
Déjeuner = diner
Diner = souper
jusque-là ça va. Ensuite, je présumer que Goûter = collation (que ce soir le matin, l'après-midi ou la soirée)
Mais pour Apéro là je sèche! Chez nous l'apéro c'est plutôt un breuvage alcoolique avant le repas du soir. Mais comme il y a un endroit pour entrer les breuvages, je devine bien que ce n'est pas la même chose...
Et pour Autre, là je présume que c'est pour toute autre prise alimentaire qui n'entre pas dans une ou l'autre de ces catégories.Me
Merci pour votre éclairage :)
Je me rend compte que la télévision prenait trop de place.
Je m'explique, elle jalone nos diner, nos soirée et je n'arrive pas à m'en débarasser...
Il y a enormement d'envie de ma part de faire bien pour continuer, perseverer, car je sais que ce programme est celui qui me conviens, mais le fait est là la télévision, on arrive pas à s'en s'éparer.
J'ai bien essayé de l'eteindre mais du coup je ne savoure presque pas mes repas...
Je ne suis pas seule, mon conjoins est à 100% avec moi, mais c'est vrai que l'on a tous les deux toujours mangé depuis la petite enfance devant la télé et c'est super difficile de s'en passer...
Comment faire, car je sais que c'est une des clés de ma reussite...
Cordialement
Sandy
Bonsoir, alors moi la télé, je m'en tape!!!!
Et pourtant j'en ai une grande!!!!!! mon mari l'adore, regarde toute sorte de programmes...
Moi je trouve qu'il n'y a plus de bonnes séries captivantes comme avant... je n'arrive plus non plus à supporter ces émissions, où nos superbes stars chantent toujours pareil!!! ou bien jouent à des jeux sur un fond de solidarité!!!
J'aime les bons films, ou les bonnes séries:
Tu regardes une fois les experts, tu les as tous vus!
Voilà, alors à table, quand il y a la télé, franchement elle ne me dérange pas plus que ça, puisque je ne la capte même pas, à part parfois pour les infos qui vraiment coupent souvent l'appétit.
Je préfère discuter avec les filles...
Bonjour,
je me suis retrouvée confrontée à une difficulté... j'attends ma faim (d'autant plus vrai en ce moment que je fais les exercices d'expérimentation de la faim)... qui arrive en général vers13h... le hic je vais faire du sport (cardio & renforcement musculaire) vers 12h... et lors de ma dernière séance je n'avais plus de jus, j'ai eu une faim terrible, j'avais l'impression d'être faible et avais même peur de m'évanouir, alors que pourtant je ne forçais pas...
J'ai pourtant des réserves, alors...
- serait-ce psychologique ? (je sais que je n'ai pas mangé plus de 12h avant de venir faire du sport alors je m'auto-convainc que j'aurais du manger et que du coup je suis faible)
- faut-il manger qq chose avant le sport dans tous les cas ?
- le simple fait d'emporter à manger me rassurerait, même si je ne mange pas ?
Si il y a des recommandations sur la façon de s'alimenter avant une séance de sport, je suis preneuse...
Merci beaucoup
Super !
Je me suis trouvée dans une situation identique il y a peu de temps. J'avais pris un biscuit au cas où. Quand les premiers signaux de la faim ont pointé leur nez, j'ai pensé au biscuit en me disant que si j'avais très faim, ça irait, je pourrais gérer. Et ça m'a tranquillisée jusqu'à la fin de mon activité.
Mon biscuit est par contre resté dans le sac à langer non loin des couches sales. Chaussettes ou couche dégueu, mon coeur balance ;-)
Bonjour,
L'étape où j'arrive m'angoisse beaucoup!
Remplacer le repas de midi par un aliment gras et salé, ou sucré.....
Ces deux étapes m'angoissent..... parce que je n'ai pas d'envie particulière en ce moment! que je me découvre enfin, d'un point de vue alimentaire.
Et j'ai peur de repartir dans une série d'EME avec ce type de repas. Car je vais me forcer à le faire. j'en ai aucune envie en ce moment.
Est ce que vous avez ressenti ça aussi? ou cette étape a été facile?
Avez vous eu des EME à cause de ces exercices?
Si on ne les fait pas, on reste bloquer au niveau du programme, donc..... je sais pas quoi faire.
Je crois que c'est aussi l'idée qu'on m'impose quelquechose qui ne me plait pas. Et puis, après les fêtes, j'ai plutot envie de verdure, chaque année c'est pareil, tous les aliments gras ne m'attirent plus du tout, voir même me dégoute!
Je sais pas quoi faire!!!!! des conseils ?????
