Aller au contenu principal
Accueil forum       Retour à liste des sujets

Mon inconfort du moment.....

Linecoaching au quotidien Se motiver au quotidien
Animatrice forum En or (1004) Très actif (30)
10 oct 2013 à 14h

Voici un fil pour noter nos inconforts, qu'ils soient petits ou grands, physiques, émotionnels ou des pensées, ressentis désagréables....

juste les noter, avec bienveillance bien sûr, sans jugement, ce n'est ni "bien", ni "mal",  c'est juste   "inconfortable"....

et sans chercher forcément à les faire disparaitre, vu que c'est une très mauvaise habitude...   ;-)

 

moi mon inconfort là maintenant tout de suite, c'est  fatigue + boule dans la gorge

Voir le dernier message

Répondre
5010 commentaires

Mon inconfort de cette soirée, c'est l'angoisse tenace associée à la peur qui évolue dans mon corps.

La faim est coupée. Le plexus solaire noué, le ventre qui ne me dit pas bonjour et la gorge qui est serrée.

Demain sera une journée forte en émotion, au vu de ce que je vais devoir affronter, mon corps est déjà en alerte maximale...

bon courage pour ça!!!  pas facile

pour ma fille quand ça lui arrive, je compare ce stress à un étalon sauvage,  on l'appelle "stress boy"  et je lui dis de le laisser gambader librement en elle,  il est là pour l'aider à avoir plus de force, mais il faut le laisser libre à l'intérieur

ça fonctionne assez bien pour l'aider à vivre son stress sans que ça soit insupportable

Lylyoz , je suis vraiment désolée pour toi, bon courage pour tes inconforts.

Inconforts de fin de journée :
- peur d'être trahie, de ne plus être aimée au boulot. Tendance parano, parfois, à force de ne pas me sentir à ma place...
- yeux fatigués par l'écran ;
- léger mal au crâne ;
- léger mal aux fesses !
- réelle envie de rentrer chez moi. J'ai bien bossé, j'ai besoin d'arrêter là pour aujourd'hui...

Au plaisir de vous lire

[quote=Patience]

- yeux fatigués par l'écran ;
- léger mal au crâne ;
- léger mal aux fesses !
- réelle envie de rentrer chez moi. J'ai bien bossé, j'ai besoin d'arrêter là pour aujourd'hui...

[/quote]

 

Ah Patience, j'ai exactement les mêmes inconforts que toi !

laugh

Allez, c'est bientôt fini ! A demain !

Mon inconfort est la profonde colère que j'éprouve.

C'est le signe de la journée 2 colères dû à des évènements.

Le 1er dans la matinée: Mon aide ménagère arrive ce matin chez moi et a vent d'un cambriolage qui est entrain de se dérouler à quelques emcablures de chez moi. Au lieu de m'avertir et ainsi prévenir la police, elle me le dit 2heures plus tard au moment où l'agissement ne changera guère les choses.

Son manque de civisme m'a passablement contrarié car ça l'embêtait de répondre aux questions de la police. J'hallucine!

Le second,  A noël, nous avons évoqué ma tante, ma cousine, ma mère  et moi même d'aller voir ensemble le film 50 nuance de gris. Moi bêtement je me dis que c'est acté. J'apprends par ma mère qu'elle a reçu un message de ma tante pour programmer cette fameuse sortie sans m'en avertir. Un peu contrarié, je rappelle à ma tante notre conversation de noel afin qu'on puisse y aller à 4. Je me dis que c'est d'autant plus adapté que ma cousine traverse une période difficile car son mari est en dépression. Bref, incapable d'attendre la réponse de ma cousine suite à mon rappel, ma tante redemande à ma mère d'y aller aujourd'hui...et ma mère a dit oui. Au lieu de faire savoir à chacun des protagonistes ces intentions.

Que dire? 

J'essaye de faire au mieux en me disant que la cohésion de famille c'est important surtout quand on traverse des moments difficiles mais là je dois dire que je reste coit.

Colère, déception rythme ma journée.

La gorge nouée. La RPC comme bouée de sauvetage!!!

Échange de SMS avec ma psy qui prenait des nouvelles. Super gentil de sa part mais grosse bouffée d'angoisse après.  Un malaise vécu en rpc les yeux fermés dans le bus. Oppression dans le thorax et limite nausée.  Tout vécu en pleine conscience!  Super dur de supporter le regard intrusif de ma mère en plus du reste.

Grosse EME explosive , j'ai dit que j'avais très faim... je ne veux pas lui dire pour LC alors j'ai pas pris mon MP3. 

Mon mari et mes enfants nous rejoignent demain. Ça va me faire le plus grand bien.