Merci
accepte l'imperfection ma chère Lizz
ce n'est qu'un exercice, c'est frustrant... mais c'est révélateur....
accepte l'imperfection, de ne pas maitriser, lache-prise... c'est normal que cet exercice t'ait chamboulée... profite de ce que tu manges et attend que la faim revienne gentiment...
prends conscience de tous les sentiments qu'il aura provoqué, cet exercice, et à quoi ça renvoit dans ton histoire...
sois persuadée que cet exercice t'aura fait progresser, même s'il est destabilisant
et surtout sois persuadée que ces EME ont été débusquées..... ça te fait travailler aussi là dessus
bref, tu es en plein chantier.... mais ça avance!
courage à toi!
Bonjour
je voudrais savoir si vous pensez qu’on peut vraiment se débarrasser d’une habitude très très ancienne.
Je ne suis pas une accro des régimes, je n’en ai fait que deux en plus de cinquante ans et je ne pense pas avoir été conditionnée par ça. Mais je mange beaucoup, pas forcément compulsivement mais de grandes quantités : jusqu'à deux, trois fois une portion normale.
En fait je m'aperçois que je n’ai pas besoin de tant que ça, le plus souvent.
C’est surtout que je n’arrive pas à laisser ce qui est dans mon assiette, ou dans le plat. On ne m’a jamais forcée à manger, aussi je pense que c’est lié au fait que bébé, je n’ai pas été assez nourrie pendant quelques semaines. Donc quelque chose en moi doit toujours se dire qu’il faut prendre tout ce qu’il y a parce qu’on ne peut pas être sûr qu’il y en aura assez la prochaine fois que j’aurai faim.
C’est complètement archaïque et je pense que ça a été ravivé par un régime d’un mois fait contre mon gré à l’adolescence. J’avais faim tout le temps et surtout j’avais faim de goût !
Voilà. Est-ce qu’on peut vraiment se déconditionner de quelque chose d’aussi ancien ? J'en doute, d'autant que j'ai toujours eu de moi l'image d'une personne obèse, même si cela n'a été vrai qu'à partir de la trentaine. Les deux doivent se renforcer. Qu'en pensez-vous ? Peut-on lutter contre ça ?
coucou laurette
je me pose la meme question que toi....alors dit moi tu en es ou un mois apres??? as tu réussi a diminuer les portions de nourriture??? as tu eu un déclic???
Bonjour!
Une question qui me taraude : faut-il apprendre à maitriser la sensation de sa satiété avec l'eau...je m'explique : j'ai tendance à beaucoup boire (de l'eau donc), en mangeant, ce qui me remplit rapidement l'estomac et me donne rapidement une impression de satiété que je n'obtiens finalement pas vraiment avec la nourriture mais avec la combinaison nourriture + eau, s'en suit généralement des troubles de la digestion (ballonements, ventre gonflé etc.), puisque je bois trop, enfin c'est l'impression que j'ai.
Faut-il donc éviter de boire pendant les repas (en buvant avant ou après)?
Bonne journée!
Romie
coucou mimi !
pour moi aussi j'ai trouvé difficile au début d'arrêter de réfléchir en termes d'équilibre alimentaire, ou plutot de pseudo équilibre inculqué dans tous les régimes testés....1.5 l d'eau par jour, 5 fruits et légumes (ou 10 je sais meme plus), un laitage, pas trop de pain etc....ca me saoulait tellement que je ne fais plus du tout attention à cela et je crois que j'ai vraiment réussi à écouter mon corps et ses besoins...
il faut réussir à mettre à plat toutes ces recommandations...pas évident quand sur la boite de céréales du petit le matin c'est déjà écrit que pour un petit déjeuner il FAUT prendre un laitage, les céréales tout en sucre, un fruit etc....
je me dis qu'il faut plutot faire confiance et écouter son corps...c'est d'ailleurs là toute la difficulté, mais quand on y parvient, au moins un peu, j'ai l'impression qu'on se réconcilie avec lui.
Bien à toi
Romie
Bonjour,
Des changements se produisent dans le comportement et du coup je découvre que j ai réellement perdu les signaux de faim...j attend de réapprendre à les identifier petit à petit. Pour l instant je suis un peu perdue avec notamment des sensations de nausées de fatigue ou un coup de chaleur,hier j ai pu constater que le fait de manger annulait tous ces symptomes mais le premier réflexe avec la nausée c est justement de ne pas avoir envie de manger.Est ce que parvenir à identifier les signes de faim avant des signes d un pseudo-malaise nécessite beaucoup de temps ou un outil particulier.
J ai pu aussi constater que j avais retrouvé des sensations de soif alors que je n avais jamais soif auparavant. Est ce que cela correspond à une reprogrammation des sensations?est ce que cela peut corresponde à un besoin physiologique lié au changement de comportement avec la nourriture?
Derniere question, je vais rentrer après trois mois de séjour à l étranger. Pendant trois mois je n ai pas eu de balance. En france je suis une adepte de la pesée plusieurs fois par semaine, je me demande si je dois me peser en rentrant pour avoir un point de réfèrence ou si je peux continuer sans savoir où en est mon poids?
Ce que je sais c est que je perd du poids à chaque séjour à l étranger et que je reprend tout voir plus en très peu de temps en rentrant en france...
merci pour votre attention, j apprecie beaucoup ce que je découvre progressivement et doucement avec LC. J ai commencé la respiration consciente et je découvre à quel point je suis dans la fuite du moment présent, préférent le mouvement perpetuel. Du coup je me connecte à des tensions qui s apparentent pour certaines aux tensions que je fuis dans le comportement alimentaire. Simple mais efficace de ce fait je n ai pour l instant pas de problème pour trouver le temps de pratiquer.
Encore merci
Je dois dire que je te comprends Manyuka, car, pour moi, les sensations de faim sont encore floues. Il m'arrive aussi d'avoir des nausées, de ne pas me sentir bien du tout mais de ne pas comprendre que c'est de la faim.
Le fameux creux à l'estomac qu'on est sensé ressentir n'est pas flagrant pour moi. Il m'arrive de le ressentir mais pas quotidiennement. En plus, avec les fêtes, on dirait que je me suis "massacré" les sensations toute seule, je me sens bizarre.
Pour ce qui est de la pesée, j'ai aussi bcp de mal à ne pas me peser, d'ailleurs je n'y arrive pas. Je monte sur la balance chaque matin, en sachant que ça va influencer mon humeur, mais pour le moment, je n'arrive pas à m'en passer.
Je vais suivre le conseil du Dr Zermati et la mettre de côté pour qques jours, au moins.
En tout cas, courage, c'est tout ce que je peux te dire. Le chemin est long, pas facile mais c'est le seul pour retrouver un jour la sérénité.
Ou tout simplement comment remedier à cette déferlante d'émotions qui me traverse l'orsque j'ouvre le frigo est que celui-ci est vide...
Respirer, oui, hier soir en rentrant de vacances, il était 22h00 et j'ai paniqué...
J'ai ouvert mon frigo, tous mes placards, j'avais une petite faim..je venais de finir un sandwisch 2 heures avant et tout etait vide.
Du moins, presque vide, j'avais deux trois trucs mais pas de frites !!!!
Mon conjoins à dû aller en chercher au fast food, heureusement, je me suis ecouté, j'ai mangé la moitié de la portion.
Mais j'ai ete face à ma seconde EME en une semaine..J'ai eu peur, une sensation comment vous dire, d'angoisse VIVE ET FORTE qui s'est eteinte rien qu'à la vue des frites...
Je me suis rendu compte en parlant avec ma mère que durant mon enfance, nous mangions moins lorsque le frigo etait plein et que quand il etait vide nous en demandions toujours plus...
Bref, je sais que je ne suis pas la seule face à cela, vivement la reconciliation avec le vide...
le rapprochement avec le vide interieur est surement une bonne hypothèse..
J'ai tenté de me dire, on va se faire un truc si j'ai vraiment faim, mais y'avais rien qui aurait combler ma faim...
Et je parle d'aliments que j'aime..et surtout qui n'etaient pas presents chez moi, peut-être que si y'avait eu des frites chez moi, je n'en n'aurais pas eu envie...
Il reste tout de même quelques mystères...
Merci à toi Rose petit beurre
Je supporte très bien la faim, je me retouve très souvent dans ce qui sur ce site me semble s'appeler des "états de jeune", en revanche la peur d'avoir faim me met en transe.
Je trouve ça très curieux et paradoxal, savoir depuis toujours que je supporte sans problème la faim, sans en souffrir, consciemment en tout cas, mais avoir découvert tout recemment grâce à LC que la peur d'avoir faim plus tard me faisait devenir raide dingue ! Une vraie sensation de panique je dirais. Du coup non seulement je mange beaucoup trop quand j'ai peur de ne pas avoir la possibilité de manger de nouveau avant un bon bout de temps, mais je me retrouve dans un inconfort terrible de la peur d'avoir faim quand la faim, elle, n'est pas inconfortable.
A la limite, m'en rendre compte est encore pire ! J'ai faim, je mange ou si je ne peux pas sur le moment je peux faire de la RPC pour patienter et ça me calme vite mais quand je panique de peur d'avoir faim, je fais quoi ? La RPC dans ce dernier cas ne me fait prendre conscience que d'une panique encore plus grande. Du coup je mange sans faim en général pour me calmer mais c'est absurde comme solution !