Je ne suis pas faite pour rester trop longtemps avec ma mère.  J'ai atteint ma limite. 

Comme toujours écrire sur LC me fait le plus grand bien!!!

Demain, Saint Valentin, c'est l'anniversaire de "mon bébé" (29 ans). Je repense avec émotion à mon état d'esprit joyeux et me dis que le jour de sa naissance, les joyeuses conditions dans lesquelles j'ai accouché, c'est le plus beau jour de ma vie. J'ai accouché accompagnée d'un ami d'enfance, pendant que j'étais en salle de travail une amie était passée poser dans ma chambre un beau gros gâteau à la chantilly, et à 22 h 30, en regagnant ma chambre après avoir passé 14 h sur la table d'accouchement, au lieu de me précipiter sur mon gâteau je m'étais tournée vers le berceau de mon fils qui avait les yeux ouverts, et l'avais contemplé toute émue jusqu'à ce que l'infirmière vienne le prendre pour la 1ère nuit, à mon grand regret. En regrettant aussi que son père, militaire, soit en opérations à l'étranger et ne puisse le voir. Il ne le verra que 2 mois 1/2 plus tard.

Mon inconfort, c'est de la tristesse, parce qu'hier soir l'homme à distance (700 kms) qui partage ma vie depuis 7 ans a reconnu au téléphone une fois de plus "qu'il n'était pas bien dans sa tête", donc "il n'était pas en état de me voir", et "n'avait pas l'intention de faire quelque chose pour y remédier, avec tous ses regrets" et "en se rendant compte du mal que ça me faisait". Hier soir après l'appel j'étais en colère, je me disais que c'était un comportement égocentrique, maintenant c'est la tristesse qui remonte et je me sens affreusement rejetée, pas assez importante pour que notre relation vaille la peine pour lui d'aller consulter sad.

Ce que je constate, depuis environ 2 mois, c'est que les contrariétés importantes me coupent l'appétit alors qu'avant dans de telles circonstances je me serais empiffrée copieusement. Je commence enfin à comprendre que me goinfrer ne résoud pas les problèmes... Bien sûr, j'ai encore des EME, mais elles n'ont rien à voir avec des contrariétés.

[quote=Kaylee]

c'est la tristesse qui remonte et je me sens affreusement rejetée, pas assez importante pour que notre relation vaille la peine pour lui d'aller consulter sad.

Ce que je constate, depuis environ 2 mois, c'est que les contrariétés importantes me coupent l'appétit alors qu'avant dans de telles circonstances je me serais empiffrée copieusement. Je commence enfin à comprendre que me goinfrer ne résoud pas les problèmes... Bien sûr, j'ai encore des EME, mais elles n'ont rien à voir avec des contrariétés.

[/quote]

en effet tu accueilles beaucoup mieux tes émotions qu'avant et tu n'as plus besoin de les anesthésier

bien sûr cela ne les empêche pas d'être douloureuse, mais au moins ça ne rajoute pas la souffrance à la souffrance

je pense que c'est tout de même important que tu déculpabilises de l'attitude de ton homme

je peux te dire que PERSONNE ne peut faire une vraie démarche psy pour un autre, j'ai pu le voir maintes et maintes fois,  si l'homme va consulter pour tenter de sauver son couple, il y a très peu de chance que cela fonctionne

beaucoup font semblants, en fait.... ils consultent mais dans le fond ne veulent rien changer, rien chercher, ne se confronter à rien parce que c'est "trop dur"

le tien ne fait pas semblant, il est honnête, et ça te fait mal je comprends

mais toi n'a rien à voir dans tout cela,   ce n'est pas parce que  "tu ne vaux pas la peine"  c'est parce que c'est trop dur pour lui, c'est tout

c'est sûr que tout ceci te met dans une situation d'impuissance   et il est très difficile de se retrouver avec tout cet amour "sur les bras"

mais en tous cas, cela n'a rien à voir avec ta valeur,  sois-en persuadée

cela ne concerne que lui,  et le mal qu'il a à se confronter à lu-même

Merci izabelle,pour tes propos très justes - je le sais, hélas, mais j'ai encore parfois des sursauts de colère contre moi parce que ça m'affecte, d'incompréhension parce qu'il semble se complaire dans cette situation. Heureusement ces sursauts arrivent de moins en moins fréquemment. J'attends le jour où je vais me réveiller un matin et constater avec tristesse, mais délivrée, que les sentiments que j'éprouve pour lui se sont envolés. Cela m'est déjà arrivé dans des relations précédentes. J'attends le jour où ma capitulation occasionnelle se transformera en réel lâcher prise.

Re-merci !