Vous auriez une idée ? Des pistes ?
Merci, bonne journée
[quote=jpzermati] Répétez quelques fois cet exercice et tenez moi au courant des résultats. [/quote]
Merci pour tout vos conseils, avec le recul voici où j'en suis.
1) Pour éviter la peur d'avoir faim, j'ai de plus en plus systématiquement à manger avec moi au travail, ce que je faisais peu avant (je mangeais tout immédiatement alors à quoi bon ?)
2) Quand la "panique" me prend, je fais un peu de RPC et j'essaye d'imaginer ce que je mangerai une fois arrivée chez moi (ou à tel magasin, ou à la cantine...). Savoir qu'il y aura "quelque chose de bon à manger" me calme souvent. Sinon je me dis que craquer maintenant pour ce que j'ai à proximité et dont je n'ai pas envie ne me laissera plus de faim pour ce dont j'ai envie et que c'est dommage.
3) Si je sais que je ne pourrai pas manger avant une durée longue, que je panique, même si je n'ai pas faim, que je sens qu'il s'agit de compulsion mais qu'elle ressemble à une panique j'ai pris le parti de ne pas lutter. Je me dis que c'est aussi une façon de me remettre en adéquation avec mes sensations que de m'autoriser sereinement de céder à la "panique", que si je le fais je me rassurerai inconsciemment sur la possibilité de manger "à la demande" que cette demande soit motivée ou non et que de toute façon la régulation fonctionne alors pourquoi me faire "souffrir" pour rien.
En revanche comme je n'ai pas de problème avec des pesées répétitives je surveille ma balance. Le constat c'est que maintenant en période d'EME je grossis beaucoup en quelques jours, mais que je reperds les kg en question aussi vite que je les ai pris.
En conclusion, sauf si au lieu de continuer à perdre du poids je me remettais à grossir sur une periode significative auquel cas je me reposerai la question, j'ai décidé de continuer à m'écouter complètement, de manger ce dont j'ai envie quand et comme j'en ai envie.
Ce n'est pas ce que font les gens régulés ?
Merci encore pour votre programme, c'est vraiment chouette la façon dont j'ai évolué !
Une question générale pour comprendre pourquoi notre rapport à la nourriture et à notre corps est devenu si conflictuel et douloureux? pourquoi, que l on ait un poids qui crée un problème de santé(douleurs fatigues...)ou un poids qui ne gene en rien le bon fonctionnement physique, voir meme absolument pas de probleme de poids, on retrouve les mêmes souffrances émotionnelles??les mêmes cercles vicieux? les personnes qui témoignent ici révèlent une richesse profonde, pourquoi est ce que la relation à la nourriture est comme un couvercle sur ce trésor? je suis à l etranger depuis bientot 3 mois, ici dans la campagne (je précise) dire à une femme qu elle a grossi est un compliment...je les trouve tres belle dans leur habit traditionnel fait de couleurs et de volume.Je ne pense pas qu elles écoutent leur sensation de satiété, il y a un plaisir celui d avoir à manger et de manger...merci, j ai pris la décision de participer au programme pour ne plus etre obnubilée par la nourriture et mon corps que cette énergie qui passe dans le contrôle permanent et les emotions qui vont avec soit mise à la disposition de la créativité.Merci d ouvrir une porte de sortie
je viens tard sur cette question (le site est très riche, pas eu encore le temps de tout lire...) pour rejoindre celle qui a posé la question (désolée, je ne vois pas l'historique...). je vis moi-même en Afrique depuis bientôt 7 ans et c'est vrai qu'ici, même en ville, les critères de beauté sont bien différents, même si une espèce d'occidentalisation des moeurs change un peu la donne. mais être grosse est loin d'ête une tare, c'est vraiment un critère de beauté...les jeunes filles sont souvent maigrelettes, mais dès qu'elles ont un enfant ou passent les 30 ans, elles s'arrondissent et c'est perçu comme un signe de beauté et d'opulence, de richesse, de bonne santé. d'ailleurs quand je maigris en général on me demande si j'ai été malade :)
et même dans les pubs, on met en valeur ce qu'on appelle ici la "vraie femme", à savoir celle qui a des formes généreuses. bon du coup j'ai pris 10 kgs quand suis arrivée ici hihihi....mais ça m'a permis de mieux accepter mon image aussi...allez, je vous invite toutes pour un petit stage "j'apprécie mes rondeurs" :)
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Je me suis dis la même chose Lyphae :)
Si le site continue de "s'internationaliser" ça va prendre soit un lexique, soit modifier les termes en "repas du matin/midi/soir" hihi